Avec un territoire de 9,597 millions km² et près de 1 milliard 400 millions d’habitants, avec un dynamisme et un rythme de développement qui feront bientôt d’elle la première puissance économique du monde, avec son aspiration à la paix, la Chine mérite qu’on la connaisse mieux, qu’on sorte des caricatures et des informations uniquement négatives, qu’on cesse de la déguiser en loup-garou, qu’on ne la désigne plus comme une ennemie.
Attention, les trois listes ne se recoupent pas !
La première qui appelle à la création d’un média indépendant, collaboratif, coopératif, écologiste, pluraliste, féministe, humaniste, antiraciste, progressiste, s’affranchissant de la dictature de l’urgence, ouvert à la confrontation des idées et aux débats de fond, valorisant la création culturelle et la francophonie, renforçant des solidarités humaines... n’a rien à voir avec les deux autres, dont l’une affiche la soumission atlantiste de nos « élites » et l’autre leur vénalité.
Une adresse à ceux qui "revisitent" l’histoire du Che...
Merde, merde et merde !! Je viens de faire, comme d’hab, ma revue de presse. Ce matin, c’est « A mort le Che ! » avec l’éminente spécialiste de la sexualité de DSK, qu’elle appelle fort élégamment le « roi des porcs » dans son best seller malodorant, et interdit, « Belle et bête »...
Le texte qui suit est celui de mon éditorial prononcé le lundi 11 septembre à l’antenne de Radio Mon Païs (radiomonpais.fr) à Toulouse dans le cadre d’une émission culturelle hebdomadaire que j’anime et ou s’expriment cinq chroniqueurs : théâtre, cinéma, littérature, histoire et revue de presse (par Bernard Gensane).
Eh beh monsieur Brunet ! Je suis tout espanté ! Abrutis ? Abrutis ? Carrément Brunet, là ! Allez, monsieur Brunet, c’est pas de votre faute ! C’est tous les autres qui vous ont fait boire tout ce fiel ! Et maintenant vous vous sentez tout bête, hein ! Allez monsieur Brunet, on vous comprend. On a bien vu. On le sait, monsieur Brunet : (presque ) toute la scène médiatique est en proie à un stupéfiant délire contre les Insoumis. On a vu aussi l’ambiance à « C’est dans l’Air » ! Les vaches sacrées de la scène politique sont devenues des vaches folles.
Vendredi 25 août à Marseille, les AmFis d’été de la France insoumise accueillaient un invité exceptionnel en la personne de Rafael Correa, ex-président équatorien (2007-2017).
Voici l’intégralité de la conférence qu’il a prononcée, en français, sur "le socialisme du bien-vivre". Il est également revenu sur son expérience à la présidence de l’Équateur et a analysé l’évolution politique de l’Amérique latine.
Son intervention s’est achevée dans un tonnerre d’applaudissements et sous les cris de "Correa amigo, el pueblo esta contigo" (’’Correa, notre ami, le peuple est avec toi’’).
En a-t-on lu, en a-t-on entendu des impatients qui devinaient dans le silence estival des vacances de Jean-Luc Mélenchon (occupées aussi à préparer le Rendez-vous de la FI à Marseille) le début d’un lâchage du Venezuela. Il fallait qu’il parle, vite, fort, au moment choisi par les éditocrates et sur ce sujet choisi par eux. Qui n’a remarqué la répétitivité de la question rituelle de fin des interviews des représentants et députés de la FI : « En 30 secondes, le Venezuela, dictature… » ?
Partout ou presque, jusqu’à chez des lecteurs du GS (avouez…), le doute accusateur s’insinua, qui devint presque une certitude pour d’aucuns et jusque dans un article que nous avons publié où, sur la foi d’une citation tronquée par Europe 1 d’une déclaration sur CNews d’un dirigeant de la FI, l’idée germa que par opportunisme politique, la FI abandonnait le Venezuela aux chiens.
Nous ne l’avons jamais cru et nous l’avons dit plusieurs fois en intervenant dans les 157 commentaires d’un article lu près de 10 000 fois.
Le Grand Soir.
Le Monde.fr du 29.08.2017 affirme que : « Le 17 août, l’Assemblée nationale constituante issue du chavisme s’est arrogé les pouvoirs qui incombaient à l’Assemblée nationale, dominée par l’opposition ».
C‘est faux, mais qui le dira ? La vérité est que Maduro, après consultation du peuple, applique à la lettre des dispositions de la Constitution, adoptée par référendum en 1999.
Diosdado Cabello (photo), député à l’Assemblée Nationale Constituante et vice-président du PSUV a indiqué qu’il a remis des documents originaux qui prouvent l’existence d’un réseau d’extorsion qui fonctionnait au Bureau de la procureure Générale de la République avec la participation active de procureurs du Ministère Public et du député à l’Assemblée Nationale Germán Ferrer, mari de l’ex-procureure générale Luisa Ortega Díaz. Tarek William Saab, procureur général de la République a indiqué qu’il demandera au Président du TSJ d’arrêter Germán Ferrer chez lui et à l’Assemblée Nationale Constituante de lever son immunité.
Caracas, 19 août (PL) Le scandale de corruption, d´extorsion et d’impunité dans lequel est impliquée l’ex-procureure générale vénézuélienne, Luisa Ortega (photo), comprend de nouvelles évidences qui la désignent comme l’auteure intellectuelle de l’escalade de la violence qui a récemment secoué le pays.