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Thème : Bolivie

Bolivie

Danielle Mitterrand critique "l’indifférence" de Bernard Kouchner face aux menaces putschistes en Bolivie

DIVERS

Alors que Bernard Kouchner se trouve en Amérique latine, Danielle Mitterrand a exhorté mercredi le ministre français des Affaires étrangères à sortir de l’"indifférence" et à s’élever contre les "tentatives putschistes" dont serait menacé le président bolivien Evo Morales et le soutien que fournirait Washington à ce dessein.

Elu en 2005 premier président amérindien de ce pays peuplé majoritairement d'indigènes, Evo Morales fait face à des "manoeuvres de déstabilisation de la démocratie et de préparation de guerre civile" fomentées par "la minorité qui a perdu le pouvoir", estime l'épouse du président François Mitterrand, qui préside la fondation France Libertés, dans une lettre ouverte qui commence par "Cher Bernard". Elle déplore l'"indifférence de la France" et de l'Europe devant les "bandes fascistes" qui intimident les Indiens dans les zones où l'opposition au président est forte, comme dans la province de Santa Cruz. "A Santa Cruz il y a des bandes fascistes qui font régner la peur parmis les habitants indigènes et parlent de « purification éthnique » dans un pays où 63% de la population est indigène", dit Danielle Mitterrand. "Cette indifférence de la France se double souvent d'ignorance ou de préjugés, dont j'ai pu hélas constater l'écho lors de ma dernière conversation avec toi", (…) Lire la suite »
Bolivie Mexique

Le sénateur bolivien n’a pas obtenu l’appui du Mexique pour le référendum séparatiste du 4 mai

DIVERS

Le sénateur d’extrême droite membre du parti Pouvoir Démocratique Social bolivien (Podemos) Oscar Ortiz n’a pas obtenu l’approbation du Gouvernement du Mexique sur le statut local qui sera soumis à consultation dimanche prochain dans la ville de Santa Cruz, capital du département bolivien du même nom.

Après sa visite au Secrétariat des Relations Extérieures (SRE) du pays aztèque, la présence d'Ortiz - un des adversaires les plus vitulents du gouvernement socialiste d'Evo Morales - a été répudié par plusieurs associations et groupes de citoyens solidaires du processus démocratique bolivien, parmi eux le Comité mexicain de Solidarité avec la Bolivie. Le SRE a émis un communiqué de presse dans lequel il souligne qu'il s'agit « d'une visite de courtoisie » et précise que le chancelier, Patricia Espinosa, « lui a réitéré (au sénateur) l'egagement du Gouvernement du Mexique aux principes de non intervention et le respect de la souveraineté de chaque État pour décider sur ses affaires internes ». Il ajouta que « le Mexique continuera à soutenir tous les efforts qui permettront de préserver la paix (...) en respectant l'ordre constitutionnel, l'unité et l'intégrité territoriale et l'État de Droit » de la Bolivie. Aucun média de communication, sauf le journal « La Jornada », n'a (…) Lire la suite »
Bolivie

L’ OEA approuve le Gouvernement de Morales et exhorte les préfets d’opposition à dialoguer

DIVERS

L’OEA a alerté sur le risque que des faits de violence se produisent en raison du référendum séparatiste illégal du département de Santa Cruz, le 4 mai prochain, c’est pourquoi elle a incité les gouverneurs boliviens d’opposition à soutenir un "nécessaire et urgent dialogue" avec le Gouvernement de La Paz qui, ce samedi, a réitéré sa disposition à négocier.

L'Organisation des Etats Américains (OEA) a exprimé ce samedi son soutien total au Gouvernement du président bolivien, Evo Morales, et a exhorté les préfets d'opposition à fixer le lieu et la date pour un dialogue, avant le référendum séparatiste illégal que prétend mener à bien les autorités du département de Santa Cruz le 4 mai prochain. Lors d'une session extraordinaire du Conseil Permanent de l'OEA à Washington, pour analyser la crise politique bolivienne produites par les prétentions séparatistes des groupes de pouvoir appelés « demi - lune » (Santa Cruz, Tarija, Beni et Pando), l'organisme a réitéré son plein soutien aux institutions boliviennes et a demandé aux préfets d'opposition de répondre concrètement à l'appel au dialogue qu'il a formulé. « Il existe un consensus au Conseil pour soutenir pleinement les autorités légitimement choisies par le peuple de Bolivie à travers la légalité existante dans ce pays », a exprimé le secrétaire général de l'OEA, José Miguel (…) Lire la suite »
Bolivie

Plein rejet des prétentions du préfet de Santa Cruz de proclamer une ’’seconde République’’ en Bolivie

DIVERS

Divers secteurs sociaux du peuple bolivien, ont répudié l’annonce faite ce vendredi par le préfet d’opposition du département de Santa Cruz, Rubén Costas, de proclamer une seconde république en Bolivie, suite au référendum autonomiste illégal qu’il prétend effectuer le 4 mai.

L'annonce polémique faite par le préfet d'opposition du département bolivien de Santa Cruz, Rubén Costas, visant à chercher la création d'une seconde république en Bolivie, a provoqué un rejet ferme des mouvements sociaux boliviens ainsi que des habitants de la région cruceña. Costas a dit ce vendredi qu'après le référendum illégal qu'il prétend mener à bien le 4 mai prochain, il essayera de promouvoir la création d'une seconde république en Bolivie. Le préfet a assuré qu'après la consultation qu'il persiste à vouloir effectuer, malgré sa suspension par la Cours Nationale Électorale (CNE) bolivienne, naîtra « une nouvelle république, une seconde république non centralisatrice mais régionale ce 4 mai prochain ». « Nous sommes blasés d'un centralisme où on fait ce que l'on veut, ils ne freineront pas la consultation du 4 mai malgré des actes désespérés du Gouvernement pour éviter ce fait », a affirmé le Préfet cruceño à la presse. Ils dénoncent la tentative de cessession (…) Lire la suite »
Bolivie

L’OEA signale le risque de violence en Bolivie face à la réalisation de référendums séparatistes

Telesur

Le Secrétaire général de l’OEA, José Miguel Insulza, s’est accordé avec Caputo et a incité le gouvernement bolivien et les secteurs d’opposition à examiner la situation pour résoudre la crise. Devant les prétentions des autorités départementales de Santa Cruz, en Bolivie, d’organiser un référendum sur son statut illégal d’autonomie le 4 mai prochain, le secrétaire des Affaires Politiques de l’Organisation des États Américains (OEA), Dante Caputo, a signalé la possibilité que la crise politique dégénère en violence.

« Le 4 mai il peut y avoir des violences et la possibilité que la tension se transforme en conflit est certaine, comme est aussi certaine la possibilité que le conflit débouche sur la violence », a soutenu Caputo. Ce mercredi le Conseil Permanent de l'OEA a convoqué une session extraordinaire pour recevoir le rapport verbal de la mission qui a récemment voyagé en Bolivie et qui a été dirigée par Caputo. Durant la session, Caputo a souligné la nécessité de profiter des espaces de dialogue existants pour éviter des morts et a dit qu' « ils ont vu les conditions pour un processus de négociations prudent et réservé » entre le gouvernement et les autorités régionales, mais « des raisons de nature politique bloquent ce début de négociations ». A ce sujet il a clarifié qu'il ne prétendait pas souligner « un rapport postmorten », mais au contraire, il veut avertir sur le danger existant et la nécessité de déployer tous les efforts pour éviter de possibles catastrophes. Pour sa (…) Lire la suite »

PETITION : NOUS DÉNONCONS LA CONSPIRACION POUR DIVISER LA BOLIVIE

DIVERS
En Bolivie, le processus de changements pour les majorités court le risque d'être brutalement restreint. L'arrivée au pouvoir d'un président indigène, élu avec un soutien sans précédent dans ce pays, et ses programmes de bénéfice populaire et de récupération des ressources naturelles, ont dû affronter dès les premiers moments les conspirations oligarchiques et l'ingérence impériale. Récemment, l'escalade conspirative a atteint ses niveaux maximaux. Les actions subversives et anticonstitutionnelles avec lesquelles les groupes oligarchiques prétendent diviser la nation bolivienne, reflètent la mentalité raciste et élitiste de ces secteurs et constituent un très dangereux précédent, non seulement pour l'intégrité de ce pays, mais aussi pour celle d'autres pays de notre région. L'histoire montre avec une grande éloquence les terribles conséquences que les processus divisionnistes et séparatistes induits et approuvés par de puissants intérêts étrangers ont eu pour l'humanité sur (…) Lire la suite »
Bolivie

Un diplomate bolivien assure que les USA promeuvent le séparatisme pour renverser Evo Morales

DIVERS

« Ils souhaitent se séparer de la Bolivie parce qu’ils considèrent que dans leur territoire on trouve les plus grandes richesses, d’importantes réserves d’hydrocarbures, les terres les plus productives et avec ces richesses, ils peuvent se maintenir », a expliqué le diplomate en se référant au referendum séparatiste à Santa Cruz.

Le Représentant des Affaires boliviennes au Vénézuéla Jorge Alvarado a qualifié ce mercredi comme positive la déclaration du Sommet extraordinaire de l'Alternative Bolivarienne pour l'Amérique (ALBA) à Caracas. Il a estimé que celle-ci dénonce les tentatives séparatistes pour renverser le président Evo Morales et qu'elles sont propulsées par les Etats-Unis. Lors d'une entrevue exclusive avec TeleSUR, Alvarado a soutenu que « la décision du Sommet est importante parce qu'elle rejette les tentatives séparatistes des oligarchies de Bolivie, les grands propriétaires qui craignent de perdre cette hégémonie qu'ils ont sur la terre ». « Derrière tout ceci c'est l'empire, et le renversement d'Evo Morales en Bolivie signifierait le renversement de l'espoir du peuple latino-americain, et sa libération définitive », a considéré le haut fonctionnaire. A son avis, la déclaration du Sommet est « une accolade » au peuple bolivien dans sa recherche de libération, mais c'est en outre un appui (…) Lire la suite »
Bolivie

L’ONU déplore une agression des propriétaires fonciers contre des guaranà­es en Bolivie

DIVERS

A travers un communiqué, l’organisme international a affirmé que les actes de violence suscités contre les indigènes « sont incompatibles avec le respect des droits humains, et des recherches doivent être faites pour éclaircir le sujet de manière à ce que les responsables soient sanctionnés dès que possible ».

Le Haut responsable des Nations Unies pour les Droits Humains en Bolivie a déploré ce jeudi la violence perpétrée à l'encontre du peuple guaranà­ dans le département de Santa Cruz, où les propriétaires fonciers refusent d'accepter le processus de redistribution des terres mis en avant par le Gouvernement d'Evo Morales. A travers un communiqué, l'organisme international a affirmé que les faits de violence suscités à l'encontre des indigènes « sont incompatibles avec le respect des droits humains, des recherches doivent être faites pour éclaircir le sujet de manière à ce que les responsables soient sanctionnés dès que possible ». Dimanche, quelque 700 personnes, éleveurs et membres de représentants "cruceños", ont attaqué par surprise des représentants de l'Assemblée du Peuple Guaranà­ (APG) et des fonctionnaires gouvernementaux de l'Institut National de Réforme Agraire (INRA) et du vice-ministère des Terres, qu' elles ont attaqué avec des bâtons, des pierres et des couteaux. (…) Lire la suite »
Bolivie

Garcà­a Linera : Des secteurs conservateurs n’acceptent pas la volonté de changement en Bolivie

DIVERS

Le vice-président de la Bolivie, à lvaro Garcà­a Linera, dans une entrevue exclusive avec TeleSUR a assuré ce mercredi que l’opposition conservatrice qui s’oppose au changement, n’est pas disposée à dialoguer, et parie sur la violence en promouvant des politiques anticonstitutionnelles qui cherchent à déstabiliser le pays.

Devant la tenue prochaine de référendum autonomistes que les autorités départementales prétendent mener à bien le 4 mai prochain à Santa Cruz, le vice-président de Bolivie, à lvaro Garcà­a Linera, a affirmé que la tension vécue dans son pays est la conséquence de la résistance des secteurs conservateurs qui refusent d'accepter le processus de changements que promeut le Gouvernement d'Evo Morales. « Ce qui arrive en Bolivie est qu'il y a un conflit, une tension entre le Gouvernement national avec sa légitimité, sa vocation démocratique, ses projets de changement et les chefs politiques d'une région qui ont une mentalité conservatrice, ils ne l'acceptent pas », a dit le vice-président. A son avis « cette tension est légitime, ils n'ont pas à être alarmés de cela, on peut comprendre cette pression des chefs régionaux visant à préserver d'anciens privilèges, chercher à préserver la terre, chercher à préserver une série de bénéfices personnels qu'ils avaient dans le passé ». Dans (…) Lire la suite »
Bolivie

Le rapporteur de l’ONU interroge sur le référendum séparatiste que promeut l’ opposition bolivienne

DIVERS

Le rapporteur de l’ONU, Rodolfo Stavenhagen, a observé ’’ avec préoccupation l’intention des autorités du département de Santa Cruz de procéder à un référendum unilatéral sur l’autonomie départementale en marge de la Constitution Politique de l’État ’’.

Des représentants de l’Organisation des Nations Unies (ONU) ont qualifié comme unilatéral et en marge de la Constitution Politique de l’État (CPE), le référendum autonomiste que prépare l’opposition pour le 4 mai prochain dans le département de Santa Cruz, Bolivie.

Malgré l'atmosphère généralisée de rejet qui existe concernant la consultation, les secteurs conservateurs refusent de suspendre leur projet séparatiste, sans disposer encore d'un cadre légal sur le quel il puisse se fonder. Le rapporteur spécial de l'ONU, Rodolfo Stavenhagen, a indiqué ce mercredi qu'il observe « avec préoccupation l'intention des autorités du département de Santa Cruz de procéder à un référendum unilatéral sur l'autonomie départementale en marge de la Constitution Politique de l'État ». En ce sens, Stavenhagen a appelé spécialement les autorités, le préfet de Santa Cruz , Rubén Costas, à préserver la démocratie dans le pays andin. Le fonctionnaire a souligné que le statut autonome de cette région, spécifiquement l'article 161, contient des dispositions « de nature raciste » hautement préjudiciables pour les droits humains des peuples indigènes. Une partie de cet article pose problème en vertu de la Convention 169 de l'Organisation Internationale du (…) Lire la suite »