« Qui est Maxime Vivas, ce Français qui dénonce des « fake news » sur les Ouïghours et fait le bonheur de Pékin ? » s’interroge Laurence Defranoux en titre d’un long article dans Libération du 30 mars 2021 (1).
En réponse dans son récent livre, (Ouïghours, l’horreur était dans nos médias, Editions Delga, mars 2024), l’interpellé soutient que Libération fait le bonheur de Washington en diffusant des “fake news”, bonheur redoublé quand sa journaliste choisit Raphaël Glucksman comme préfacier pour son propre livre (2).
Un document interne du gouvernement fédéral a été transmis en exclusivité à NachDenkSeiten. Nous avons pu vérifier le document et nous connaissons également l'identité du lanceur d'alerte. Le document donne un aperçu éclairant de l'ampleur des structures horizontales et verticales de ce que l'on ne peut pas appeler autrement que propagande d'État, notamment en ce qui concerne l'implication des autorités dans les médias (par exemple le Spiegel et le Stern), les groupes de médias sociaux occidentaux, les établissements d'enseignement et les soi-disant "fact-checkers". Même les enfants des écoles primaires sont ciblés. Il en résulte une tentative concertée de mise au pas de l'information par le gouvernement fédéral.
Le 26 septembre 2022, dans une émission de Conspiracy watch (observatoire du conspirationnisme) Tristan Mendès France et Rudy Reichstadt ont diffamé avec gourmandise Viktor Dedaj, Maxime Vivas et Le Grand Soir. Ils l’ont fait en présence de leur invité, Romain Badouard, maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’université Paris II Panthéon-Assas, chercheur au laboratoire CARISM de l’Institut français de presse. Il n’a pipé mot et il a découvert les noms, comme il découvrit les mots « Révolution colorée » (!).
LGS.
Exploitant les moindres recoins de l’espace habité, le colonialisme européen a longtemps plié la majorité de l’humanité aux exigences de conquérants sans scrupules qui ont arrosé d’eau bénite leurs violences et leurs rapines.
Beaucoup ont du certainement le remarquer, le système d'information occidental, lorsqu'il s'agit de la guerre en Ukraine, devient atypique ; il n'obéit plus à aucune norme traditionnelle de l'information.