Il faut préciser ici que si je me permets de sous-titrer : "Un petit souvenir en ces temps de pantalonnade", c'est en prenant le mot dans son sens littéraire selon le Larousse qui dit : "manifestation hypocrite d'un sentiment". Et aussi parce que je me suis permis préalablement le petit raisonnement intérieur suivant : De quel côté se trouvent ceux qui organisent aujourd'hui les cérémonies mémorielles ? En tant que laquais actuel des capitalistes, de quel côté eût-il ce Président été aux temps terribles ? Bien malin qui peut le dire pour l'individu, mais pour le bord politique et la couche sociale, il n'y a aucun doute : du côté de Munich, du : "Plutôt Hitler que le Front populaire", puis de la collaboration.
Hommage soit donc d'abord rendu ici aux héros et martyrs du groupe Manouchian et aux quatre qui entreront au Panthéon, sauf le respect qui est dû à la fonction présidentielle.
Donc François Hollande recevait lundi à l’Élysée, après un dîner de gala dimanche soir (parce qu’ils le valent bien) trente-quatre dirigeants de groupes internationaux pour les convaincre de l’attractivité de la France.
L'Humanité.fr publie « L'appel de la gauche du PS : "Non à la politique de l'offre" ». Il est précédé de cette présentation :
27 membres du bureau national du PS sur 72 ont signé un appel pour une autre politique. Non à la politique de l’offre ! Non à la baisse du « coût du travail » disent-ils. "Si 35 % de la direction du parti signe cela, on peut penser que, à la base, c’est bien plus que la majorité des adhérents tellement le mécontentement est grand" écrit Gérard Filoche, également signataire.
Il paraît que 720 000 familles recomposées, que des enfants placés, des candidats à l'adoption, des partisans d'une réforme de la filiation, ceux nés sous X à la recherche de leur origine, attendaient impatiemment la loi sur la famille.
Ils sont passés par pertes et profits en attendant un hypothétique printemps 2015.
Avec le téléfilm Page Eight réalisé en 2011 par David Hare, les Britanniques ont réservé une surprise de taille au téléspectateur enclin à sommeiller devant les séries policières.
Zeev Sternhell est un historien des idées et un penseur politique israélien qui s’est attaché à étudier le fascisme. La cohérence de ses thèses et ce qu’elles remettaient en cause dans le paysage de la politique et de la pensée dans la France de l’après-guerre, et beaucoup de grands noms, ne pouvait lui attirer les sympathies. De nombreux historiens à la lecture desquels, hélas ! l’intérêt n’est pas aussi soutenu se sont attelés à sa critique. Il ne sera retenu ici qu’un seul aspect de cette critique : celui de ne pas même avoir donné une définition du fascisme.
Qu’on en juge.
L’UMP Dominique Versini rejoint l’équipe d’Anne Hidalgo
Treize millions de Chiliens sont appelés à élire ce dimanche leur nouvelle présidente (ou nouveau président), parmi neuf candidats. En même temps, ils devront élire les députés, renouveler la moitié du Sénat et désigner, pour la première fois depuis de récentes modifications de la loi électorale, les conseillers régionaux.
Au sujet de la stratégie de l’accession au pouvoir.
La note de la France dégradée de AA+ à AA par Standard & Poor’s