"Nous l’avions dit, le réveil sera rapide, brutal, et beaucoup auront la gueule de bois. Nier qu’on y est serait niais ! Jupi t’es de plus en plus « rien ». Alors, tirons tous ensemble sur le pieu (« l’estaca ») !"
Il ne faudra pas venir pleurer demain lorsque l’on assassinera, torturera, « disparaîtra », les militants chavistes. Les précédents historiques sont malheureusement nombreux.
Extrait de Vive le Che ! (pp. 195-202).
L’INFLUENCE GUÉVARIENNE
Comme aime à le répéter le spécialiste pionnier Michael Löwy, quand le Mur (de Berlin) est tombé, il n’est pas tombé sur le Che. Il est l’une des rares figures révolutionnaires du XXe siècle qui reste présente dans l’imaginaire rebelle.
Françaises, Français
Je vous ai compris. Je viens de battre le Front National à plate couture. J’ai enfin réglé le problème. Le fascisme n’est plus à nos portes (jusqu’à la prochaine fois). Nous n’avons pas eu à prendre les armes, d’ailleurs mes amis ont montré leur pacifisme aux moments les plus durs de notre histoire.
Que la gauche soit présente au second tour des Présidentielles, et batte la droite et l’extrême droite, devient possible aujourd’hui si nous redoublons d’efforts et resserrons les rangs.
C’est la « Semaine de l’éducation contre le racisme et l’antisémitisme » dans les établissements scolaires. Nous ne pouvons que nous en féliciter. Mais pourquoi disjoindre racisme et antisémitisme, comme si dernier, tout aussi intolérable et criminel que le rejet des Arabes, des gitans, des homosexuels, des Noirs, des Indiens... n’était pas une forme de racisme ?
Le marxisme est une maladie génétique que l’on pourra guérir lorsque l’on parviendra à isoler « le gène rouge ». Le socialisme ne serait quant à lui qu’une « maladie mentale contagieuse ».
Quatre ans après la disparition de Chavez, le Venezuela est orphelin de Chavez. Lapalissade ? Non, absence abyssale.
Une majorité de Vénézuéliens désapprouve la politique économique du gouvernement (en a-t-il une ?) et ses conséquences pour la vie quotidienne, surtout des classes populaires.
Fringants, maquillés, ils sont tous là ces « hommes neufs ». Ils font leurs premiers pas en politique et sont amnésiques au point d’oublier que les « favoris », lorsqu’ils avaient secrétaires et chauffeurs, et un salaire plusieurs fois supérieur à celui de EVO MORALES, (les Valls, Hamon, Peillon, Montebourg), n’ont pas moufté. Ils ont été ministres du président NORMAL, donc comptables et responsables du bilan cataclysmique.
De nombreux lecteurs, amis, camarades, demandent avec insistance que je dresse un bilan sur l’Amérique latine. Comment s’y risquer ? Ces mêmes militants de la solidarité sont souvent gagnés par la déprime, la gueule de bois, au sujet de la situation actuelle au sud du Rio Bravo.