Le 1er octobre, Julian Assange arrivera à Strasbourg pour témoigner devant la Commission des questions juridiques et des droits de l’homme de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE), qui se réunira de 8h30 à 10h au Palais de l’Europe.
Julian Assange a pu quitter la prison de haute sécurité de Belmarsh où il était incarcéré depuis 2019 dans l’attente d’une éventuelle extradition vers les États-Unis. Il aurait pu y être jugé en vertu de l’Espionage Act et écoper d’une peine de 175 ans de prison. Mais un accord avec les autorités US a pu être trouvé. Le fondateur de WikiLeaks a accepté de plaider coupable de "complot pour obtenir et divulguer des informations relevant de la défense nationale". En route pour comparaître devant un tribunal US des îles Mariannes, Assange devrait écoper d’une peine de 52 mois de prison, déjà purgée en détention préventive à Belmarsh. Après cette formalité, il pourra regagner son pays natal, l’Australie. Mobilisé depuis de nombreuses années pour la libération d’Assange, Viktor Dedaj réagit à cet ultime rebondissement. (I’A)
Dans ce poème, l'éloge vibrant de Julian Assange résonne comme un hymne à la vérité et à la liberté. Décrit comme un visionnaire australien au courage inébranlable, fondateur de WikiLeaks, Assange incarne la quête implacable de transparence et de justice. Malgré les épreuves et la persécution, sa libération finalement obtenue symbolise la victoire de la vérité. Son combat incessant contre l'oppression et son engagement pour la démocratie sont salués comme un triomphe de la liberté d'expression. Ce poème loue l'héritage intemporel et la détermination inflexible de Julian Assange dans sa lutte pour la vérité et la justice.
Si elles étaient correctement rapportées, deux audiences judiciaires d'une importance cruciale tenues cette semaine à Londres et à La Haye feraient apparaître l'"ordre fondé sur des règles" des États-Unis comme une imposture.