La crise financière n’est pas le seul problème ; il y a un autre pire, car il a à voir non avec le mode de production et de distribution, mais avec l’existence même. Je veux parler des changements climatiques. Tous deux existent et seront discutés simultanément.
[Introduction de J-F Bonaldi, le 6/10/2008 :] Ici à Cuba, c’est encore le 6 octobre, en la trente-deuxième année du crime de la Barbade, du sabotage en plein vol d’un avion de passagers cubains : 73 morts, dont toute l’équipe d’escrime junior qui venait de rafler toutes les médailles d’or du Championnat centraméricain, deux équipages au complet, de jeunes Guyanais venant faire des études de médecine à Cuba, des Nord-Coréens… Ce fut, si je ne me trompe, le premier sabotage du genre (encore, hélas, une « première »cubaine !) Mais que la presse internationale est silencieuse à ce sujet !
« Vous êtes saisis d’horreur parce que nous voulons abolir la propriété privée. Mais, dans votre société, la propriété privée est abolie pour les neuf dixièmes de ses membres. C’est précisément parce qu’elle n’existe pas pour ces neuf dixièmes qu’elle existe pour vous. Vous nous reprochez donc de vouloir abolir une forme de propriété qui ne peut exister qu’à la condition que l’immense majorité soit frustrée de toute propriété. » Karl Marx