Ci-joint la décision du Conseil d’Etat (Bernard STIRN...) qui, à peine quelques heures après leur dépôt, a rejeté toutes les requêtes des syriens qui ne demandaient qu’à pouvoir voter aux présidentielles syriennes.
Le 22 mai 2014, à l’initiative de la France, un projet de résolution visant à renvoyer « le dossier syrien » au procureur de la Cour Pénale Internationale [CPI] a été soumis au Conseil de sécurité des Nations Unies [1] [2]. Pour mémoire, voici la réponse du Docteur Bachar al-Jaafari, délégué permanent de la Syrie auprès des Nations Unies.
Moscou et Beijing ont bloqué une résolution du Conseil de Sécurité de l'ONU autorisant la Cour Pénale Internationale à enquêter sur les crimes qu'aurait commis le gouvernement syrien. Le délégué de la Russie à l'ONU, Vitaly Churkin, explique cette décision.
Peut-on encore parler de la crise syrienne de façon rationnelle ? A entendre cette incessante litanie de mensonges assénés, comme s’ils étaient des vérités premières, par des médias aux ordres, on en douterait aisément. Pourtant les faits sont là, ils sont « têtus » et résistent aux dénégations les plus insistantes.