A la nouvelle de l'assassinat de Hassen Nasrallah, de l'affaire des "bippers", et d'autres coups durs portés à la résistance libanaise, on peut être pris de rage et de colère : "Comment ont-ils pu se faire "avoir" ainsi ?! Quelle naïveté !" Mais les choses ne sont pas aussi simples.
Ces derniers temps, en plein génocide à Gaza, on a pu remarquer sur les médias français la présence intense de deux écrivains d'origine algérienne, connus pour leur francophilie exacerbée et qui ont pour traits communs l'islamophobie, l'arabophobie et une sympathie affirmée pour Israël.
Nous sommes le 24 février 2024. Aaron Bushnel est un jeune homme de 25 ans. Il est dans l'armée des Etats-Unis. Aaron est à la veille de sa mort. Il le sait car il a décidé de se sacrifier, de s'immoler par le feu, le lendemain, pour la Palestine, pour Gaza.
Israël était en négociation avec le Hamas pour les otages. Israël tue le négociateur.
Le spectacle de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques ne cesse d’alimenter polémiques et controverses. C’est le cas en France mais aussi dans le monde entier.
Les massacres à Gaza sont sans fin. Il n'y a pas dans l'Histoire un tel précédent. Avec ces massacres, Israël et les Etats Unis ont inscrit à jamais leur condamnation morale dans l'histoire de l'humanité. Netanyahou, monstre parmi les monstres, ne sera pas repu du sang palestinien. Il ne s'arrêtera pas si personne ne l'arrête. Il compte sur la lassitude de l'opinion mondiale, pire sur sa résignation.
Le 7 juillet au soir, en France, les forces dites du Front républicain, mais surtout celles de gauche, le Nouveau Front Populaire, laissent éclater leur joie à l’annonce du résultat des élections. Le Rassemblement National n’est pas passé. Il n’a pas la majorité comme ils l’avaient craint. La crise politique semble avoir été réglée. En réalité, elle est ouverte.
27 juin 2024. Le Président Biden est là, face à son micro, face à son pupitre, face à son adversaire, Donald Trump, face au pays.
On évalue entre 6 à 8 millions les ukrainiens, des jeunes pour la plupart, qui ont quitté leur pays depuis le début des hostilités avec la Russie. Beaucoup ont voulu profiter au départ de l'aubaine des conditions d'accueil exceptionnelles faites par les pays occidentaux, en solidarité politique avec le pouvoir ukrainien contre la Russie, et avec une population dont le pays s'était effondré économiquement après la séparation de l'URSS et le pillage des oligarques. Mais surtout, on peut estimer sans grand risque de se tromper, qu'ils ont voté avec leurs pieds contre la guerre.
La plage du débarquement en Normandie nous fait, 80 ans après, irrésistiblement penser au sable de la bande de Gaza. Pourquoi ?