L’un des secrets les mieux cachés dans la cacophonie de la panique et du terrorisme médiatique provoqués par l’actuelle pandémie COVID-2019 est la réussite avec laquelle le Nicaragua, un petit pays pauvre situé dans l’une des régions les plus exposées au changement climatique de la planète, a confronté l’arrivée du nouveau coronavirus.
Voilà. Comme je suis taquin, tout au début du confinement, vu que je n’avais rien à foutre sinon d’attendre de mourir ou de me démerder tout seul pour survivre, et face à la réquisition des stocks de masques et de chloroquine, je me suis dit « Aides toi, le Ciel, (Ou le Céleste Empire), malgré ses ennuis intérieurs), pourra peut-être t’aider ».
Une déclaration d’Acrimed qui invite les économistes à gages, les chroniqueurs et les éditocrates qui depuis trente ans chantent les louanges du libéralisme, à se taire au nom du pluralisme comme de la décence la plus élémentaire.
Concrètement et au présent, chaque jour les méthodes de régime autoritaire se déploient dans presque tous les pays et singulièrement là où le néolibéraux dirigent. La théorie du choc décrite par Naomie Klein fonctionne sous nos yeux jusqu’aux formes extrêmes qui s’observent au Brésil ou aux EU et dans combien de pays d’Afrique, au sud du Sahara.
Cuba a été forcée par le régime de Bolsonaro de mettre fin à un programme qui envoyait des médecins dans des régions reculées du Brésil.
Maintenant, le Brésil s’est rabattu sur la petite nation pour un soutien médical dont elle avait grand besoin - demandant l’aide des mêmes médecins cubains qu’il a expulsés il y a des mois.