L'histoire de la guerre est celle du mensonge. Dernière proposition américaine, dans une série qui remonte -pour le moins - au XIXe siècle : vitrifions la Syrie.
Quand nous sommes bombardés d’informations sur un « massacre » servant à justifier des bombardements US, on a toujours intérêt à se souvenir des précédents. En 2013, on a déjà accusé Damas. Mais l’enquête officielle de l’ONU (pourtant fort infiltrée par les USA) a conclu à l’impossibilité de désigner le camp responsable.