Nous donnons à lire ici un tract du M’PEP (Mouvement Politique d’Eduction Populaire) dont le propos est parfois atypique sur le fond et agréable par sa forme : « Les retraités travaillent, mais ils n’ont pas d’emploi ! Ils travaillent à rendre la vie plus douce aux autres, à leur famille, leur voisinage, dans les associations. Ils réinvestissent leur qualification professionnelle et sociale sous des formes différentes, non-marchandes.
C’est un travail émancipé, un embryon de contrôle des citoyens sur l’économie. Leur pension est un salaire à vie, inaliénable, sans contreparties. L’enjeu de la bataille des retraites c’est aussi celui du travail libéré de l’exploitation et des nuisances. L’activité des retraités préfigure un socialisme du XXIe siècle, sans « marché du travail », sans salariat, sans employeurs qui exploitent… ».
Le Grand Soir.
Malgré cette sainte horreur du fait divers et malgré une certaine radicalité critique au sujet des élucubrations médiatiques, c’est le fait divers qui vient à nous, à notre porte, dans la banlieue Nord de Paris. Ce lundi matin, après une nuit pourtant tranquille, un étrange branle-bas de combat se fait jour. Cette nuit-là , c’est un acte de guerre à cinq cent mètres de chez nous qui justifie la première page alarmiste des quotidiens nationaux. La vérité, notre fidèle allié, nous accompagne sur cette investigation de voisin, sur d’autres étranges faits récents. Et l’explication critique, nous la partageons au grand jour.