Dans ce numéro de juin 2014, le Diplo s’intéresse aux puissants qui redessinent le monde. Les Européens rejettent de plus en plus l’Europe ? Réponse : un grand traité négocié en secret !
À l’époque où Jean-Pierre Chevènement parvenait à exister encore un peu sur la scène politique nationale, il avait popularisé le concept de « gauche américaine ». Il avait, malheureusement, parfaitement raison de qualifier de la sorte les rocardiens, la Cfdt, cette gauche qui avait accepté l’inéluctabilité de la mondialisation financière, dans le sillage de Delors, Lamy et Strauss-Kahn.
Ce numéro s’attaque au productivisme à tout crin « qui conduit d’abord les pauvres dans le mur ».
Ce qui suit m’a été inspiré par le récent livre de Bernard Cassen (et al.), Le parlement européen, pour faire quoi ?, Bellecombe en Bauges, Éditions du Croquant, 2014. Quand on voit ce qui s’écrit actuellement sur le Parlement européen, on se dit que cet ouvrage très didactique tombe à pic.
Numéro de mai 2014 très tonique.
C’est bien connu : on ne vient jamais de nulle part. Bruno Julliard est le fils d’Arlette Arnaud-Landau (il s’appelle d’ailleurs officiellement Bruno Julliard-Landau) qui fut maire socialiste du Puy-en-Velay de 2001 à 2008. Il a donc baigné tout petit dans le bain de la politique et le solférinisme.
Une publicité très choquante passe régulièrement sur nos antennes télévisées. Tout à fait dans l’air du temps d’un Solférinisme, non pas triomphant, mais médiocre et réactionnaire.
Le mensuel titre, sans qu’on en soit vraiment surpris, « Le PS, deuxième droite ».
« Je suis né sous les signes jumeaux du voyage et de la mort », disait Jules Supervielle.