CHINE-OCCIDENT Entre les grandes puissances sur le déclin et la vieille nation qui revient de loin, la méfiance d’aujourd’hui prend sa source au XIXe siècle. Rappel historique.
Du 3 au 16 juillet j’ai eu le privilège de visiter quelques villes et réalités de la Chine, dans le cadre d’une délégation invitée par le Parti communiste chinois, délégation dont faisaient partie aussi des représentants de partis communistes du Portugal, de Grèce et de France et de la Linke allemande ; pour l’Italie, outre le soussigné, ont participé au voyage Vladimiro Giacchè et Francesco Maringiò . Le présent texte n’est pas un journal ni une chronique ; il s’agit de réflexions qui sont le fruit d’une expérience extraordinaire.
Le GS publie le troisième et dernier volet des articles écrits par Maxime Vivas, au retour d’un voyage d’étude au Tibet avec des journalistes du Monde, du Figaro et deux journalistes free-lance.
Au bout du compte, le lecteur aura pu lire des informations puisées à des sources contradictoires : témoignage de l’auteur, paroles, discours et interviews du dalaï lama, paroles des autorités chinoises, d’autres sources encore.
Enfin, nous publions, en dessous de ce dernier article, celui que l’envoyé spécial du Figaro a publié à l’issue de ce voyage. Quand ils seront parus, nous donnerons à lire, si cela est possible, ceux du journaliste du Monde et des journalistes free-lance.
LGS n’ignore pas qu’il suffit d’écrire le mot « Tibet » pour que s’enflent des passions, mais nous croyons avoir fait oeuvre utile en ouvrant nos colonnes à des écrits diversifiés et à des personnes de plusieurs sensibilités.
LGS.
Sur invitation, Maxime Vivas est au Tibet avec un groupe de journalistes (Le Figaro, Le Monde et deux journalistes free-lance). Il nous livre ici une première approche de la question tibétaine en la replaçant dans le contexte qui la projeta sous les feux de l’actualité lors du passage de la flamme olympique à Paris en avril 2008.
Dans un autre article à venir, il dira ce qu’il a vu et qui rompt avec le discours ambiant.
LGS.