Le Premier secrétaire du Comité central, le général d’armée Raul Castro Ruz, a présenté le document aux délégués réunis au Palais des Conventions.
LGS en propose ici des extraits.
On peut d’ores et déjà mesurer les retombées du Covid-19 – et on pourra le faire encore mieux à l’avenir – par les quantités de contagieux impressionnantes qu’elle provoque, par les chiffres de décès inacceptables qu’elle entraîne, par les dégâts indéniables qu’elle cause à l’économie mondiale, à la production, au commerce, à l’emploi et aux revenus de millions de personnes.
Alfred de Zayas a été secrétaire du Comité des Droits de l’Homme de l’ONU, directeur du bureau des requêtes au Haut Commissariat des Droits de l’Homme de l’ONU, et expert indépendant auprès des Nations Unis pour la promotion d’un ordre international démocratique et équitable. C’est un avocat et professeur universitaire reconnu pour la rigueur de son travail.
Dans cette interview exclusive, Mr De Zayas revient sur les avancées et les limites du système de protection des droits de l’Homme de l’ONU et analyse pour nous les "mesures coercitives unilatérales" -les sanctions économique et le blocus financier- que les États-Unis et leurs alliés déploient contre certains pays afin de renverser leurs gouvernants (Russie, Iran, Venezuela, Cuba,...). Ils n’hésitent pas à les qualifier de "crimes contre l’Humanité".
Pour ceux et celles qui avaient cru comprendre que le blocus contre Cuba appliqué par les Etats-Unis avait été levé et que les relations entre les deux pays avaient été "normalisées", voici, pour la 25ème année consécutive, le rapport de Cuba qui sera présenté à l’Assemblée Nationale des Nations-Unies. L’année dernière, la demande de la levée du blocus avait été approuvée par 191 pays en faveur, 2 contre (les Etats-Unis et Israël - le pays qui condamne les simples boycotts...) et 0 abstentions. Le lecteur attentif relèvera la chape de silence médiatique qui recouvrira, comme chaque année, la condamnation du blocus par le monde entier - à l’exception des deux états-voyous habituels. - LGS
Entretien exclusif de Granma international avec Josefina Vidal, directrice générale chargée des Etats-Unis au ministère des Relations extérieures. Auteur : Sergio Alejandro Gómez | internet@granma.cu 22 juillet 2016 « NOUS avons beaucoup travaillé pour parvenir à un changement dans la politique des États-Unis vis-à-vis de Cuba », signale Josefina Vidal, qui a conduit la délégation cubaine aux conversations avec les États-Unis qui ont débouché sur l’ouverture d’un nouveau chapitre dans les relations bilatérales. Mais elle ne parle pas des démarches difficiles entreprises depuis un quart de siècle sur ce sujet. « Il faut savoir lire l’histoire pour savoir que Fidel a fait part à plusieurs reprises de la disposition de Cuba à discuter et régler les divergences avec les États-Unis par la voie des négociations, sans renoncer à un seul de nos principes. Et le général d’armée Raul Castro, en assumant la direction de notre gouvernement, a signalé que nous avons toujours été prêts à normaliser les relations avec ce pays sur un pied d’égalité ». Ce processus a été amorcé le 17 décembre 2014, au terme d’un demi-siècle de résistance du peuple cubain à tout genre d’agressions. Quelques mois plus tard, le 20 juillet 2015, les bâtiments qui abritaient jusque-là les sections d’intérêts dans chaque capitale ont retrouvé automatiquement leur statut d’ambassade. Un an après ces événements, Granma international s’est entretenu en exclusivité avec Josefina Vidal dans son bureau situé au 6e étage du ministère des Relations extérieures, à la Direction générale chargée des États-Unis.
Le 14 avril 1961, cinq bateaux « marchands » se dirigèrent depuis l’Amérique Centrale vers la baie des Cochons à Cuba. Trois d’entre eux portaient les noms de « Barbara », « Houston », et « Zapata ». Ils transportaient une force paramilitaire de quelque 1500 hommes, appelée Brigade 2506.
Les jours précédents, des bombardiers B-29 peints aux couleurs des Forces Armées Révolutionnaires de Cuba attaquèrent les aéroports de trois villes cubaines. C’était le 15 avril 1961.
Le groupe pétrolier français CGG Services S.A. a payé plus d’un demi-million de dollars aux États-Unis pour éviter une demande juridique pour violation de blocus appliqué à Cuba, ont informé ce lundi les autorités étasuniennes.