Réunies en Afrique du Sud jusqu’à ce mercredi soir, les puissances émergentes tentent d’élaborer des politiques communes "¨et se penchent sur le développement du continent africain.
L’Irak, l’Afghanistan, la Palestine et la Libye sont en ruines, écrasés par les lourdes bottes de l’impérialisme occidental. Mais on nous dit, nous avons peur de la Chine.
« Zou chuqu » est une expression officielle utilisée par le gouvernement chinois. Elle décrit l’invitation faite aux entreprises du pays - notamment celles portées vers les marchés internationaux auxquelles il est directement associé - pour qu’elles se déploient et investissent activement en Afrique, au Moyen-Orient et en Amérique latine.
Ce slogan pourrait se traduire par « aller au dehors » ou « sortir au loin ».
Quel que soit le côté duquel on observe les salaires dans les pays émergents, on ne peut que constater leur augmentation. En dépit la crise, mais avec des variations très disparates d’un pays à l’autre. Toujours est-il qu’ils augmentent.
Washington l’obstinée
Avec sa puissance en déclin, Washington n’a pas pu conserver la Russie en dehors de l’OMC. Le congrès a montré son impuissance en ferrant la normalisation du commerce avec la Russie avec ce qui est appelé "la règle de Magnitsky" .http://www.bbc.co.uk/news/world-us-canada-20634768
Zheng Ruolin (Ruolin est le prénom) publie chez Denoël un livre délicieux et malicieux : « Les Chinois sont des hommes comme les autres ».
L’auteur vit en France depuis une vingtaine d’années. Son père, récemment décédé, était un intellectuel Chinois célèbre dans son pays et un traducteur d’auteurs français (dont Balzac). Il avait subi la rigueur de la terrible époque de la Révolution culturelle à l’époque de Mao.
« Je ne perds pas confiance dans ce que représente le communisme comme source d’inspiration pour la résolution de conflits qui a amené jusqu’à aujourd’hui des bouleversements dans les structures de pouvoir à l’intérieure même des nations de ce monde. Le Printemps arabe n’en étant que la dernière illustration. »