"Celui qui sait obéir saura ensuite comment commander" Confucius
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Le clone du 21 ième siècle
Nous vivons maintenant dans un format OGN globalisé sous le règne de dictateurs mélange de Ponzi et de faux Confucius qui se reproduisent ...en chaîne de Ponzi.
D’apparence sage, ce roi du Big Business, de la globalisation encensée, est un minable fraudeur. Jésus marchait sur les eaux, lui marches sur les os. Le "petit" holocauste auquel s’acharne Dieudonné n’est sans doute qu’un moustique, "la mouche du cocher".
Le passé nous fascine, mais nous nageons dans le présent : nous avons peur de l’eau. L’océan du temps est trop immense. Si on pouvait "miniaturiser" l’Histoire, franchement, nous en serions à une seule formule : massacre à la tronçonneuse. La sophistiquée... L’arsenal payé par le petit qui trime, qui transpire, appauvri par la machine, mais qui continue d’y croire.
L’Homme lavabo
Le dernier des sages est un est un amalgame en développement exponentiel fort ressemblant au clan nazi : dans un organigramme complexe, chacun devient le levier blanc, sans tache, le travailleur "parfait". Devant l’échec de la globalisation , notre serviteur modèle continuera de croire qu’il n’existe pas de modèle autre. Pour fouetter le citoyen, on distribuera des médailles, des récompenses, mais surtout des titres. Avec un dénominateur commun : spécialiste.
On voulait le tout.
On les voulait tous comme travailleurs obligatoires... pour servir leur propre cause. C’est là l’argument des prolifiques propagandistes à l’écoute de leur cerveau. Des emmurés gris. Car une fois tous les labeurs vendus , les âmes sculptées par la "route" des religions, vivre sera désormais un esclavagisme "libre" né de pompeux et venimeux personnages que les masses monétaires accumulées mirent en place. Élection d’imbéciles cacatoès sculptées par une séquelle formatée d’homme d’affaires et d’autres "mis en place" pour un Nouvel Ordre Mondial. Imbéciles pompeux, mais affamé de pouvoir. L’Homme évidé, narcissique, égotique. Le vrai. Le seul. Le malade mental qui a un seul hôpital : la Terre. Mais c’est lui qui possède l’hôpital...
La créature humaine est un missionnaire laïc qui sert de pion dans les guerres. On habille le pion et on le solde. Une fois soldé, il est vendu au plus offrant. Nous parlons de guerre, mais la guerre économique est l’équivalent civil du combat "citoyen vs État".
L’humain "tritisé "
La titrisation (securitization en anglais) est une technique financière qui consiste classiquement à transférer à des investisseurs des actifs financiers tels que des créances (par exemple des factures émises non soldées, ou des prêts en cours), en transformant ces créances, par le passage à travers une société ad hoc, en titres financiers émis sur le marché des capitaux.
Wikipedia
Dommage que l’on ne donne plus de cours "réels" en économie. Le Québec se prépare à instaurer des cours d’Histoire pour comprendre...le Québec. Le passé. Hélas ! On ne peut plus comprendre le passé - à la manière "historique" - quand le présent avale tout. En l’espace de 5 ans, le monde a tellement "changé" que l’on ne peut plus inscrire le phénomène empoisonnant de la globalisation. Le reste est folklore...
Le folklore n’a jamais nourri personne. C’est une sorte de nostalgie issue du monolithisme des peuples "avant" , oui bien avant que l’on massacre hypocritement toutes les sociétés pour faire déménager des masses dites de "réfugiés", volontairement déchirées par la globalisation. Le "tissus" social et en lambeaux. Et Ponzifius est nourri par la masse.
La sueur de petit travailleur, la base économique de cette grandiose arnaque est l’abreuvoir des conglomérats qui déménagent au gré du plus "cheap labor".
On a cru que Frankenstein était horrible. Nous voilà avec un monstre pire encore : Frankeinstein. Le savoureux barbu qui carbure à la E=MC2 pour tuer. Ou le clone... La vie est désormais une entreprise qui avale toutes les entreprises.
On dira que c’est de la concurrence.
On achève bien les chevaux...
Un fois dressé, bien dressé, pas un cheval ne se révoltera en arrachant ses harnais pour reprendre sa liberté.
Le cheval est un animal fier... Tout comme les humains.
Le salariat, c’est le foin...
Une fois débarrassé de son jardin ou de ses terres, ce qui nous reste est à la banque. Entassé pour ne rien nourrir, sauf le trou béant des psychopathes qui font le tour de la Terre pour devenir des rois.
Car les rois peuvent tout titriser.
Gaëtan Pelletier
5 janvier 2014