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Retour aux années trente ?

Obama menace la Russie de lourdes représailles si elle prend des mesures afin que les néo-nazis au pouvoir à Kiev, suite à leur coup d’État appuyé par l’UE et les États-Unis, n’envahissent pas la Crimée.

C’est vraiment scandaleux.

Alors que des dirigeants étasuniens, français, allemands, anglais etc.. se sont rendus personnellement en Ukraine pour soutenir les fascistes insurgés et, probablement, qu’ils les ont financés, voilà que les incendiaires revêtent les vêtements des pompiers et qu’ils menacent la Russie si elle prend des mesures afin que la Crimée, où 60 % de la population est russe, ne soit pas envahie par des fascistes soutenus et armés par la finance internationale.

Scandale également quand le FMI annonce qu’il est prêt à accorder un soutien financier à l’Ukraine, alors que d’autres pays européens crèvent dans la misère : voir la Grèce !

Il y a de quoi être révolté. Cela ressemble de plus en plus à 1941-42...

Pourtant, comme l’a dit Charles Tillon le 17 juin 1940 (un jour avant la déclaration de de Gaulle...) : « nous sommes le nombre, nous sommes la force et nous vaincrons ! ».


Léon LANDINI, ancien officier FTP-MOI, Grand Mutilé de guerre, torturé par la Gestapo, Médaille de la Résistance, Officier de la Légion d’honneur, président du PRCF.

»» http://www.initiative-communiste.fr...
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Que ce soit bien clair : nous avons commis des erreurs, évidemment. Et nous en commettrons d’autres. Mais je peux te dire une chose : jamais nous n’abandonnerons le combat pour un monde meilleur, jamais nous ne baisserons la garde devant l’Empire, jamais nous ne sacrifierons le peuple au profit d’une minorité. Tout ce que nous avons fait, nous l’avons fait non seulement pour nous, mais aussi pour l’Amérique latine, l’Afrique, l’Asie, les générations futures. Nous avons fait tout ce que nous avons pu, et parfois plus, sans rien demander en échange. Rien. Jamais. Alors tu peux dire à tes amis "de gauche" en Europe que leurs critiques ne nous concernent pas, ne nous touchent pas, ne nous impressionnent pas. Nous, nous avons fait une révolution. C’est quoi leur légitimité à ces gens-là, tu peux me le dire ? Qu’ils fassent une révolution chez eux pour commencer. Oh, pas forcément une grande, tout le monde n’a pas les mêmes capacités. Disons une petite, juste assez pour pouvoir prétendre qu’ils savent de quoi ils parlent. Et là, lorsque l’ennemi se déchaînera, lorsque le toit leur tombera sur la tête, ils viendront me voir. Je les attendrai avec une bouteille de rhum.

Ibrahim
Cuba, un soir lors d’une conversation inoubliable.

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