Les élections législatives du 6 décembre 2020 au Venezuela ont des enjeux considérables. Plus qu’une élection de députés, il s’agit de construire un consensus démocratique pour remettre le Venezuela sur les rails institutionnels, sortir de la spirale de violence impulsée par une fraction de l’opposition, et faire front pour stopper le pillage du pays par les puissances occidentales. A n’en point douter, ces élections vont devenir une bataille géopolitique et un terrain fertile aux fakes news. Dans cette série de sept articles, Romain Migus, dresse une radiographie de la situation pré-électorale afin de nous donner des clés pour comprendre les enjeux et mieux appréhender les rapports de force existants.
Les élections législatives du 6 décembre 2020 au Venezuela ont des enjeux considérables. Plus qu’une élection de députés, il s’agit de construire un consensus démocratique pour remettre le Venezuela sur les rails institutionnels, sortir de la spirale de violence impulsée par une fraction de l’opposition, et faire front pour stopper le pillage du pays par les puissances occidentales. A n’en point douter, ces élections vont devenir une bataille géopolitique et un terrain fertile aux fakes news. Dans cette série de sept articles, Romain Migus, dresse une radiographie de la situation pré-électorale afin de nous donner des clés pour comprendre les enjeux et mieux appréhender les rapports de force existants.
Sous la modération du journaliste et écrivain Hernando Calvo Ospina, les journalistes Maurice Lemoine, ancien rédacteur en chef du Monde Diplomatique, et Romain Migus, animateur du site les2rives.info, évoquent le rôle des médias internationaux et leur participation à la déstabilisation du gouvernement bolivarien du Venezuela. Les médias qui sont une part essentielle des plans impériaux étasuniens et européens pour s’emparer des immenses ressources stratégiques de cette nation sud-américaine. Comme des chiens de guerre médiatiques...
Bien peu de journalistes ont pris le temps d’aller à la source, et se sont contentés de reproduire l’interprétation de l’AFP sur le sujet. Pourtant, la lecture des 433 pages du rapport de la mission de l’ONU révèle bien des surprises.
Élaboré avec une méthodologie douteuse, se référant à des sources politisées, le résultat de cette mission de l’ONU discrédite avant tout... le système défense des Droits de l’Homme de l’ONU.
Cette nouvelle accusation est avant tout une opération politique visant à torpiller le consensus démocratique autour des élections du 6 décembre 2020, et empêcher les vénézuéliens de tourner la page Guaido pour remettre le pays sur les rails institutionnels.
Ce lundi 31 août 2020, le ministre de la communication et de l’information, Jorge Rodriguez, a annoncé que le président vénézuélien Nicolas Maduro avait amnistié, par décret présidentiel plusieurs politiciens condamnés pour sédition ou pour avoir participer à des tentatives de coup d’État. Par ce geste, le président vénézuélien entend renforcer la démocratie dans le pays.
La grâce présidentielle touche 110 citoyens, acteurs politiques de la droite vénézuélienne, et vise à la réconciliation et à l’union nationale en vue des prochaines élections du 6 décembre 2020.
L’Histoire du drapeau vénézuélien est à chercher dans les turpitudes de la guerre d’indépendance. Pour le journal L’Humanité, Romain Migus revient sur les changements et les enjeux autour de l’étendard national du pays de Chávez et Bolivar [LGS]
Je vais vous parler du travail qui a été fait dans la lutte frontale contre le trafic de drogue au Venezuela, de nos bonnes politiques et stratégies.
Nous allons revenir sur les attaques perpétrées par le président des États-Unis, Donald Trump, à propos du narcotrafic, lors de sa visite dans l’État de Floride et dans le cadre de son cirque électoral. Il fait du prosélytisme dans les casernes militaires, avec l’amiral Craig Faller du Commando Sud, et cherche toujours des moyens de poursuivre sa spirale de déstabilisation. C’est le cynisme sans limite de l’empire américain, le deux poids deux mesures, comme toujours. Cela pour créer les conditions de menace permanente de déstabilisation contre notre patrie, et continuer la guerre multiforme, la guerre non conventionnelle ou hybride, pour continuer à déstabiliser le Venezuela et poursuivre les fronts financier, médiatique et psychologique sans parler des incursions mercenaires en pleine pandémie mondiale.