Trente ans, soixante ans… Ces dates peuvent sembler lointaines, des événements du siècle passé. En particulier pour les jeunes générations, nées au vingt-et-unième siècle et confinées aujourd’hui pour la première fois de leur jeune existence. Et pourtant, ces événements marquent profondément notre présent.
L’un des coups de grâce de Donald Trump a été de gracier quatre mercenaires étasuniens reconnus coupables d’avoir tué 14 civils irakiens non armés en 2007.
Supposons que vous soyez l’un des génies maléfiques qui dirigent l’économie mondiale. Bien sûr, vous voudriez continuer à la gérer de manière stable, sûre et rentable malgré les problèmes qui pourraient surgir de temps en temps. Vous voudriez résoudre ces problèmes rapidement et efficacement sans attirer l’attention sur vous et vos mauvaises habitudes. Quels sont donc, selon vous, les principaux problèmes qui appellent une solution rapide et préventive, et comment devriez-vous les résoudre ?
Il y a vingt ans, en tant que journaliste, j’ai couvert le Forum de Munich sur la sécurité et interviewé Brent Scowcroft, conseiller à la sécurité nationale du président Bush (père). Je crois qu’il a été l’un de ceux qui ont joué un rôle énorme dans la conduite de Boris Eltsine vers la crise – qui a abouti au bombardement du parlement russe en octobre 1993 – ouvrant ainsi la voie au plus grand vol de l’histoire humaine, la bien connue politique de privatisation. J’ai demandé à Scowcroft quelle devrait être la politique américaine envers la Russie et la Chine. Il a répondu : « Nous devons avoir de meilleures relations avec Moscou et Pékin qu’ils ne peuvent en avoir entre eux ».
Traduction (perfectible) du discours du président Alexandre Loukashenko sur la place de l'Indépendance du Bélarus devant 60 000 participants.
D’ici à novembre, date des élections présidentielles aux Etats-Unis, on peut s’attendre à tout de la part des barbares installés à Washington, d’autant plus que ce cinglé de Trump semble devancé par le démocrate Joe Biden qui lui, hélas, est plus soucieux de son apparence physique que de la pauvreté galopante qui mine son pays.