Le Bureau chargé de la fermeture du centre de détention, fermé depuis janvier, doit rouvrir avec un nouveau responsable à sa tête. Sur l’île de Cuba, les détenus sont toujours en grève de la faim
L’histoire du vaste programme d’écoutes téléphoniques, véritable violation des libertés, au profit de l’Agence nationale de sécurité américaine ramène le Big Brother d’Orwell dans son pays d’origine, les États-Unis.
Le président américain, Barack Obama, vient de décider une nouvelle stratégie de lutte contre le terrorisme dans son discours prononcé, jeudi dernier, à l’Université nationale de la défense à Washington.
Le pays du Sham - ou grande Syrie - concentre une extraordinaire diversité humaine tant au plan ethnique qu’au plan des confessions et des langues. Des églises donnent encore la messe dans la langue de Jésus et en Syriaque.
Il souffle comme un vent de protestation à Guantanamo. La semaine dernière (le 20 mars, NDLR), vingt-quatre détenus avaient entamé une grève de la faim dans le camp illégal que les États-Unis ont construit sans le consentement du gouvernement de La Havane. La semaine d’avant, ils n’étaient « que » quatorze. « La colère s’amplifie », a finalement dû reconnaître un porte-parole du Pentagone, le colonel Todd Breasseale.
Debout sur le tarmac de l’aéroport international Ben-Gourion - de triste mémoire - ébaubi sous un soleil ébaudi, le reporter-figurant de Radio-Canada en Orient sourit de toutes ses dents, à la vue du distingué invité de Bibi Netanyahu, dit « l’Étrangleur de Gaza ». Dans les instants qui suivent, monsieur Chartrand, l’envoyé spécial de la télé d’État, rend compte de ce qu’il qualifie d’une visite de courtoisie que consacre Barak Obama...