Réflexions d'un samedi soir sur : « Pour toutes celles et tous ceux qui refusent que les djihadistes nous divisent, rassemblement ce dimanche 28 septembre à 14h30 Place de la République à Paris. » http://www.humanite.fr/assassinat-dherve-gourdel-les-djihadistes-ne-nous-diviseront-pas-552990
Ce sont les mêmes, de droite puis de gauche, puis de gauche et ensuite de droite, qui ont installé le chômage sans du tout s'en soucier à l'époque. Je m'en souviens, ce n'est pas une question de courbe, c'est du vécu. Le chômage n'est devenu leur souci que récemment, lorsqu'ils se retrouvèrent dans l'opposition et pour faire campagne.
Je lis quelque part : « Sarkozy revient ? VIe République, na ! » Ce qui reflète assez bien le niveau de réflexion proposé à une fraction de l'opinion.
Le présent article est la réponse devenue un peu trop copieuse à un commentaire fait sous le précédent : « À vous qui, comme moi, avez voté F. Hollande au 2e tour », et comme le précédent, il n'engage que la responsabilité de son auteur et n'attend que d'être réfuté.
Il ne faut pas avoir honte, ni s'en mordre les doigts ! Les lignes qui suivent ne sont qu'une simple réflexion, et ne sont pas une énième proposition de sauvetage de la France : le peuple laborieux n'est pas « en capacité » (comme disait l'autre) de le faire.
À JC, qui écrit : « Je pense que tu vois le fond de ma pensée, soyons également des penseurs libres, et notamment libres d’en écouter d’autres sans perdre son esprit critique et sans se sentir obligé de se rallier à un camp. Les plus libres que je connaisse maintenant sont etc. »
Dialogue où l'on pourra discerner deux types d'hostilité face à une idée ; la première « de droite », c'est-à-dire qu'elle préfère attaquer la forme pour mieux dévaloriser le fond, la seconde qu'il faut hélas ! dénommer « communiste », mais au sens que la même droite prétend donner à ce mot.
« Pour cette rentrée scolaire, (...) nous avons choisi d'aider les enfants de Mayotte (...) Tout le système éducatif de ce 101e et plus récent département français est à refonder. Tous les indicateurs sont au rouge, etc. »
Avant l'enterrement de la Ve et le prochain passage à la VIe République, un petit retour à la IVe s'impose sous la forme d'une citation d'un Président du conseil, Henri Queuille, qui disait que l'immobilisme est en marche et que rien ne saurait l'arrêter, mais aussi : « Il n'est point de problème qu'une absence de solution ne puisse résoudre »