Depuis 2011 la République Bolivarienne du Venezuela a entrepris de construire des logements avec le programme Gran Misión Vivienda Venezuela (en français : Grande Mission Logement Venezuela) sous l'impulsion du président Hugo Chávez. A chaque 100 000 logements construits une bornes est inaugurée et le 6 juin de 2024 ce fut au tour de la borne numéro 5 millions d'être inaugurée par le président Maduro. Ce programme de construction est un véritable exploit car il s'est déroulé au milieu d'une guerre économique féroce et de tentatives de déstabilisation (assassinats, coups d'état, vol des actif vénézuéliens, piraterie, etc) menée par l'impérialisme étasunien ... et du silence total des médias français. En résumé pendant que le Venezuela passe des bidonvilles aux HLM durant une guerre économique, la France elle passe des HLM aux bidonvilles durant une crise de spéculation immobilière (de 86 000 en l'an 2000 à 330 000 sans abris en 2024 dans un silence médiatique assourdissant.
Le-Venezuela-veut-envahir-le-Guyana ! ». L’internationale médiatique inverse (une fois de plus) les rôles pour occulter une énième stratégie états-unienne contre le Venezuela. Exxon Mobil et le Pentagone, après avoir acheté le gouvernement du Guyana, déploient un plan médiatico-militaire pour tenter de s’emparer de l’Esequibo – zone riche en pétrole, qui fait historiquement partie du Venezuela. Le Guyana affirme que ce territoire lui appartient, et a officiellement exprimé son intention d’y établir des « bases militaires états-uniennes ». « Nous devons protéger nos intérêts nationaux », a déclaré le vice-président du Guyana, Bharrat Jagdeo, « nous travaillons avec nos alliés pour mettre au point un plan pour toutes les éventualités et nous aurons la visite de deux équipes du ministère états-uniens de la défense la semaine prochaine, puis plusieurs visites en décembre et une représentation de haut niveau. » Les grands médias inversent les rôles, mais qu’attendre d’autre de leur part ? N’ont-ils pas relooké les violences d’extrême droite de ces dernières années en « manifestations-populaires-réprimées-par-Maduro » ? N’ont-ils pas occulté le blocus pétrolier et les sanctions de l’Occident pour imputer l’exode de population à « l’échec-du-socialisme-bolivarien » ? Ou sacré le putschiste d’extrême droite Juan Guaido « président du Venezuela » ?
L’action se déroule dans un pays imaginaire, la République bolivarienne du Venezuela. Il y a là du pétrole. Beaucoup de pétrole. Et un président qui dérange, Nicolás Moro. A l’initiative du locataire de la Maison-Blanche, le Grand Fuck You, un député vénézuélien d’opposition, Juanito, s’autoproclame « président ». Commence une bataille infernale. Washington multiplie les sanctions pour asphyxier le Venezuela ; à Caracas, Juanito et les siens peaufinent un coup d’État ; en Colombie, l’ex-béret vert étasunien Jordy Goureau et ses mercenaires préparent une invasion. Fiction, sûrement. Mais...