Voici, condensés en un seul, deux récents articles parus à un jour d'intervalle sur le blog Moon Of Alabama. Il y évoque le cafouillage qui a suivi la visite en Chine d'Antony Blinken , le secrétaire d'état de la Maison Blanche. Alors que je m'apprêtais à conclure la traduction du premier article en y ajoutant, en matière de commentaire, un bémol suite à la déclaration de Biden faite à peine l'avion de Blinken posé sur le tarmac londonien, MoA a dégainé le deuxième. (XP)
Depuis un moment, certains pays parlent de la « réduction des risques » vis-à-vis de la Chine, en tant qu’une orientation politique différente de celle de découplage.
Au fond, ce n’est qu’une autre façon de prôner le découplage, vis-à-vis des prétendus « risques que représente la Chine ». Mais en réalité, rien de ce que la Chine a fait peut être qualifié de risque. Elle a toujours agi pour la paix, la croissance et l’innovation.
Totalement absente des médias français, éclipsée par l'actualité d'une métropole en ébullition face aux coups de matraques d'un pouvoir contre son peuple, reléguée derrière une propagande d'une échelle inédite jusqu'alors visant à maintenir l'illusion d'une victoire à venir de l'Ukraine et de l'OTAN, la révolution diplomatique conduite par la Chine au Moyen-Orient marque l'aurore d'une nouvelle ère qui verra probablement le refoulement de l'influence nuisible de Washington hors d'une région et loin des peuples dont le martyre infligé par l'occident colonial depuis trois-quarts de siècle a suffisamment duré.
La politique des États-Unis est faite de provocations calculées qui visent à faire monter les tensions tout en décriant aussitôt les réactions légitimes de la puissance provoquée. La Chine, elle, a besoin d’un monde en paix pour poursuivre son développement et améliorer les conditions d’existence du peuple chinois. Nul doute qu’elle saura résister à la tentation que lui offre l’impérialisme, ce tigre de papier, qui recevra un coup sur le museau le moment venu, comme en Corée, au Vietnam, en Irak, en Afghanistan, et bientôt en Ukraine.
Trump, candidat aux primaires républicaines, a récemment fait une blague à propos de sa chevelure atypique très révélatrice : « Quelle est la différence entre un raton laveur mouillé et les cheveux de Donald J. Trump ? Un raton laveur n'a pas sept milliards de dollars sur son putain de compte en banque ! » Au pays de l'argent-dieu, quoi de plus naturel donc que les guerres menées en son nom ? $ : in hoc signo vinces, par ce signe tu vaincras. À toute religion, ses guerres.
Selon l’Internaute l’expression, "les jeux sont faits", est récente (début du 20e siècle) et « elle puiserait ses origines dans les jeux de hasard et notamment dans le jeu de la roulette où le croupier indique que "les jeux sont faits" lorsqu’il n’est plus possible de miser. On peut la rapprocher du célèbre "Alea jacta est".
Ce lundi, l'agence de presse nationale chinoise Xinhua News a publié ce rapport. Autant dire qu'il s'agit ni plus ni moins qu'une réponse du gouvernement chinois aux cris d'orfraie américains suite à l'affaire des « ballons-espions »... J'ai ajouté dans le texte les liens que je pensais nécessaires pour la compréhension (XP).
Depuis quelque temps, des voix s’élèvent pour s’interroger sur le fondement juridique de l’accusation de génocide contre la Chine. En effet, le terme « génocide » étant parmi les qualifications pénales les plus graves, il est impossible de lancer une telle accusation contre un Etat sans disposer de preuves irréfutables.
Il est la source principale des médias occidentaux qui multiplient les accusations contre la politique chinoise menée au Xinjiang mais aussi le pilier majeur de la thèse selon laquelle Pékin aurait perpétré un génocide sur l’ethnie ouïghoure. Son nom : Adrian Zenz. Qui est-il ? Pourquoi s’intéresse-t-il tant au sort des Ouïghours ? Ses accusations sont-elles vraiment fondées ?