Le petit Napoléon, un temps l’étoile montante du Directoire, dérangeait bien des troublions avides de mettre la main sur le pouvoir afin de s’assurer le partage des prébendes et des « royautés », des cachets et des loyautés parmi leur clan bourgeois - aristocratique (Eh oui ! Ils n’avaient pas tous été guillotinés contrairement à ce qu’on vous laisse penser).
Si j’étais Nicolas Sarkozy, je dormirais mal. Je me lèverais très tôt, et toute la journée je me verrais obligé de sourire à des gens qui m’énervent, ou pire à des gens qui m’indiffèrent. J’aurais un tas de rendez-vous plus ou moins importants auxquels je serais obligé d’aller, je serais contraint de prendre des décisions engageant des millions de personnes autour de moi. Le soir, je serais épuisé, et cela me rendrait sans doute agressif ou impatient.