Après le « latino » URIBE, l’internationale noire a mandaté le « caucasien » SAAKASHVILI pour franchir une nouvelle étape dans la préparation du grand assaut contre le bloc « eurasiatique » constitué autour de la Russie et de la Chine.
Bush veut 50 bases militaires, le contrôle de l’espace aérien irakien et l’immunité contre les lois irakiennes pour tous les soldats américains et les sous-traitants.
On peut comprendre pourquoi certains ont pu sincèrement penser que la guerre en Irak serait une simple « ballade ». Prenons l’exemple de la deuxième Guerre Mondiale ; les Etats-Unis ont bombardé sans merci l’Allemagne et le Japon, y compris leurs populations civiles, puis ils ont occupé ces deux pays en leur imposant pratiquement un contrôle total. Pourtant, aujourd’hui, l’Allemagne et le Japon sont parmi les alliés les plus fidèles des Etats-Unis dans le monde. L’avenir nous dira s’il s’agit d’une alliance solide et durable, mais pour le moment elle existe
Dès mes vieilles années de socialiste utopique, une idée de base me tournait dans la tête. Je partais de zéro, uniquement doté des simples notions du bien et du mal que la société où vous voyez le jour vous inculque, plein d’instincts et dénué des valeurs que les parents, en particulier les mères, commencent à semer en vous, quelles que soient la société et l’époque.
Analyse d’un observateur averti de la politique étasunienne : l’"annonce d’une apocalypse éminente a été donnée par le périodique de droite The American Conservative " : "une réunion du Conseil de la Sécurité Nationale (qui) a approuvé les plans d’attaque par missiles Cruise contre une base Al Qods (la Garde Révolutionnaire Iranienne) où seraient entraînés les militants irakiens engagés dans la guérilla contre les troupes d’occupation"
Jean Bricmont, professeur de physique théorique à l’Université catholique de Louvain fait partie de ces scientifiques engagés dans les grands débats de notre époque. Auteur de plusieurs ouvrages dont un Cahier de l’Herne consacré à Noam Chomsky, il nous livre ici, avec ce mélange d’impertinence et lucidité que lui sont propres, quelques réflexions au sujet de la gauche, de ses options dans les luttes politiques de notre temps.
Le 4 mai 2008, s’est tenu dans le département bolivien de Santa Cruz, un referendum pour approuver un statut d’autonomie pour le département. Précisons avant d’aller plus loin, que la Cour Nationale Electorale bolivienne, organe qui régie les élections selon la Constitution avait déclaré illégale cette consultation. Il s’agissait donc au mieux d’une enquête. Aucun observateur international n’était présent, l’Organisation des Etats Américain (OEA) s’étant même prononcé pour le respect de l’unité de la Bolivie.