Nouveau slogan de presse ne rien faire et "Laissez fake". Le crime était pourtant parfait : un soir de match de foot gagné par les "Fennecs", un "Algérien" en joie s'en venait écraser une famille sur un trottoir de Montpellier avec une mère morte et deux enfants blessés. Détail le chauffard n'est ni algérien ni amateur de foot.
A défaut de se poser des questions sur leurs qualités professionnelles, sur leur traitement honnête de l'information, éventuellement sur leur talent, les caporaux chefs du journalisme, pour affirmer leur pouvoir, ne s'abritent plus que derrière leur mince "Carte de presse". Biseauté le rempart de papier.
Les médias français, dans leur quasi-majorité, n’ont jamais supporté l’idée d’une Révolution et d’un gouvernement populaire au Venezuela. Depuis le début, jusqu’à la mort d’Hugo Chavez, en 2013, et puis de nouveau après l’élection de Maduro, ils ont toujours cherché à décrédibiliser l’action du gouvernement et les politiques mises en place. L’actuelle conjoncture économique, les sanctions économiques, et l’embargo imposé par les mêmes qui s’offusquent ensuite des pénuries, ne font que renforcer un traitement médiatique réservé aux seuls pays qui clament leur indépendance.