L’heure est grave. Avec plus de 46% des votes du premier tour, Bolsonaro est en position de force pour remporter les élections générales lors du second tour, qui se déroulera le 27 octobre prochain.
Les tibétologues Blondeau, Buffetrille, Robin et Stoddard ont-elles raison quand elles clament haut et fort qu’ « il n'y eut jamais de contact officiel entre le gouvernement tibétain et les nazis » et quand elles affirment sans sourciller que « la connexion entre le Tibet et les nazis » n’est qu’un « mythe » ? (1) Nous allons montrer dans cette cinquième partie… - que les relations entre l’élite tibétaine et le Reich étaient réelles et fort amicales ; - qu’elles pouvaient se fonder sur des sympathies politiques et des intérêts communs ; - que pendant la Seconde guerre mondiale, les nazis projetaient d’attaquer les Britanniques en Inde du Nord à partir du Tibet et avec son aide ; - enfin, que le Tibet garda une soi-disant « neutralité » qui servit en fait les impérialistes japonais, les principaux alliés d’Hitler, dans leur tentative de conquérir et d’asservir la Chine.
Depuis plusieurs années maintenant les mouvements et partis d’extrême-droite connaissent une résurgence dans toute l’Europe. Surfant sur les politiques ultralibérales, qui ont conduit des millions de personnes à la pauvreté, et profitant aussi de la situation migratoire, ces partis voient leur scores électoraux grimper en flèche. Certains sont d’ores et déjà au pouvoir disposant d’une large majorité, ou bien ayant des Ministères importants dans des gouvernements de coalition avec les partis de droite. Italie, Hongrie, Autriche, Bulgarie, Finlande, Slovaquie, Pologne, les exemples se multiplient.