L’éditorial pose la question de savoir s’il existe un « bon anthropocène ». « Le désir insatiable de domination du monde naturel nous a conduit à la catastrophe. […] Ce n’est pas parce qu’il y a le feu à la planète que nous sommes antiproductivistes mais par ce que le productivisme n’est pas la solution à la misère sociale, culturelle, politique, anthropologique. »
Auteur de plusieurs romans où, entre autres choses, elle dénonçait le capitalisme (Une fièvre impossible à dénoncer, Nous sommes les oiseaux de la tempête qui s’annonce), Lola Lafon – qui a grandi en Roumanie – explore, dans cette très belle biographie fictive de Nadia Comaneci, la manipulation d’une sportive par le système communiste, mais également par le monde du marché.
J’ai exprimé mon courroux lorsque les Solfériniens de la Haute-Garonne ont transformé la MJC Roguet de Toulouse en “ Espace Roguet ” (La Dépêche du Midi jouant le jeu des socialistes coupeurs de crédit). Ce changement d’appellation cachait (et révélait) une bien triste réalité sociale.
Pour écrire un tel livre, il fallait être philosophe, auteur-compositeur, musicien, féru de chanson française. You name him, comme disent les Grands-Bretons, et vous dévorez cet ouvrage très original qui prend le pari (et le gagne) d’associer des extraits de chansons populaires françaises à des développements philosophiques des plus grands penseurs de l’histoire de l’humanité.
Au soir de sa vie, le grand journaliste et écrivain Anthony Sampson, auteur de la biographie autorisée de Nelson Mandela, rédigea sa propre biographie.
le numéro 2 du régime dictatorial franquiste s’est effectivement envolé. Vers 9 heures 30, le révérend père Turpin lisait son bréviaire au couvent des Jésuites, dans la tranquille rue Claudio Coellio à Madrid. Il vit soudain passer devant sa fenêtre une Dodge noire de deux tonnes qui effectua un vol de plus de trente mètres de haut.
Les Zindigné(e)s ! n°10 consacre plusieurs articles à la Martinique, comme « laboratoire politique du Bien-vivre et du Beau vivre.