Il n’est pas exagéré de dire que dans la mythologie de l’Empire anglo-sioniste, Poutine est quelque chose d’apparenté à Satan ou, du moins, qu’il est une sorte de « Sauron » qui incarne le mal. Et nous avons tous entendu que récemment Biden, au cours d’une interview enregistrée, a déclaré que Poutine est « un tueur ». Lorsqu’on lui a donné la possibilité d’adoucir une telle déclaration, Jen Psaki n’a rien fait de tel. Nous pouvons donc conclure qu’il s’agissait d’une caractérisation officielle, délibérément planifiée, du dirigeant russe.
Notons la Sainte indignation qui a troublé l'harmonie estivale et le chant des grillons au château de Bregançon ...
Allons-nous nous pouvoir dire que leur rapprochement est tel qu’on ne voit plus la lumière du jour entre la Russie et la Turquie ? Nous y sommes presque. L’incursion turque en Syrie lancée mercredi est un point de bascule. La Turquie et la Russie coordonnent étroitement leurs efforts. Méditons ce qui suit.
Vladimir Poutine a rencontré les dirigeants des principales agences de presse mondiales en marge du Forum économique international de Saint-Pétersbourg, le 6 juin 2019. Source : http://en.kremlin.ru/events/president/news/60675 Traduction : lecridespeuples.fr video https://www.youtube.com/watch?v=LCeES8AGeD4
Vladimir Poutine s’est plié à l’exercice de l’adresse annuelle, son « état de la Fédération », pour la quinzième fois déjà en tant que président. Comme d’habitude, c’est le silence radio chez nous, ou alors les cris d’orfraie. Pourtant, comparé à l’état de l’Union de Trump, ce discours d’une heure et demie a été bien plus construit et riche d’enseignements. Puisque la presse française refuse de s’y coller, passons-la en revue. En direct de Moscou.
110 millions d’électeurs russes étaient appelés, le 18 mars, à élire leur président. La participation, un enjeu important du scrutin, s’est élevée à 67,4%, soit 2,1 points de plus qu’en 2012.