La nouvelle mesure de la « pauvreté multidimensionnelle » par la Banque mondiale et al. est conceptuellement erronée.
La stratégie de croissance qu'implique le néolibéralisme est donc fondamentalement inacceptable d'un point de vue éthique ; elle oblige les pays du tiers monde à se battre les uns contre les autres, ce qui est essentiellement une stratégie bourgeoise.
Si les EU montrent leurs muscles et que les "alliés" européens rentrent dans le rang, le billet vert restera la seule monnaie de l'Occident et l'économie étasunienne pourra se remettre à produire et pas seulement du papier. Entre bulles financières et agences de notation (même l'ESG) dans les mains des grands fonds. L'analyse d'Alessandro Volpi
Dans le contexte de la crise politique sans précédent que nous connaissons, la montée du néo fascisme auquel nous assistons en France et ailleurs est une menace d’une gravité extrême, une conspiration contre les peuples. Le capital est à la recherche d’un moyen lui permettant de trouver le répit dont il a besoin y compris en recourant aux solutions les plus extrêmes dont la guerre et dans l’immédiat par la technique bien connue des deux fers au feu.
On peut penser que le fascisme communautaire n'est pas désidéologisant ; il introduit dans l'esprit des gens une idéologie communautaire, qui est une idéologie comme une autre. Mais c'est une erreur.
Un conflit entièrement interne aux classes dirigeantes.