En 1946, la ville de Bordeaux libérée décide de donner à la place marquant l’entrée de la rive droite de la ville le nom héroïque de Place de Stalingrad, afin de commémorer la célèbre bataille qui permit aux armées soviétiques de remporter une victoire décisive sur les armées allemandes, du 19 septembre 1942 au 2 février 1943. Une victoire obtenue par l’armée rouge, réunissant les peuples soviétiques dont les ukrainiens, contre les troupes nazis et leurs alliés fascistes de l’Axe, dont les milices néo nazis nationalistes d’Ukraine de Bandera et de l’OUN, qui sont aujourd’hui célébrées par le régime installée à Kiev. Régime qui abat les monuments de la résistance antifasciste pour leur substituer des statues à la gloire des collaborateurs du IIIe Reich, bras armés de son terrible génocide. Une pétition est lancée pour s’opposer à une campagne négationniste visant à supprimer la place de Stalingrad à Bordeaux et faire respecter la mémoire antifasciste. Pour signer la pétition
Dans une lettre ouverte adressée le 16 février 2024 sous la signature de Léon Landini résistant FTP MOI, l’amicale des anciens francs-tireurs et partisans de la main d’œuvre immigrée (FTP-MOI) des bataillons Carmagnole Liberté dénonce l’éviction des résistants FTP MOI de la cérémonie d’entrée de Missak Manouchian au Panthéon. En dépit de multiples sollicitations, c’est par un silence honteux qu’il a été répondu à leurs adresses. D’évidence, succédant à des décennies d’effacement anticommuniste de la mémoire de ces combattants de la résistance qui ont été, à la pointe de la résistance communiste, le fer de lance des combats pour la libération de la France de l’occupant et la victoire antifasciste contre le nazisme. C’est d’évidence comme le conclut la lettre des bataillons FTP-MOI Carmagnole Liberté pour cette même raison que la décision honteuse de ne pas permettre aux résistants communistes des FTP MOI d’assister à l’hommage à leurs camarades d’arme a été prise. Au moment où le régime Macron paraphe de concert avec l’extrême droite des lois et politiques accélérant la fascisation du pays tout en précipitant la dissolution de la France dans le saut impérial de la fédéralisation de l’Union Européenne éradiquant ainsi les dernières parcelles de souveraineté nationale, il ne pouvaient évidemment pas permettre la présence de ces résistants qui en 2024 continuent à dire avec vigueur comme ils le criaient à la face de leurs bourreaux collaborateurs et nazis » : VIVE LA REPUBLIQUE ! VIVE LA FRANCE ! VIVE LE PARTI COMMUNISTE ! »
Par Léon Landini Président de l’Amicale des Anciens Francs-Tireurs et partisan de la Main d’œuvre Immigrée des Bataillons Carmagnole- Liberté de la région Rhône-Alpes. (Unité à propos de laquelle Charles Tillon a déclaré : « Carmagnole-liberté, un des plus beaux fleurons, si ce n’est le plus beau fleuron de la Résistance armée française »). Officier de la Légion d’Honneur. Médaille de la Résistance. Interné de la Résistance. Grand Mutilé de Guerre suite aux tortures endurées lors de son arrestation. Décoré par le gouvernement de l’Union Soviétique au titre de la Résistance. Président du Pôle de Renaissance Communiste en France (PRCF)
Par Léon Landini, président, ancien FTP-MOI, Georges Gastaud, secrétaire national, Fadi Kassem, secrétaire national adjoint, Gilliatt de Staërck, responsable des Jeunes pour la Renaissance communiste en France (JRCF)
Démocratiquement et à l’issue d’élections libres, le peuple du Venezuela a élu un président : Nicolas Maduro. Que l’opposition fascisante ait boycotté les élections ne change rien à l’affaire. Maduro est un président légitime élu à 68% des voix, soit 32% des électeurs inscrits. Bien plus que Trump et Macron qui n’ont rassemblé que 27% et 18% des électeurs. Nous, les organisations, les citoyennes et citoyens soussignés :
Lancé sur les réseaux sociaux, l’appel à des actions de blocage des routes le 17 novembre en réaction à la flambée des prix des carburants sous l’effet des hausses de taxes du régime Macron, fait chorus. Des centaines de milliers de personnes se sont déjà déclarées participantes sur les réseaux sociaux et les pétitions en ligne font le plein de signataires. Selon un sondage, 78% des Français soutiennent l’appel au blocage le 17 novembre Cet appel lancé par des anonymes ne provient ni de partis politiques, ni de syndicats, même si avec l’opportunisme que l’on sait l’extrême-droite a vite tenté de s’infiltrer pour pourrir la colère populaire. Une colère populaire qui n’a rien à voir avec l’extrême-droite mais qui, au contraire, est le résultat des salaires bloqués, de la précarité se heurtant de plein fouet aux hausses des taxes (essence, CSG, etc.) et autres coupes dans les aides sociales (APL etc.) décidées par le régime Macron pour faire payer aux travailleurs, en particulier les plus pauvres, les milliards d’euros de cadeaux faits aux millionnaires (suppression de l’ISF, CICE etc.) et l’austérité imposée par l’Euro et l’Union Européenne. Une colère de classe qui monte contre le mépris de classe du régime Macron-UE-MEDEF contre la France des travailleurs. Alors que faire ? c’est à cette question que Léon Landini, résistant de toujours, résistant FTP-MOI et président du PRCF, apporte des éléments de réponse et des propositions d’actions. Lançant un appel à la résistance pour que la colère populaire se transforme en lutte de classes et de masse.
Dénonçant le caractère anti laïque du drapeau de l'Union Européenne et surtout le fait que cet emblème a été rejeté à une large majorité par les français le 29 mai 2005 par referendum et que la constitution ne reconnait pas cet insigne, les députés de la France Insoumise ont demandé le retrait du drapeau bleu marial au douze étoiles d'or de l'enceinte de l'Assemblée Nationale. Ce à quoi le président Macron - qui en allemand dans le texte dit "faire ce qu'il veut" et après avoir fait relire et corrigé ses discours par la chancelière Merkel et tout en appliquant scrupuleusement les ordres de la commission européenne dont les ordonnances sont la parfaite traduction - prétend répliquer en faisant reconnaitre de force et le drapeau et l'hymne de l'Union Européenne. Une pétition a été lancée pour l'en empêcher : unissons nos voix pour faire entendre celle du peuple, celle exprimée dans les urnes en rejetant avec la Constitution Européenne ce drapeau et cet hymne anti républicain.