Le FMI poursuit sa route en Ukraine (partie 5) Au cours de cette série, l’histoire tumultueuse du FMI en Ukraine est décryptée avec une attention particulière sur la période post-insurrectionnelle de 2014. Le plan d’endettement approuvé au forceps par le gouvernement non élu à l’issue du mouvement révolutionnaire est une aubaine pour l’institution et lui permet de renforcer ses recettes capitalistes dans l’ancienne Union soviétique.
Le FMI poursuit sa route en Ukraine (partie 4)
Le FMI poursuit sa route en Ukraine (partie 3) Au cours de cette série, l’histoire tumultueuse du FMI en Ukraine est décryptée depuis le déclenchement de la crise de 2007/2008 jusqu’à aujourd’hui, avec une attention particulière sur la période post-insurrectionnelle de 2014. Le plan d’endettement approuvé au forceps par le gouvernement non élu à l’issue du mouvement révolutionnaire est une aubaine pour l’institution et lui permet de renforcer ses recettes capitalistes dans l’ancienne Union soviétique.
Suite à un puissant mouvement insurrectionnel aboutissant à la destitution du président ukrainien Viktor Ianoukovytch, le nouveau gouvernement transitoire mis en place le 27 février 2014, offre au FMI l’opportunité d’infliger une violente cure d’austérité au peuple ukrainien.
En Espagne, malgré tout ce que peut dire le gouvernement en termes de croissance et de relance des exportations, ce ne sont pas les raisons qui manquent pour manifester son mécontentement.
L’examen de la troïka réalisé par le Parlement Européen justifie les graves déficiences démocratiques et juridiques de la Commission européenne, la Banque centrale européenne (BCE) et le Fonds monétaire international (FMI) envers les pays soumis au « programmes » de sauvetages financiers qu’ils mènent depuis quatre ans.
Dans la foulée de sa cinquième mission en Espagne, entre le 2 et le 13 décembre 2013, la Troïka – Commission européenne (CE), Banque centrale européenne (BCE) et Fonds monétaire international (FMI) – a applaudit le chemin parcouru jusqu’au sauvetage bancaire alors qu’elle continue à réclamer au gouvernement espagnol qu’il poursuive dans la même direction de l’austérité mortifère pour la population.