Le président bolivien Evo Morales, dont le gouvernement a veillé à l’amélioration du niveau de vie et à la réduction spectaculaire de la pauvreté pendant son mandat, a été réélu.
Alors qu’Ernesto « Che » Guevara venait d’être assassiné, le colonel bolivien, Roberto Quintanilla, lui fit amputer les mains. Ce fut un outrage terrible qu’il commit le 9 octobre 1967. Il devint l’homme le plus haï de la gauche mondiale qui était à l’époque nombreuse et radicale.
Voici le texte (traduit et suivi de l’original en espagnol) de la demande d’asile déposée le 21 décembre dernier par Cesare Battisti peu après son arrivée en Bolivie, dont le ministre de l’Intérieur Romero a affirmé, après son expulsion vers l’Italie le 13 janvier, qu’elle avait été rejetée le 26 décembre et qu’en conséquence il avait été remis à la police italienne. Nous nous permettons d’émettre des doutes sur la réalité de ce rejet en bonne et due forme, le ministre n’en ayant pas fourni des preuves. À ce jour, l’opération s’apparente à un kidnapping dans le style des « extraordinary renditions » commises par la CIA à travers le monde après le 11 septembre, et à l’enlèvement d’Illich Ramirez Sanchez, dit Carlos, par les services de Charles Pasqua au Soudan, en 1994. Nous avons conservé le style de l’original en espagnol, corrigeant simplement les fautes de frappe.
Tlaxcala
Au sujet du Venezuela, les médias dominants veulent bien voir la crise, mais pas la guerre économique. Et quand les prises de positions ou actions du gouvernement vénézuélien ne lui laissent plus le choix, les médias y font référence mais en parlant de "prétexte", ou de "présumé complot".
Les ministre des affaires étrangères du Venezuela, Delcy Rodriguez et de Bolivie David Choquehuanca ont été agressés physiquement par la police antiémeute du président argentin Mauricio Macri alors qu'ils tentaient d'entrer au ministère des affaires étrangères argentin où se tenait une réunion du Mercosur.