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sarkozy, le ticket perdant-perdant…

sarkozy, le ticket perdant-perdant…

Préambule : le "désir" d’y aller, est-il une démarche individuelle comme l’affirment certain(ne)s spécialistes ? (peut-on affirmer que l’opération politicarde consistant à présenter un chef-meneur d’hommes est réellement un "désir" (!), car si on féminise le "désir" d’y aller, - une cheftaine-meneuse d’hommes (!) - c’est bof, bof, hein ? La testostérone (le combat, la bataille, le rapport de force, etc.) une affaire de mecs ? Tant pis pour les femmes (pas celles qui imitent sottement les comportements masculins, comme par exemple la confrontation excessive (prendre des parts de marché) ou l’émulation exagérée (être le meilleur par tous les moyens) virant à l’égocentrisme forcené) et un bon paquet de mecs bien entendu, qui pensent que la doxa (chère à Aristote) - là où (tôt ou tard) seront prisent les décisions collectives, par et pour le peuple - c’est l’affaire de tous (le plus grand nombre possible), on peut très bien vivre ensemble, partager notre bien être collectivement, développer le sens de l’intérêt collectif et éveiller la part de féminité ou de masculinité qui est en chacun de nous, (la moitié paraît-il). La *tambouille électorale, activement préparée dans les salles de rédaction, en prévision de la campagne présidentielle en 2012, - cet activisme participe à une vaste opération de consentement qui esquivera habilement les questions gênantes (voir plus loin dans cet article quel type de questions), grâce aux ponts qui relient directement les officines ou les salles de rédactions à la machinerie électorale, sachant que les dés seront pipés - cette velléité (le "désir" d’y aller) donne-t-elle une prime supplémentaire (c-à -d, une hypothétique avance en voix) à celui ou celle qui "désir" se présenter ? Certains déclarent qu’il serait vain d’espérer partir en campagne électorale (surtout pour la fonction si convoitée de « monarque républicain ») sans l’indispensable « chef-meneur-leader », pour mener ses troupes à la bataille.
L’Islande ? Un contre-exemple sans réelle incidence sur la marche du monde (la preuve, qui en parle ?).
La Grèce ? Si le peuple grecque prend le pouvoir, ce sera l’anarchie et un chaos sans nom !

J’émets le désir qu’il n’y ait plus de chef-meneur-leader dans aucun pays, et que mes compagnon(ne)s, soeurs et frères anarchistes grecques puissent renverser (pacifiquement si possible) le pouvoir en place (l’alternance institutionnelle) et instaurer une véritable démocratie, par et pour le peuple, comme le désire tant de peuples dans le vaste monde.
* partant du principe que les coquilles vides des appareils politiques (envahit - lors des courtes périodes consacrées à la grande messe électorale - de parasites externes animant (onéreusement) les rouages de la machine) et le chef (ou la cheftaine), suivent à la lettre les résultats d’enquêtes d’opinion et les intègrent (souvent tels quels) aux discours de campagne électorale (s’adressant aux citoyen(ne)s- consommatrices-eurs), etc., etc., vous connaissez la suite.

D’abord en Europe, car après avoir sèchement critiqué le partenariat privilégié de ses prédécesseurs avec nos partenaires et voisins Allemand(e)s, déclarant même qu’il allait améliorer (à notre avantage, évidemment) le rapport entre nos deux pays (peut-être comptait-il négocier ses gesticulations médiatiques ?)… c’est l’une de ses ruses favorites, ainsi que celle du parfait politicard de base, consignée dans le grand vade-mecum du personnel politique.
Toujours est-il que pour l’heure, il est à la fois, grand admirateur de la vitalité économique allemande et à la traîne de l’Allemagne. (1) ( pour reprendre la populaire métaphore vélocipédique, « il suce la roue des Allemands ! »).

L’affaire DSK a été très révélatrice des faiblesses du président-candidat, sarkozy, et pointait cette évidence : « si l’on comparait sarkozy à « son adversaire le plus dangereux », il ne jouait pas les mêmes partitions, (ni dans la même cour, et pas seulement sur le volet international), et sans le fameux escabeau qui l’accompagne (plutôt, qu’il trimballe) dans tous ses déplacements, il serait parfaitement inaudible ! ». (question de hauteur sans doute ?) (2)

Petit rappel historique :
« Les amis du Fouquet’s », se sont généralement les mêmes qui étoffent le maillage de ses propres réseaux de redevables.
Ces réseaux furent tissés (comme vous pouvez vous en doutez) avec acharnement ( un esprit revanchard et bouffi de jalousie, bien décidé à se venger de ce qu’il croit (encore !) être un oubli), dès qu’il occupa les fauteuils de maire de Neuilly (après une passation de pouvoir assez mouvementée entre lui et « môssieur » Pasqua, que certains n’hésitèrent pas à qualifier « d’assassinat du Père »), c’était en 1983, et à l’époque il avait 28 ans ; dans la foulée, en 1985, il décide de créer le club « Neuilly Communication », un réseau d’influence, pour mettre un pied (et le reste du clan) dans les médias, et alimenter un cercle d’obligés (de toutes catégories). Un instrument à la hauteur - et pour assouvir des ambitions mégalomaniaques - qui allait lui valoir le surnom de « l’homme qui trahit plus vite que son ombre ! » Car il en a trahit du monde,… il a un palmarès particulièrement impressionnant !, Qui va de ses anciens mentors jusqu’aux anciens "amis", en passant par une sacrée flopée de courtisans (qu’il jette sans vergogne dès qu’ils ne lui sont plus d’aucune utilité). Il faut y ajouter la présidence du conseil général du département des Hauts-de-Seine ( le plus riche de France ) et son intronisation à la tête de l’EPAD - trois, quatre, cinq, voire six casquettes ! c’est un minimum pour les ambitieux de cette sorte, ils n’en ont jamais assez -, ou quand il fut nommé ministre, pendant l’été 1994. Le président de l’ump (c-à -d, lui !) devint simultanément ministre de la communication et ministre du budget du gouvernement de Balladur.
A ce poste il sera à la fois, décideur politique et surtout pourvoyeur de fonds publics (son sport favori) de groupes financiers et industriels internationaux, et de grands groupes de médias... (lui et son mentor de l’époque auront peut-être à répondre (auprès du juge Renaud Van Ruymbeke) du cheminement de rétro-commissions - dans l’affaire dite « Karachigate » - qui auraient, en 1995, alimenté les caisses du candidat Balladur ? La société « Heine », dirigée par Boivin (sarkozy a fait enquêter pour négocier un « accord du silence » avec l’un des hommes clés de cette « affaire de Karachi », Boivin), et dont la création a été validée par le ministre du Budget sarkozy, en 1994, a servi à faire transiter les quelques 33 millions d’euros de commissions, de la DCNI vers des « petites banques régionales, pour des raisons de discrétion… », «  ! »)
Le mélange des genres serait sa marque de fabrique, il aurait eu pour modèle, il cavaliere, Silvio Berlusconi (him-self !) Ce dernier faisant beaucoup mieux que sarkozy dans ce registre, quoi que... (l’entourloupe politique et une ahurissante variété de turpitudes). De plus, en tant que porte-parole du gouvernement, puis du candidat Balladur, entre 1993 et 1995, il fut amené à rencontrer des hommes d’influence tels que, *Minc, ( qui le conseillera dix ans plus tard, avec la réussite que l’on sait, sur le référendum européen ), ou *Colombani, qui à cette époque cherchait à consolider son pouvoir au journal « Le Monde ».
* (les choses ont bien changé depuis ces temps "bénis", et plus rien ne sera comme avant, les deux compères du locataire élyséen ont perdu en influence, et c’est heureux comme ça !)

Ensuite, ce fut pendant le long règne de Chirac (douze années à la présidence de la République, mais Mitterrand s’accrocha deux ans de plus que lui !) il reçu les portefeuilles du ministère de l’Economie et de l’Intérieur. (parallèlement à toutes ses casquettes, ils créèrent - lui et deux de ses amis et associés -, un cabinet d’avocats, spécialisé en conseil fiscaliste (vous savez pour faire évader légalement la fortune des riches par des circuits financiers très compliqués), tout comme madame Lagarde, future cheftaine du FMI, sans doute ? qui a "travaillé" la législation internationale (les flux financiers, très compliqués, mais pas pour tout le monde !), qui conseilla une riche clientèle du cabinet (d’avocats fiscalistes) américain, Baker & McKenzie, qui l’employait. Certains sites font l’éloge de madame la ministre, qui aurait effectué une brillante et longue carrière au sein du cabinet américain, ( ??? Pourquoi a-t-elle quitter un poste aussi prestigieux, pour venir s’enterrer en France ?) parvenant même au sommet (ses employeurs - à côté d’elle - ne faisaient que de la figuration !) d’une des toutes premières firmes d’avocats au monde (rien que ça !) mais le poste qu’elle occupait, le « managing partner », n’était pas celui qui faisait gagner le plus d’argent au cabinet de réputation intergalactique, mais elle parlait couramment l’anglais ! Ce qui va de soi dans le monde des institutions multilatérales est encore regardé comme un exploit dans la classe politique hexagonale,... Est-ce pour cette excellente (et unique ?) raison, qu’elle a conservé toutes ses chances d’occuper le fauteuil de patronne du FMI ?

Et contrairement à ce qu’il fit accroire, (il n’était plus à un mensonge prêt, et pensait même que tous les coups (ou presque) lui étaient permis, sauf que… l’heure des comptes à peut-être sonner ?) lors de la (dernière) campagne électorale (l’élection présidentielle) de 2007, quand il laissa croire qu’il était novice (ses déclarations (ainsi que beaucoup d’autres) n’engageaient que les naïfs qui y croyaient) et un petit nouveau en politique.
Son long, trop long parcours politique prouvait que les sous-entendus, les insinuations et les allusions distillées par les officines propagandistes, avaient pour seul objectif de semer le trouble dans les esprits. Les déclarations qu’il proféra publiquement, était fausses (archi-fausses, sans la moindre parcelle de vérité !), et bien entendu, sa longue, trop longue carrière politique démontrait l’inverse, car elle affichait plus de vint huit ans (28) au compteur ! (c’est en quelque sorte, une vielle baderne du mandat populaire) ; il décrocha son premier mandat électif à 28 ans, pour occuper le fauteuil de maire à Neuilly,… Ca fait cinq ans (35), (si on additionne les années de ses premiers pas politique), qu’il grenouille sans relâche à l’avant scène de la politique française !

Comment ça marche ?
Quand ils créent leurs propres réseaux de redevables*, les fameuses passerelles entre le personnel politique, le monde de la finance et les sociétés privées, sont activées et permettrent le passage du personnel politique vers les postes « ad hoc » que leur réservent les sociétés et les entreprises des réseaux de redevables (les affaires de conflits d’intérêts en sont l’éclatante démonstration !) ; qu’il s’agisse de fromages (où la présence de l’intéressé n’est pas forcément indispensable, les affaires d’emplois fictifs en sont l’indéniable preuve), ou au sein de groupes directoriaux dans les sociétés et les entreprises qui étaient en relation avec le (ou les) service(s) administratif(s) du (ou des) ministère(s) qui géraient le (ou les) projets et les dossiers de ces messieurs, dames, chefs d’entreprises ou dirigeants de sociétés. Ces précieux contacts ne sont pas perdus pour tout le monde et retrouvent à ce moment là , un nouvel essor. Les relations nouées avec leurs collègues et la hiérarchie (au sein de leurs anciens cabinets ou ministères) par les heureux bénéficiaires de sinécures (planques) dans les sociétés et les entreprises "d’accueils" trouverons elles aussi le renouveau.
Ces pantouflages se montreraient (nettement) plus rentables (mais pas forcément moins coûteux ?) que le lobbying (d’ou les nombreuses créations de sociétés de lobbying). C’est bien l’octroi de marchés publics qui est à l’origine de nominations à des postes clés (dans les sociétés et les entreprises de réseaux de connivence), dont bénéficient (prioritairement) les ex-membres de cabinets et de ministères impliqués.
Pour bénéficier de certaines largesses, les nouveaux entrants dans les entreprises et les sociétés qui les accueillent, sont tenus « au silence absolu » et à la réciprocité.

La collusion et la silence total, au service d’intérêts supérieurs…
Les dirigeants de sociétés privées, (les mêmes qui furent invités par le locataire de l’Elysée au Fouquet’s) ceux qui en croquent grâce aux réseaux mis en place par le président-candidat, sarkozy, offrent un rattrapage sur mesure à ces messieurs-dames, les "représentants" du peuple (pas tous, les vertueux n’auront aucun avantage, mais les autres, c-à -d, toutes celles et tous ceux qui auront par d’habiles stratagèmes - comme légiférer avec bienveillance pour les groupes ou sociétés qui ont les faveurs des hautes sphères (les caciques avides de pouvoir et d’argent) - rendu d’"inestimables" services aux sociétés industrielles et aux groupes financiers amis) certain(ne)s auront même le privilège d’être récompensé avant leurs petits camarades, juste après leur éviction, et pantoufleront aussitôt qu’ils (ou elles) se font bouler aux élections (l’échange réciproque par excellence ; une bonne planque grassement payée contre un carnet d’adresses bien étoffé grâce à *un poste stratégique au sein d’un ministères, - pendant une période plus ou moins longue -, et comme de bien entendu, au "service de la France").
* Les plus convoités sont ceux qui auront oeuvrer au sein de "grands" cabinets et ministères, à des postes stratégique (là ou circule l’information) et seront les pourvus (plus vite et mieux récompensés).
Les "reclassements/arrangements entre amis" sont un grand classique des moeurs du personnel politique (pas seulement dans les pays ou le peuple est sous le joug d’une dictature, mais le même phénomène se reproduit aussi bien dans les "démocraties" occidentales), et les aînés de l’actuel locataire élyséen pratiquaient déjà de cette manière bien avant son arrivée au pouvoir ; peut-être qu’ils y mettaient plus des formes, toujours est-il qu’ils magouillaient beaucoup moins outrageusement que ce dernier - (l’affaire de la nomination de l’un de ses fils à la tête de l’EPAD restera graver à jamais dans nos les mémoires…).
* Ils s’agit de caciques au pouvoir dans les sociétés et les entreprises ou à la direction (le bureau) des partis politiques. L’argent est un maître exigeant, qu’ils ont juré de bien servir…
sarkozy et l’argent : D’aucuns disent qu’une secrète et indicible hargne alimenterait sa jalousie (quasi obsessionnelle) envers les possédants, et même, qu’elle serait ponctuée de mémorables colères, où, crevant de jalousie il supplierait qu’on le laissa se remplir les poches… L’argent, l’argent, tout s’achète et tout se vend !

et doublement perdant, quand il décida (seul) d’intégré *les forces de l’OTAN ; (sans réelle concertation, car demander l’avis de conseillers militaires, - bien que le mandat présidentiel légalise les décisions de sarkozy, (en la matière, mais pas que…) -, il faut de toute urgence modifier la Constitution française. Il n’est pas très raisonnable (ni sérieux) de laisser un seul homme obérer l’avenir du pays - alors que le mandat présidentiel ne couvre qu’une période de cinq ans (ce sera très certainement le seul mandat présidentiel du président-candidat, sarkozy), certaines décisions engage le pays pour de longues périodes (bien au-delà du quinquennat) quand ce n’est pas sur des décennies -, sans que le peuple français soit consulté par référendum, (et à condition que celui-ci soit aussi consulté lors de l’élaboration du (ou des) texte(s) de la ou des question(s) référendaire(s), évidemment)).
Les prérogatives liées au mandat présidentiel sont archaïques et totalement antidémocratique. Est-il sensé de laisser un seul homme décider pour 65 millions de concitoyen-nes français-ses ? (ni la légalité ni la légitimité ne peuvent diminuer la bouffonnerie de cet anachronisme ; la monarchie républicaine, c’est tellement insensé qu’aucune nation dans le vaste monde ne peut plus s’en prévaloir sans provoquer l’hilarité ! ), chefs d’état-major des corps d’armée - amiraux, généraux et tout ce que compte le haut commandement militaire -, ce n’est pas la même chose que de consulter le peuple ou accessoirement les élus du peuple). Les salamalecs de salon n’y changeront rien, et ne modifierons pas l’extravagante démesure liée aux prérogatives présidentielles, l’un des volets majeurs de la stratégie politique du président-candidat, sarkozy, que l’on peut traduire par : une °insignifiante com’ politique, point ! (°pour reprendre un bon mot de Cornélius Castoriadis)
Ces prédécesseurs avaient su éviter le piège grossier d’une totale soumission au leadership mondial (depuis le général de Gaulle, l’indépendance de la France et le souveraineté nationale, avaient, à leurs yeux, une importance capitale) ce qui n’est pas le cas de l’actuel locataire élyséen. L’indépendance nationale demeure autrement plus stratégique qu’une minable soumission à l’Empire - le soi-disant camp occidental, où les intérêts de l’empire étasunien prime avant tout - . (3)
La France paiera cher le "volontarisme" superfétatoire de sarkozy - qui tient plus de la break nervouss que de la sagacité - dans la présente déliquescence que traverse notre pays, les textes législatifs sont passablement interprétés, en partie à cause du caractère cyclothymique du locataire élyséen, (voir les câbles diplomatiques émis par les membres des ambassades étasuniennes et diffusé par WikiLeaks - très explicites sur les spécificités caractérielles de sarkozy, assez inhabituelles pour un homme d’état, au point d’être soulignées et abondamment commentées par de nombreux chefs d’Etats étrangers -)
* et l’intégration des forces françaises dans l’organisation de l’OTAN, (très active même, puisque le bilan en perte humaine s’élève à 62 morts et des centaines de blessés (dont certains en sortiront lourdement handicapés), et aucun bilan n’a été établit pour l’autre camp - cependant certaines ONG en ont établi un, mais les membres de la coalition internationale - l’OTAN et la communauté "internationale" (pas tant que ça d’ailleurs) s’en gardent bien, et vont jusqu’à censurer (toutes) les preuves (images et documents) de la boucherie sur le théâtre d’opérations en cours (les atrocités et les ignobles saloperies commises au nom de la "liberté" et de la "démocratie" occidentale) -, certainement trop gênantes pour vendre la propagande qu’elle réserve à l’opinion mondiale) sa participation dans les guerres civiles libyennes et ivoiriennes.
Autre curiosité franco-française, le président-candidat, sarkozy, se retranche - quand il est avantageux pour lui (ou interprété comme tel) - derrière les textes constitutionnels ou législatifs. Car contrairement à l’Allemagne (après que l’Allemagne fut réunifiée, l’ancienne RFA impose à « l’Allemagne unifiée » que ce soit sa constitution qui prime, et que toute mission à l’étranger soit approuvée par le Parlement ), contrairement à la règle qui prévaut en France.
Seul le locataire élyséen décide d’à peu près tout, y compris jusqu’aux nominations des directeurs de médias publiques (et parfois aussi ceux du privés comme ce fut le cas à « télébouygues/TF1 » ou à « Europe1/La Voix de son Maître », etc.) et une ribambelle de hauts fonctionnaires, et patrons d’entreprises publiques ou semi-publiques. Dans ce dernier cas, seul le Conseil d’administration et les actionnaires sont en mesure d’approuver ou non la nomination du chef d’entreprise. Alors, comment se fait-il que sarkozy intervienne aussi directement dans la nomination des chefs d’entreprises publiques et semi-publiques (qu’il désigne selon son bon plaisir sans se référer à de réelles capacités) ? - depuis les campagnes successives de privatisation, rares sont les entreprises ou la majorité du capital n’est pas entre les mains d’actionnaires privés - .
Pourquoi, un homme si admiratif de nos voisins et partenaires Allemands, ne s’inspirait-il pas de la Constitution de l’Allemagne réunifiée, et opte (par exemple) pour une véritable séparation entre le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif, comme c’est le cas pour nos voisins et partenaires ? POURQUOI ?

le Fondapol, le Cevi-bof, *à Tlantica ou tico (est-ce le nom d’un ghetto pour riches ? ou le nom d’un paquebot de croisières de rêve ? ah, que nenni ! ), Opinion Ouais (ouais, c’est ben vrai, ça !) vont achever le sale boulot en mettant les mains dans la m… cambouis et nous bourrez salement le mou.
* « La Nouvelle Pravda/Le Figaro » n’est pas contente, du tout ! et a publié cette duplicité, (sur son site), pour signifier qu’ « à Tlantico, ou tica n’est pas une officine… » ah, que non ! Ce sont des gens sérieux et propres sur eux, monsieur !
Si c’est « La Nouvelle Pravda/Le Figaro » qui le dit, on ne peut que s’incliner et la croire sur parole (Ha, ha, ha, arrêtez, vous allez nous faire pleurer de rire…).
Les autres médias aux ordres, qui sont-ils ? « télébouygues/TF1 » et son clone « LCI », ou « BFM-TV » (qui colporte en exclusivité, d’abscons résidus tout droit sortis des méninges de l’écrivaillon en chef Guaino, confabulant infatigablement cette stupide litanie : « le moment venu, sarkozy, prouveras au monde entier qu’il est le plus grand (Ha ? Ah, ah ! … elle bien bonne, non ? Le plus grand… trop bonne !) le plus ceci, le plus cela… » (on risque d’attendre très longtemps) et à part ces niaiseries ? Rien, Nada !) , « I TV », « LPC TV/La voix de la France en maison de retraite de luxe » et bien d’autres encore.
Heureusement que j’ai largué depuis longtemps « la boite à image » (je regarde accidentellement cet objet de grande consommation, et ce que j’y vois m’ôte le dernier doute,… il s’agit bien de formatage des cerveaux et de micronisation de la pensée critique. A proscrire si on veut conserver une parcelle de lucidité !)

La mise en scène de sa propre remontée (archi bidonnée) dans les sondages est déjà dans les tuyaux. Les officines mitonnent en catimini la pâtée qui remplira (à ras bord) le gros entonnoir des salles de rédaction amies,… vous m’en donnerez des nouvelles !

La micronisation du cerveau (ou l’éclatement réducteur de neurones) :
Le clan sarkozy peut compter sur le dévouement sans faille des officines (Mais au fait, qui les financent ? j’espère que ce n’est pas avec nos sous, quand même !), elles seront toujours là au bon moment (où il faut et quand il faut, surtout sur les plateaux télé des "grands" médias publiques ou privés - là ou se concentrent les points comptabilisés par la société Audimat-Médiamétrie -). Vous pouvez comptez sur le Fondapol de Reynié, maître es manipulation d’opinion, qui sévit (prioritairement ?) sur les plateaux télé des chaînes "publiques", - abusivement baptisé "service publique" -, et qui rend de menus services (sa courtisanerie accréditive de porte-voix (officiel) propagandiste, n’est plus à démontrée !) au président-candidat, sarkozy, (vous savez, celui qui se charge d’imposer les directeurs de chaîne "publique" - issu du ramassis des courtisans -, mais pas seulement…), à Tlantica ou tico, également au service de qui vous savez (mais, chut ! il ne faut surtout pas le répéter … à cause que « La nouvelle Pravda/Le Figaro » ne veut plus l’ouïr), et l’apyre, Opinion Way, grande spécialiste du bidouillage sondagier. Tous ces boutiquiers - qui pour la plupart sont d’anciens cadres umpistes -, sacrifient le peu de crédibilité qu’ils pensaient pouvoir détenir auprès de l’opinion (ce qui n’est évidemment plus du tout le cas, la crédulité n’a qu’un temps… heureusement !) pour une grande et noble cause, totalement démente. Ils forcerons le fatalité et iront bien au-delà de ce qu’aucune bête n’aurait pu faire pour son maître, ils créeront l’illusion d’une ahurissante remontée de l’abysse sondagière où végète depuis si longtemps, le président-candidat, sarkozy, (un an de (trompeuse) tranquillité pour trois - voire quatre ? - ans au fond des abîmes sondagières, quel gâchis !)
Ils en causent déjà dans les médias, et sortent la grosse artillerie. La côte de popularité du président-candidat, sarkozy, a frémi ! Ils lui font frémir la côte d’un (voire deux) pour cent ! Un vrai miracle !
Les malins connaissent bien ce vieux truc éculé de la « prophétie autoréalisatrice » (4). Vous annoncez un événement totalement bidonné, qui, comme par magie, se produit immanquablement peu de temps après. Incroyable, n’est-il pas ?
Vous verrez bientôt la côte de popularité du plus impopulaire des locataires élyséens sous la Ve République (il y a pas eu d’équivalent dans toute l’histoire du sondage de popularité, c’est vous dire !), frémir, se redresser, puis remonter vertigineusement pour atteindre des sommets.
Enfin n’exagérons rien, s’ils parviennent à faire croire qu’elle c’est très légèrement redressée, ça ne sera déjà pas si mal.
Il faudra tout de même préparer le terrain en amont, et balancer - quelques bonnes putasseries - sur les socialistes dans les médias aux ordres, ce sera à ce prix ! *Les officines diffuserons méthodologiquement (il y a différentes manières de diffuser ce genre d’"information" infamante) des scoops télécommandés, au nom de la liberté d’informer l’opinion sur les moeurs déplorables de ces hommes (et de ces femmes ? ce n’est malheureusement pas exclu ! ) politiques dépourvus de moralité, issus prioritairement des rangs de la gauche, bien entendu. (dans le vain espoir de faire oublier les très (très) nombreuses turpitudes (au sein) du gouvernement sarkozy) Ces dérapages (contrôlés ?) seront très probablement à l’ordre du jour, lorsque sarkozy, acculé et redescendu (enfin) de son petit nuage ( quand la courtisanerie débridée, la fuite en avant et le déni de réalité n’auront plus d’effets) la dure réalité reprendra le pas sur les divagations-dérivations, et les illusions perdues auront des effets dévastateurs inattendus.
Quand, les murs du cocon élyséen s’effondrerons (bien qu’il clame haut et fort que personne ne pourra l’en déloger, « ici, (à l’Elysée) il est chez lui ! dit-il ») et qu’il sera redescendu de sa tour d’ivoire, le masque tombera et dévoilera des traits de caractère, - niés par les Français-es qui s’obstinaient à ne rien voir -, que la presse étrangère avait depuis belle lurette dévoilé au monde. Un psychotique, vindicatif, querelleur, gaffeur, grossier, qui se croit tout permis, et s’il veut espérer figurer au second tours de l’élection présidentielle en 2012 (ce qui est loin d’être le cas), il devra changer son fusil d’épaule.
Un homme de son age, psychorigide attitré, peut-il réellement changer ?
Assurément pas !
Personne ne peut vraiment croire ça, - (quand bien même il sortirait de sa manche - après de coûteuses enquêtes d’opinion - d’inusables thèmes électoraux, que les communicants qui l’entourent feront opportunément parvenir à ses oreilles ; thèmes traitant - encore un heureux hasard - de morale (en opposition à (l’introuvable) République irréprochable), de rigueur (et (l’infaillible) plan qui devrait venir à bout des déficits (historiquement) colossaux qui frappe la France, en se demandant pourquoi ils ne l’ont pas utilisé pendant la période que couvre le mandat présidentiel ?), de sécurité (le sensationnalisme et les faits divers crapuleux à la une des médias et en bonne place (c’est du moins ce qu’ils souhaitent) des préoccupations des Français-ses ; ça occupe les esprits et ça évite qu’on cause des réalités, telles, l’explosion des agressions avec violence faites aux personnes, et parmi elles il y a ces cher-ères, ces très cher-ères électrices-eurs), etc., etc.)
*officines qui prennent directement leurs ordres auprès de conseillers qui gravitent autour du président-candidat ; conseillers et communicants de haut vol (qui ont souvent un pied dans les agences d’opinion, dénommée pompeusement "institut" de sondage ) connaissant sur le bout de leurs doigts toutes les ficelles de la manipulation à grande échelle, etc., etc.

NOTES

1) voir à ce sujet le « Manière de voir », édité par « Le Monde diplomatique », numéro 116, consacré entièrement à l’Allemagne, et titré : « Allemagne histoire d’une ambition 1949-2011 ». Un article parmi d’autres, intitulé « Mourir pour Kaboul ? » par Philippe Leymarie, dans lequel il est question (entre autres informations) du coût de la participation allemande dans la "ratonnade" internationale en Afghanistan sous l’égide des forces de l’OTAN (il n’est même pas question des pertes en vie humaines, où l’armée allemande c’est distinguée en tuant d’un coup, d’un seul 142 afghans(ne)s, des civils pour la plupart (dont des enfants), à Kunduz (que les médias occidentaux appelèrent, « la bavure de Kunduz » ). L’Institut allemand de recherche économique a évalué à 3 milliards d’euros annuel le véritable engagement en Afghanistan (répartit sur divers ministères, - cela aiderait, (paraît-il ?) à faire passer la pilule auprès des électeurs et contribuables allemand(e)s), et si on projette le coût annuel de 2001 à 2013 (date du probable retrait de la Bundeswehr d’Afghanistan), on obtiendrait la somme colossale de 36 milliards d’euros.
Petit problème d’arithmétique :
Sachant que l’Allemagne occupe la troisième place des forces de la coalition (avec 5.350 hommes sur le théâtre d’opérations afghan), derrière les Etats-Unis (avec 130.000 hommes) et l’Angleterre (10.000 hommes), mais devant la France (qui a 3.850 hommes). A combien s’élèvera le coût de l’intervention française (le supplément extérieur), auquel il faut ajouter ses participations aux guerres civiles libyenne et ivoirienne. A combien s’élèvera la folie meurtrière du président-candidat, sarkozy ? Car selon un article paru dimanche 12 et lundi 13 juin 2011, dans le quotidien vespéral « Le Monde », intitulé : « La marine française ne peut répondre à une guerre longue », signé des initiales N.G., la France est en train de bouffer son potentiel et d’obérer ses capacités d’interventions à venir. Le va-t-en guerre, sarkozy, ne pourra donc pas entamer un quatrième (voire d’autres) conflit armé, car la France ne serait plus en capacité, et c’est heureux ainsi ! Dans ce numéro, vous pourrez lire quelle place occupe l’Allemagne dans le monde, (ou le monde vu de Berlin). Etc., etc., etc. (il m’est difficile d’oublier avec quelle sauvagerie furent assassinés les fondateurs de la ligue Spartakus, Rosa Luxemburg et Karl Liebknecht, ni comment fut "suicidé" le leader de la RAF Baader, (les mains entravées dans le dos, très pratique pour se tirer une balle de revolver dans le tête), la bande à Baader ou groupe Baader-Meinhof, etc.)

2) Après avoir feint d’atteindre une envergure internationale et donner l’illusion d’une impulsion salvatrice pour sauver du naufrage la diplomatie française - suite aux mauvaises décisions prise par la France dans le déroulement des « révolutions arabes » - et retrouver une hypothétique grandeur, c’est aussi pour cette raison qu’il cherche à imposer la candidature de Lagarde à la tête du FMI, et démontrer qu’il est réellement influent. Cet entêtement à feindre une envergure internationale n’est pas nouveau, ce le même procédé qu’il utilisa lors de la nomination de DSK à la tête du FMI, et où, il s’arrogea tout le mérite ; sauf que personne ne crut à cette bouffonnerie, y compris la presse internationale qui connut rapidement le fin mot de l’histoire (certains médias français se sont carrément tus ou ont même minimiser l’incident). sarkozy, avait reprit insidieusement à son compte une initiative européenne dont, Jean-Claude Junker, était le réel initiateur (cet épisode tragi-comique à quelques analogies avec le déroulement d’une autre affaire (antérieures à celles-ci) il s’agit de la libération des infirmières Bulgares et du médecin palestinien, qui étaient accusés (à tort) d’avoir inséminé à leurs patients libyen(ne)s le virus du sida (ou VIH, - virus de l’immunodéficience humaine) - * et (elles et lui) furent pris en otage par le dirigeant libyen, Kadhafi, - qui par la suite bénéficia d’un renvoi d’ascenseur, (je te tiens, tu me tiens par la barbichette…), et fut reçu en grande pompe par le monarque républicain, sarkozy, qu’il fit installé, lui et son campement sur l’une des pelouses de l’Avenue des Champs Elysées. Les Allemands renâclèrent et s’offusquèrent du procédé utilisé par le locataire de l’Elysée pour leur griller la politesse. Alors que l’Allemagne et d’autres pays européens avaient patiemment organisé des mois durant (et dans le plus grand secret) l’organisation et la mise en place d’une cellule de crise, que les transactions - pour obtenir la libération des infirmières bulgares et du médecin palestinien - allaient enfin aboutir, patatras, sarkozy et (l’ex)madame se pointent comme un chien dans un jeu de quille, tirent la couverture à eux, font la nique aux Allemands et se pavanent devant les micros et les caméras - tirant provisoirement profit de cette de gloire usurpée aux Allemands et aux partenaires qui les avaient aidé à monter l’opération - mais le bénéfice politique fut (hélas pour eux) de courte durée, car la presse internationale et européenne (Allemane en tête) tirèrent à boulets rouges sur l’écornifleur, et raillèrent la grossièreté du procédé -, qui laissera de profondes traces… Ces tromperies à courte vue ne durent qu’un temps, et un vassal ne peut espérer rivaliser avec le leadership mondial (ni lui faire d’ombre), il ne faut pas jouer les riches quand on n’en a pas les moyens (la guerre néo-coloniale en Libye se révèlera rapidement être le fiasco militaire et politique que tout le monde pressent, Cameron et sarkozy en paierons le prix fort !), car la première puissance mondiale (même déclinante) demeure dangereuse et pourrait lui signifier qu’il y a des limites à ne pas dépasser…
* l’un des principal protagoniste de l’affaire de la prise d’otage des infirmières bulgares, (l’ancien ministre de la justice de Kadhafi, Moustapha Abdeljelil), venait tout juste de trahir son ancien chef - en février 2011 - sarkozy, (un orfèvre en matière de trahison, avait acquis une telle réputation qu’il fut surnommé : « l’homme qui trahit plus vite que son ombre ! ») pris de court ses partenaires européens par une volte-face inattendue en faveur de la rébellion libyenne (peut-être en seront nous un peu plus un jour ?), après que (B-H) Lévy eut fait un numéro nombriliste ultra-médiatisé (le "Milliardaire narcissique à la chemise déboutonnée", c’est comme ça que dorénavant les médias américains lui tirent le portrait ; vous remarquerez qu’il n’est plus question d’"intellectuel" ou de "philosophe" même mondain…), n’est autre que l’un des dirigeants de l’actuel Conseil national (pas tant que ça) de transition libyen, l’interlocuteur officiel, dont personne ne connaît à ce jour la composition exacte, mais qui fut reconnu officiellement par trois Etats seulement, le Qatar, la France (de sarkozy) et l’Italie (de Silvio Berlusconi). C’est par conséquent le seul interlocuteur reconnu par la communauté "internationale", (internationale ? pas vraiment puisqu’elle est réduite au trio infernal, les Etats-Unis, l’Angleterre et la France en tête) auxquels il faut adjoindre le président du CNT, une ancienne petite frappe kadhafiste, Moustapha Abdeljelil, le soi-disant "vrai" président du CNT, un ancien compagnon de route de Kadhafi, le général Abdel Fattah Younes, etc. ), c’est dire si "l’affaire" libyenne est entre de bonnes mains !
Il est intéressant de lire deux autres « Manière de Voir », l’un intitulé : « Pour comprendre le réveil arabe » numéroté 117, (très documenté, qui projette un éclairage original sur les révolutions du printemps arabe, où l’article de Serge Halimi, intitulé « L’impossible arrive » ouvre l’esprit d’à propos qui sied tant à celles et ceux qui ne veulent pas mourir idiot(e)s, ou encore l’article sur la chaîne qatarie « Al-Jazira » (une monarchie constitutionnelle se dote d’une chaîne de télé libre, incompréhensible !?), intitulé : « Cette télévision qui dérange » par David Hirst qui écrit : « Et ces chaînes (parlant des chaînes « off-shore » contrôlées par l’Arabie saoudite à coup de millions de dollars ou celle (égyptienne) soutenant la propagande d’Hosni Moubarak (la soi-disant « voix des Arabes » vestige de l’ère Nasser) ) s’appuient sur les formes de distraction, soap operas égyptiens interminables, films étrangers doublés, quiz et autres jeux, talk-shows superficiels, variétés et quelques émissions émoustillantes sur le plan sexuel. Un peu comme si on voulait empêcher les Arabes de penser à la politique. » etc., ) ça ne vous rappelle rien ? et un second, numéroté 115, intitulé : « Batailles pour l’énergie ». Ce second numéro tombe à pique, car le premier ministre italien, Silvio Berlusconi, vient d’enregistrer une seconde grosse défaite électorale (et ne pourra sûrement plus échapper aux nombreuses casseroles judiciaires, (il sera sous pression dès le 22 juin 2011)), les électrices-eurs italien(ne)s ayant rejeté à 95 % la filière nucléaire ( * le VRP national, sarkozy, repassera (malgré le sacré bordel qu’il a fichu à Areva. Est-ce au président de la république de nommer les dirigeants d’entreprises (même publique), ou au conseil d’entreprises et aux actionnaires ? ) pour placer trois centrales à l’EPR archi-sécurisées chez nos voisins italiens ! ) Qu’est-ce qu’on attend pour en faire autant ? (l’avis du peuple doit primer quand surgissent les problèmes d’envergure internationale, car après l’Allemagne puis l’Italie (deux éminentes nations européennes) qui ont rejetées la filière nucléaire, sarkozy n’est plus en position d’imposer quoi que se soit ! ). Quand abandonnerons-t-on (enfin) cette filière jugée trop dangereuse (après les catastrophes nucléaires de Tchernobyl et de Fukushima ) pour les futures générations ? QUAND ?
* premier placier en centrales nucléaires (totalement dépassé) en conflits armés (armes et munitions en tous genres !) et en turpitudes et profitables aux seuls membres du clan.

En réponse au petit malin qui a cru bon d’évoquer le site des grottes de Lascaux pour (pensait-il ?) contre-carrer ma supplique envers le personnel politique français.
Une évocation pour le moins curieuse, s’agissant d’un site historique classé au patrimoine mondial de l’humanité par l’UNESCO.
Les grottes de Lascaux, contrairement à ce que suggère le message de ce monsieur, n’est pas l’irrémédiable retours vers le passé et (conséquemment) l’abandon du confort moderne, et encore moins un choix extrême …
Nos lointains ancêtres, les même qui selon l’auteur du message se réfugiaient apeurés et transis de froid dans les grottes de Lascaux, primitifs, s’éclairant de torches (« à la bougie » pour reprendre l’expression consacrée et particulièrement imbécile), dans les entrailles de la Terre !?
C’est bien mal connaître l’histoire de ce lieu mythique, et contrairement à ce que suggère votre message, - le contre-exemple par excellence - , ce lieu n’était pas destiné à abriter des intempéries nos lointains ancêtres, mais un endroit consacré par des rituels initiatiques, liés sans doute à des pratiques magiques ? (une anthropologue française a émis l’hypothèse que l’orientation et l’entrée des grottes ne furent pas choisies au hasard, - contrairement aux idées communément admises -, elles avaient une destination annuelle précise correspondant à un axe de rotation terrestre et un solstice prédéterminé. (les peintures rupestres seraient, selon ce raisonnement, qu’un des composant du rituel magique (et certainement initiatique ?), le mode d’éclairage n’a absolument rien à voir (c’est le cas de le dire) dans cette affaire), car selon les recherches de l’anthropologue citée plus haut, au moment du solstice la lumière qui pénétrait à l’intérieur des grottes était éblouissante (?) Conclusion : mauvaise pioche, m’sieur !

3) Deux ou trois articles relatent le fond du problème que pouvez lire si vous voulez rester informer sur le sujet. Un premier article intitulé : « Organisation de Coopération de Shanghai. Une alliance de pays asiatiques supplante l’Empire US. (Consortium News) » par Nicolas JS DAVIES, paru le 10 juin 2011 sur le site « Le Grand Soir » . Cet article (très détaillé) éclairci les tenants et les aboutissants des intérêts géostratégiques de l’Empire du milieu (la Chine), opposé au leadership mondial (les Etats-Unis). Le relatif déclin de la superpuissance américaine, pourrait - en partie - expliquer les multiples agressions de pays à forts intérêts géostratégiques qui dans le vaste monde subissent ses turpitudes (en particulier les pays qui résistent et contestent la suprématie étasunienne, tout spécialement les pays musulmans) au nom de valeurs assez floues et d’intérêts ou ne peut plus clairs (la "liberté" ou la "démocratie" strictement réservée aux élites étasuniennes ne trompe personne, elles sont même en totale opposition aux aspirations populaires (des révolutions arabes et plus généralement des mouvements de révolte européens et mondiaux ) qui prônent une véritable reconquête de la dignité, de la liberté partagés par le plus grand nombre, et pour que la démocratie rime avec les intérêts populaires). « Le Monde Diplomatique » de juin 2011 (édition papier), et en introduction l’article de Marie Bénilde, intitulé : « L’affaire DSK au prisme des médias Anatomie d’une débâcle », l’article de Saurav Jha intitulé : « Des amitié indiennes à l’ombre de la Chine » et l’article de Xavier Monthéard, intitulé « Retrouvailles des Etats-Unis et du Vietnam » (assez inquiétant), et l’article d’Alain Gresh (égal à lui-même) intitulé « La Palestine bousculée par les révolutions arabes » ; Alain Gresh est semble-t-il (?) encerclé par un quarteron (parfois plus) d’agents du Mossad (les modalités stratégiques pour occuper le Web, sont élaborées et décidées par le gouvernement Nettenayou) qui investissent le chat (les commentaires) de son blog ( « Le Monde Diplomatique », version électronique), et exécutent consciencieusement les ordres des chefs propagandistes israéliens (certains affirment que (B-H) Lévy - le "Milliardaire narcissique à la chemise déboutonnée" - y puiserait l’inspiration pour mieux évacuer la réalité du conflit palestino-israélien ?), investir le Net pour y répandre un argumentaire (que d’aucuns pensent parcellaire) du sionisme... Etant donné la multitude de blogs et de sites (sur certains sites, le webmaster ou les animateurs filtrent les messages répétitifs - c’est l’une des caractéristiques de la propagande (toutes les propagandes d’ailleurs, Israël n’a rien inventé dans ce domaine ou d’autres domaines), la pauvreté de l’argumentaire d’abord puis la navrante répétitivité, quand ce n’est pas les injures ou les menaces de mort liée à une agressivité gratuite - c’est assommant à la fin !)

4) L’article intitulé « Le leurre de la droitisation » d’Alain Garrigou, paru en juin 2011sur le site « Le Monde Diplomatique », traite assez longuement du sujet, et les articles du citoyen Garrigou sont en général de bonne facture. A lire sans modération.

Dernière minute :
Kadhafi peut être pris pour cible selon l’OTAN.
Selon la chaîne d’information américaine, « CNN », un responsable de l’OTAN a expliqué que la résolution onusienne, 1973, permettait de cibler directement Mouammar Kadhafi !
Un nouveau pas aurait-il été franchi ? - Pas vraiment, puisque dès le début de l’ingérence de la communauté "internationale" dans la guerre civile libyenne, certains avaient prédit que la coalition occidentale avait pour seul objectif inavouable (forcément, puisque dans la résolution onusienne, 1973, il n’en est pas question) d’éliminer physiquement Kadhafi. C’est maintenant chose faite, l’OTAN le déclare publiquement, et on ne peut plus clairement. Depuis le début de l’opération, ils nous trimbalent honteusement, car… lisez plutôt ceci.
Des experts contestent la manière dont se déroule l’intervention occidentale en Libye et le caractère démocratique du CNT
Organisée à l’initiative du Centre international de recherche et d’études sur le terrorisme et d’aide aux victimes du terrorisme (CIRET-AVT ) et du Centre français de recherche sur le renseignement (CF2R ), et avec le soutien du Forum pour la paix en Méditerranée, une délégation internationale d’experts s’est rendue tour à tour à Tripoli et en Tripolitaire du 31 mars au 6 avril (2011), puis à Benghazi et en Cyrénaïque du 19 au 25 avril (2011). Les insurgés libyens et leur représentation politique, le Conseil national de transition ( CNT ) sont-ils démocrates ? Des experts français se sont rendus en visite privée à Tripoli et Benghazi pour évaluer la situation.
Leurs conclusions épinglent la vision occidentale de la révolte libyenne et révèlent la tentation islamiste des insurgés. ( vous pouvez retrouver (la suite) du commentaire après l’article d’Alain Gresh, intitulé : « Les révolutions arabes sont-elles finies ? » sur son blog )

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Aussi longtemps qu’on ne le prend pas au sérieux, celui qui dit la vérité peut survivre dans une démocratie.

Nicolás Gómez Dávila
philosophe colombien

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