Une déclaration d’Acrimed qui invite les économistes à gages, les chroniqueurs et les éditocrates qui depuis trente ans chantent les louanges du libéralisme, à se taire au nom du pluralisme comme de la décence la plus élémentaire.
Dans son éditorial du 25 février, Le Monde a pris position sur la demande d’extradition formulée par Washington à l’encontre du fondateur de WikiLeaks. Le titre de l’article – « Julian Assange ne doit pas être extradé aux États-Unis » – ne reflète pas la duplicité maligne de son contenu. Derrière le soutien minimal, on trouve en effet une charge malhonnête et calomnieuse contre un journaliste persécuté, un prisonnier politique ; l’indignité étant aggravée par le fait que le « quotidien de référence » a jadis beaucoup profité de son partenariat avec WikiLeaks.
Dans son témoignage devant le Conseil de sécurité des Nations unies, l’ancien chef de l’équipe d’inspection de l’OIAC et expert en ingénierie Ian Henderson a déclaré que leur enquête à Douma, en Syrie, suggérait qu’aucune attaque chimique n’avait eu lieu. Mais leurs conclusions ont été censurées.
À tous ceux qui s’interrogent sur Extinction Rebellion (XR), ce « mouvement » qui est arrivé sur le devant de la scène en moins d’un an, et dont nous n’avons pas fini d’entendre parler.
Difficile de l’éviter, Greta Thunberg est dans tous les esprits. Il n’y a plus un jour sans que son nom n’apparaisse sur nos écrans, pour l’encenser, lui donner la parole ou la critiquer vivement. Par la force des choses, la jeune fille au profil singulier est devenue un symbole de notre temps. Et comme pour tout symbole popularisé à l’extrême, elle est suspectée de prendre part à une vaste et obscure machination gauchiste, mondialiste et/ou capitaliste, selon les affinités politiques. Comment Greta Thunberg est-elle devenue ce punching-ball des réactionnaires français ? Édito.
Polony, après avoir fait son beurre avec les "Viols de Cologne" qui n'ont jamais existé persiste et lance son employée sur une autre fausse nouvelle, le saccage de la France par les supporters des "Fennecs". Du journalisme de caniveau.