RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher
Thème : Cinq de Miami

Des journalistes payés par le gouvernement pour attiser les préjugés dans le procès des Cinq Cubains (The Militant)

Michel Poitras
Il y a de nombreux aspects du coup monté du gouvernement U.S. contre les Cinq Cubains qui se font punir pour leur courage et dignité inébranlables en tant que combattants de la classe ouvrière et pour l'exemple de la révolution qui les a produits. Un des fronts actuels dans leur bataille légale pour faire annuler leurs condamnations issues du coup monté consiste à dénoncer le fait que certains des journalistes qui ont écrit des articles mensongers et incendiaires sur les cinq pendant leur procès à Miami étaient à l'époque à la solde du gouvernement U.S. Connus comme les Cinq Cubains, Gerardo Hernández, Ramón Labañino, Antonio Guerrero, Fernando González et René González vivaient et travaillaient dans le Sud de la Floride dans le but de recueillir des renseignements sur des groupes contre-révolutionnaires qui organisent, avec la connaissance implicite et le soutien de Washington, des attaques violentes et parfois meurtrières contre Cuba et les partisans de la révolution (…) Lire la suite »

Lettre ouverte au président Barack Obama au sujet de René Gonzalez et des Cinq Cubains

Arnold AUGUST

Le 8 octobre 2011 en tant que membre du Comité Fabio Di Celmo pour les Cinq de la Table de concertation de solidarité Québec-Cuba et du Comité international pour la liberté des Cinq, j’ai présenté une lettre ouverte sous forme de proposition lors de un Forum à Ottawa « Notre Amérique : réalité, identité et culture » Près de 100 militant(e)s d’origine autochtone et d’Amérique latine du Canada (de Vancouver, Toronto, Ottawa et Montréal) ont accepté de considérer cette lettre comme faisant pleinement partie des conclusions du Forum ; elle a ensuite été envoyée à M. Obama.

Lettre ouverte au président Barack Obama au sujet de René Gonzalez et des Cinq Cubains Nous, participants au 1er forum « Notre Amérique : réalité, identité et culture », qui s'est tenu le 8 octobre 2011 à Ottawa, Canada, constatons les faits suivants : Cinq Cubains, soient Gerardo Hernandez, Ramon Labañino, Antonio Guerrero, Fernando Gonzalez et René Gonzalez ont été arrêtés en 1998 à Miami, en Floride, alors qu'ils infiltraient des groupes terroristes qui avaient exécuté des attaques à partir de cette ville contre le peuple de Cuba depuis des décennies. Le seul but des cinq Cubains étaient de révéler ces activités terroristes aux autorités étasuniennes afin d'arrêter le massacre et la destruction contre les citoyens cubains et les propriétés cubaines, ainsi que de mettre fin au danger que posent ces activités violentes et insensées sur les vies même des Étasuniens préparées à partir de cette base dans le sud de la Floride. Au lieu d'arrêter les terroristes, les cinq Cubains (…) Lire la suite »

Adriana Pérez : « Nous gardons l’espoir qu’ils vont revenir »

Guillermo Nova
La vie de son mari, Gerardo Hernandez, a tous les ingrédients d'un film : cet homme a laissé derrière lui sa famille et son travail et, en faisant usage d'une fausse identité, il a infiltré des groupes terroristes pour empêcher des actions violentes contre la population cubaine. Le Prix Nobel Gabriel Garcia Marquez remit une lettre de Fidel Castro au président Clinton pour l'informer des activités terroristes organisées depuis la Floride. Après avoir pris connaissance de l'affaire, le FBI décida d'arrêter cinq Cubains qui collectaient les renseignements sur ces groupes, comme Hermanos al Rescate (Frères à La Rescousse), et Gerardo fut condamné à deux peines à perpétuité. Et pourtant, son affaire est aussi réelle que la vie elle-même. Adriana garde son sang froid quand elle explique l'affaire, mais sa voix tremble quand elle évoque l'homme qui se trouve derrière le héros. Au moment de nous séparer, elle me demande en souriant : « Si vous envoyez cette interview à un média (…) Lire la suite »

LE DÉSHONNEUR SUPERVISÉ D’OBAMA

Fidel CASTRO
Qu'une juge yankee du district Sud de la Floride ait refusé à René González, héros antiterroriste cubain, le droit de rentrer dans sa famille à Cuba après avoir purgé la peine injuste qu'elle-même lui a infligée est une mesure brutale et maladroite qui, bien qu'attendue, n'en est pas moins révoltante ! Ainsi donc, au terme de treize années d'un emprisonnement cruel et immérité, le gouvernement étasunien - lequel a engendré des monstres comme Posada Carriles et Orlando Bosch qui, en tant qu'agents de la CIA, ont fait exploser en plein vol un avion cubain rempli de passagers - oblige René à rester trois longues années dans ce pays où il sera à la merci d'assassins agissant en toute impunité sous un régime qualifié de « liberté » supervisée. Tandis que trois autres héros cubains, et un quatrième condamné à deux perpétuités, continueront de purger de très longues peines d'incarcération injustes et vindicatives Voilà comment l'Empire répond à ceux, toujours plus nombreux dans le (…) Lire la suite »

Les cinq de Cuba : une décision aussi cruelle qu’étrange (Counterpunch)

José PERTIERRA

La juge Lenard ordonne à René González de vivre à Miami en liberté surveillée

Vendredi 16 septembre, une juge fédérale du tribunal de district a rendu un jugement étrange concernant un des cinq accusés Cubains qui termine sa peine de prison le 7 octobre. La juge Joan Lenard a statué que René Gonzalez qui a déjà servi une peine de 13 ans de prison dans un pénitencier fédéral pour avoir été un agent non enregistré du gouvernement cubain, sera obligé de passer les trois années qui viennent à Miami sous le régime de la "liberté surveillée." Monsieur Gonzalez a demandé à la Cour de lui permettre de rentrer à Cuba pour retrouver sa femme et ses deux filles Ivette et Irma. il y a plusieurs années, le département d'Etat a décidé de refuser de façon permanente un visa à Olga pour rendre visite à son époux aux USA. Elle n'a vu son mari qu'une seule fois en 13 ans. Une punition inhabituellement cruelle pour un prisonnier quel qu'il soit. Bien que né aux USA, Monsieur González a grandi à Cuba. Il est revenu dans son pays -à la demande du gouvernement cubain- pour se (…) Lire la suite »

Gerardo Hernandez, un des cinq Cubains emprisonnés aux États-Unis, se déclare un homme sans chagrin

DIVERS
Gilbert Brownstone, le président de la Fondation qui porte son nom et également personnalité internationale de l'art s'est rendue à la prison de sécurité en Californie, où se trouve Gerardo affin de lui apporter son soutien et sa solidarité à 13 ans d'emprisonnement. Il a dit que le rencontrer fut le moment le plus poignant de sa vie, parce qu'il a découvert une personne « d'un grand univers spirituel, de beaucoup de sensibilité, ce qui explique pourquoi il résiste à ce cauchemar, préférant parler de belles choses », as t'il expliqué en exclusivité pour Prensa Latina. « Avant d'aller le voir, on m'avait demandé de quoi allions-nous parler avec Gerardo pendant six heures visite, à ma grande surprise le temps que nous avons passé ensemble, m'a semblé juste cinq minutes », a déclaré Brownstone. Hernandez, Ramon Labañino, Antonio Guerrero, Fernando González et René González, identifiés comme Les Cinq ont été arrêtés le 12 Septembre 1998 à Miami, alors qu'ils alertaient leur pays (…) Lire la suite »

De la mule de José Marti à celle de Sandino : lettre très urgente

Tomas Borge
Compagnons du Forum de Sao Paulo et de la Conférence des Partis Politiques d'Amérique Latine et des Caraïbes (COPPAL) : Je suis au courant. Presque personne ne l'est. Le forum de Sao Paulo s'est mis d'accord pour se solidariser avec les 5 prisonniers cubains dans des prisons nord-américaines. Ce fut une décision de plus du forum. Bonne décision, fille d'un engagement sacré même si, à mon avis, elle reste dépourvue de transcendance et de caractère formel. La même résolution a été prise " mais qui le sait " par l'important organisme interparlementaire latino-américain, le COPPAL. De mon point de vue il est nécessaire de réaliser une dénonciation colossale de cette tragédie, assumer une conduite solidaire, pratique, à la recherche de résultats exacts. La prison est terrible. Nous le savons par expérience. Quelques uns de nos frères sont passés par l'expérience évanouissante des prisons somozistes. Les martyrs José Benito Escobar, Julián Roque, Oscar Benavidez et les (…) Lire la suite »
États-Unis - Cuba

Après le scandale des « Cinq », la farce Posada Carriles

Maurice LEMOINE
De nationalité cubano-vénézuélienne, Luis Posada Carriles n'est pas citoyen américain. Il a bien été résident permanent aux Etats-Unis en 1962, mais il a perdu ce statut pour avoir passé plus d'une année hors du pays. Il ne peut donc y rentrer légalement. C'est pourtant avec l'objectif de passer ses vieux jours au « pays de la liberté » que, en mars 2005, il laisse derrière lui le Guatemala, traverse le Belize et se dirige vers Cancún, dans l'Etat mexicain de Quintana Roo. Jusqu'à son arrivée dans cette ville balnéaire, il a été aidé et assisté par des trafiquants de drogue appartenant au cartel centraméricain que dirige le mafieux Otto Herrera Garcà­a. A Cancún, Juan Carlos Riverol, alias « le prof », prend le relais. Lié à un groupe de « narcos » d'origine cubano-américaine - Les Marielitos - Riverol s'enrichit sur le dos de Cubains sans visas désireux de gagner les Etats-Unis en évitant les 145 kilomètres du détroit de Floride, infesté de requins... et de garde-côtes américains. (…) Lire la suite »

Un encart exigeant la liberté des Cinq publié dans les éditions imprimées du Miami Herald et du Nuevo Herald

Communiqué de l'Alianza Martiana
Communiqué de l'Alianza Martiana Par Andrés Gómez Un encart exigeant la liberté des Cinq a été publié ce lundi 24 janvier dans les éditions imprimées du Miami Herald et du Nuevo Herald. Les organisations qui composent l'Alianza Martiana ont le plaisir de rendre public le fait qu'aujourd'hui, lundi 24 janvier, a été publié un encart de l'Alianza Martiana exigeant la liberté des Cinq dans les éditions imprimées du Miami Herald et du Nuevo Herald. C'est le même encart exigeant la liberté des Cinq qui avait été affiché sur un panneau [électronique] dans Miami le 11 janvier dernier. A cette occasion, à cause des intimidations de l'extrême-droite, la compagnie propriétaire du panneau avait dû retirer l'encart du panneau au bout de 24 heures. L'extrême-droite cubano américaine à Miami démontrant ainsi, une fois de plus, son caractère intolérant, colérique et antidémocratique. Les encarts publiés aujourd'hui par l'Alianza Martiana dans The Miami Herald et dans El Nuevo Herald (…) Lire la suite »

Appel à la solidarité internationale : jugement le 10 Janvier du terroriste Posada Carriles

Comité National pour la Libération des Cinq Cubain
Des manifestations dans le monde entier, le 10 Janvier, au même moment que le jugement à El Paso (Texas) sont nécessaires. Par le Comité National pour la Libération des Cinq Cubains : 25 Décembre 2010 - Le jugement de Luis Posada Carriles, abondamment retardé, commencera le 10 Janvier, après que la juge ait refusé la demande présentée par la Défense de le repousser une nouvelle fois. A La Havane, le complice de Posada, Francisco Chávez Abarca, après avoir admis que sa mission avait été de poser des bombes dans des hôtels de La Havane, a été déclaré coupable et condamné à 30 ans de prison comme complice de Posada. Le gouvernement des États-Unis continue à ignorer la demande d'extradition de Posada émise par le Vénézuéla. Les États-Unis refusent l'extradition, mais la loi internationale oblige le gouvernement à juger Posada pour l'assassinat de 73 personnes à bord de l'avion cubain, vol 445. Au lioeu de cela, le gouvernement le jugera seulement pour parjure. Seule une (…) Lire la suite »