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Thème : Bolivie

Nationalisations en Bolivie : le Royaume d’Espagne saigne et attaque avec des insultes en tous genres.

DIVERS
2 mai 2012 - Le président Evo Morales a promulgué mardi un décret qui nationalise les actions de la Red Eléctrica Internacional SAU, filiale de la Red Eléctrica Española, pour l'Entreprise de Transport d'Electricité SA, lors d'un acte qu'il a rendu public avec plusieurs organisations sociales et syndicales le jour de la Fête du Travail.. Quelques heures seulement après que le Gouvernement Bolivien ait nationalisé la Red Eléctrica, les médias espagnols sont partis à l'attaque avec l'arrogance qui les caractérise, et, évidemment, le Président Chavez et la Présidente Cristina Fernández n'y ont pas échappé.. Vidéos en espagnol pour la langue. En international pour les images : http://www.youtube.com/user/sucreranda http://www.youtube.com/user/saneraug Lire la suite »

BOLIVIE : « Un Révolutionnaire est incorruptible, humble, travailleur, et au service des pauvres »

Contrainjerencia

19 décembre 2011 - ABI - Le vice-président Bolivien, à lvaro Garcà­a Linera, a affirmé samedi que le Révolutionnaire véritable n’a pas de bénéfices personnels, mais qu’il est incorruptible, humble et travailleur , et qu’il est toujours au service des opprimés et des pauvres.

Garcà­a Linera a affirmé cela lors de sa participation à la Rencontre Nationale des Groupes de Formation Politique qui a eu lieu au siège de la Vice-Présidence, avec la participation d'environ 150 représentants des Universités Techniques de Oruro, Nacional Siglo XX, Indà­gena Aymara Túpac Katari, Tomás Frà­as et de l'Ecole de Formation des Maîtres. (…) « Un révolutionnaire est un être incorruptible, dont on ne change pas les idées pour une charge, pour un poste, dont on ne change pas les idées avec un salaire, une moto, un compte en banque ou une maison. Il est incorruptible », a-t-il souligné. Il a rappelé que le Président Evo Morales a assumé le mandat confié par le pays parce qu'il n'a jamais négocié ses idées ou son âme, parce qu'en tant que dirigeant, il n'a jamais remis en question la cause et la lutte du peuple pour de l'argent ou des charges publiques. Garcà­a Linera a dit que ceux qui veulent être utiles à ceux qui sont dans le besoin contre les abus et l'arrogance de (…) Lire la suite »

Pour Evo Morales il faut démocratiser pour approfondir le changement (Rebelion)

Atilio BORON
C'est hier que le président Evo Morales a inauguré à Cochabamba la "Première Rencontre Plurinationale pour Approfondir le Changement" qui est en train de transformer la société bolivienne. Ce que la presse appelle "Sommet Social" a réuni une assistance multiple de plus de 1000 délégués de divers mouvements sociaux de toutes les régions du pays, qui répondirent à un conclave dont la première phase durera trois jours et dans lesquels dix commissions de travail examineront autant de sujets et de défis cruciaux du moment actuel. Le Vice-président Alvaro Garcia Linera ainsi que des ministres et des hauts fonctionnaires du gouvernement national étaient présents dans ces commissions, apportant de l'information et surtout écoutant les demandes et plus spécialement les propositions que donnèrent à connaître les mouvements. Ces premières conclusions seront présentées et à nouveau discutées dans une série de réunions qui auront lieu dans les prochaines semaines dans les (…) Lire la suite »
LE MODE D’EMPLOI POUR DÉSTABILISER LES RÉFRACTAIRES

Bolivie dans la mire de Washington

Oscar FORTIN
Le président Évo Morales, lors de son intervention à l'Assemblée générale des Nations Unies, a fait ressortir, entre autres, l'insécurité générée par le nouveau mode d'emploi des Etats-Unis et de l'Otan visant la déstabilisation et le renversement de gouvernements. La crise économique les pousse vers les pays riches en pétrole, minerais et richesses de toute nature. « … La crise économique du capitalisme n'est pas seulement conjoncturelle, mais surtout structurelle. Alors que font les pays capitalistes ou impérialistes ? Ils cherchent n'importe quel prétexte pour intervenir dans un pays pour y récupérer ses ressources naturelles (,,,) ils préparent des interventions lorsque les présidents, les gouvernements, les peuples sont ni pro capitalistes ni pro impérialistes. » Il est évident que ce qui se passe en Libye met clairement en évidence ce nouveau mode d'emploi qui a été reconnu par le président Obama comme la nouvelle façon de faire. Pour les pays émergents et les (…) Lire la suite »

Les indigènes ne reconnaissent plus « leur » gouvernement

Bernard Perrin

BOLIVIE "¢ Une route en construction à travers l’Amazonie aggrave la crise entre les mouvements indigènes et le pouvoir bolivien. Une marche sur La Paz a débuté lundi.

Pour la première fois de son histoire, la Bolivie est dirigée par un président d'origine indigène. Mais pour la deuxième fois depuis son accession au pouvoir, en janvier 2006, Evo Morales affronte la révolte des peuples autochtones de l'Amazonie et de l'Altiplano. Le 15 août, un millier d'indigènes ont entamé à Trinidad une longue marche de protestation de plusieurs semaines, qui doit les mener jusqu'à La Paz. C'est que leur président, qui s'est proclamé grand défenseur mondial de la Pachamama, la Terre Mère, est en train d'asphalter 306 kilomètres au coeur de l'Amazonie(1). A terme, la route entre Villa Tunari et San Ignacio de Moxos, qui doit relier les départements de Cochabamba et Beni, mettra en péril les 1,1 million d'hectares du Territoire indigène et Parc national Isiboro Sécure, le TIPNIS. Déforestation massive Le Programme de recherches stratégiques bolivien (PIEB) a d'ailleurs tiré la sonnette d'alarme. Une étude démontre que la route causera en dix-huit ans la (…) Lire la suite »

Bolivie : vers la fin de la dictature médiatique ?

Fortunato Esquivel
Votée en 1997, la Loi des Télécommunications, toujours en vigueur, arrive à son terme. En effet, à la mi-juillet, le parlement bolivien a débuté l'examen d'un nouveau projet de loi. Ce nouveau texte bénéficiera à l'ensemble de la population bolivienne et devrait aider à mettre un terme aux grands empires médiatiques. La loi actuelle encore en vigueur pour quelques semaines avait été votée par un gouvernement néolibéral. Elle réorganisait la répartition du spectre radioélectrique, même si en vérité ce fut surtout une astuce pour faire disparaître les radios syndicales, alors seuls médias d'opposition existants. Depuis, ces médias ont obtenu une licence pour vingt ans, et les fréquences ont été légalisées. Si ces concessions expirent en 2017, la nouvelle loi est d'ores et déjà à l'étude, et ce depuis ce mois-ci. Les autorités ont annoncé que la répartition des fréquences sera de 33% pour le secteur privé, 33% pour le secteur public et de 34% pour les radios communautaires, des (…) Lire la suite »

Bolivie : Evo Morales promulgue une loi qui interdit les OGM.

Alma

La Paz le 27 Juin - Le président de Bolivie, Evo Morales, a promulgué aujourd’hui une loi pour initier le développement de l’agriculture dans son pays, mais il n’y aura pas de stimulants pour la production d’OGM comme annoncé initialement par les secteurs de production et les politiques.

Morales a promulgué la Loi de la Révolution de la Production Communautaire, Agronomique et Pastorale (Ley de Revolución Productiva Comunitaria y Agropecuaria) devant les organisations de Paysans et d'Indigènes, qui demandaient la garantie de la sécurité alimentaire avec la souveraineté du pays. Le ministre du gouvernement, Carlos Romero, a expliqué aux médias que la loi fait partie du plan gouvernemental pour stimuler la production agricole et qu'auparavant d'autres étapes ont eu lieu comme la répartition des terres aux indigènes et aux Paysans et l'élimination des relations de servitude dans quelques régions rurales. Il a souligné que la loi ne promeut pas l'utilisation de semences ou aliments transgéniques comme l'ont indiqué des dirigeants de producteurs, l'opposition, et la presse, et il attribue cette version à une confusion sur ce qu'est la règle. " La loi, à aucun moment, n'a mis en oeuvre la promotion ou l'encouragement des OGM. Au contraire, ceux-ci sont interdits" (…) Lire la suite »

La Bolivie : entre l’euphorie et la frustration

Martà­n Cúneo
3 textes de Martà­n Cúneo, envoyé spécial à La Paz, traduits pour Truks en Vrak par Marina Almeida, révisés par Michèle Landais La Bolivie : entre l'euphorie et la frustration EN 2009 EVO MORALES A REMPORTÉ LES ÉLECTIONS AVEC 64% DES VOTES. A PRÉSENT LE GOUVERNEMENT TRAVERSE SON PLUS MAUVAIS MOMENT Le Gouvernement d'Evo Morales a déçu de larges secteurs des mouvements sociaux qui l'ont hissé au pouvoir et qui aspirent à des réformes politiques plus profondes. MARTà N CàšNEO / ENVOYÉ SPÉCIAL A LA PAZ (BOLIVIE) 03/05/11 Dans le bâtiment de la vice-présidence de l'État plurinational, au centre de La Paz, se déroule une réunion des membres du Mouvement vers le Socialisme (MAS). Les chapeaux noirs haut-de-forme, les polleras - jupes traditionnelles - des femmes du Haut plateau et les capes aux tissus andins montrent que les temps ont bien changé. Il y a quelques années le même espace était investi par des députés blancs, des hommes en cravate ayant fait leurs études aux (…) Lire la suite »

Bolivie et Equateur… dans le colimateur ?

Alma
EQUATEUR Le président Rafael Correa, qui a failli être assassiné lors du coup d'état (manqué) soutenu par les USA le 30 Septembre dernier, a remporté le référendum révocatoire qui, sinon, l'aurait chassé de la présidence. Le OUI a obtenu 53,5 % des suffrages et le NON 46,5, soit une différence de 7 pts. Actuellement, les résultats du vote sont contestés. Rafael Correa a observé qu'il n'y a pas d'égalité des votes sur le plan technique et a prévu une différence avec le NON de 200 000 à 1 000 000 de voix en moyenne. Il dit : "La différence est autour de 4 à 14 points, en moyenne de 7 points, ce qui veut dire environ un demi million de votes sur la question [posée par le referendum], et me donne clairement la victoire" A propos de l'opposition, il a insisté sur le fait que ce sont de mauvais perdants car en plus d'instiller la crainte et la peur à la population durant la campagne électorale, ils se refusent maintenant à reconnaître le vainqueur. "Il n'y a pas matière à renoncer (…) Lire la suite »
LES MOUVEMENTS SOCIAUX SE REBELLENT

Les bases essayent de sauver le processus de changement en Bolivie

Martà­n Cúneo

Le "gasolinazo" a marqué un point d’inflexion dans la relation entre les mouvements sociaux et le Gouvernement d’Evo Morales. Les exigences des bases dépassent les directions des organisations et relancent le processus de changement.

MARTà N CàšNEO / ENVOYÉ SPÉCIAL A LA PAZ (BOLIVIE) 03/05/11 Ilustración : Emma Gascó Il y a maintes théories à propos du calcul qui a poussé le Gouvernement du Mouvement au Socialisme (MAS) à décider la plus importante hausse du prix des carburants de l'histoire de la Bolivie, mais toutes s"accordent sur ce que cette hausse aurait occasionnée : la chute immédiate du Gouvernement. Le 30 et 31 décembre 2010, sans que les principales organisations sociales de El Alto n'aient appelé à la mobilisation, des milliers de voisins de cette ville proche de La Paz sont sortis dans la rue pour faire annuler un décret qui attentait directement à leur bourse. Ils sont sortis dans la rue, ont attaqué la mairie, brûlé le péage de la route menant à La Paz et lapidé le siège de la Fédération de Voisins (FEJUVE) de El Alto ainsi que celui de la Centrale Ouvrière Régionale. Les habitants de El Alto accusaient ces organisations de « trahir les luttes d'octobre » pour ne pas avoir (…) Lire la suite »