Dans le dernier classement mondial de la liberté de la presse 2023 publié par Reporters sans frontières, l’Ukraine effectue un bond prodigieux de 27 places...
Interview d’Oleg Nesterenko, président du Centre de Commerce et d'Industrie Européen, accordé à la publication "L'Eclaireur des Alpes". Partie 1/3
Dans son émission « Le fin mot » (RTBF radio) du 15 février 2023, le journaliste Eddy Caekelberghs assimilait l’Holodomor à la Shoah. Cela m’avait incité à écrire une lettre ouverte à Pierre Marlet, rédacteur en chef de la RTBF [voir « Le Grand Soir » du 25/02/2023 (1)]. Ma critique – portant sur la qualification indue de génocide appliquée à l’Holodomor ‑ étant restée sans réponse, je me suis adressé à Jean-Pierre Jacqmin, le directeur de l’information de la RTBF ; rencontré par hasard à la mi-avril, ce dernier m’a promis une réponse… que j’attends toujours. Vaine attente sans doute, car, dans « Le fin mot » du 23 mai, Eddy Caekelberghs « remet ça », en ressassant cette contre-vérité à l’occasion de son interview de l’écrivaine Catherine Koleda et du député belge Georges Dallemagne (2).
À la suite de la destruction en Ukraine de munitions à l’uranium appauvri de fabrication occidentale, un nuage radioactif s’est formé. Celui-ci s’est déjà dirigé vers l’Europe et a suscité une augmentation de la radioactivité en Pologne, a déclaré ce vendredi le secrétaire du Conseil de sécurité de Russie.
Maxim Goldarb est le président de l'Union des Forces de Gauche (pour un Nouveau socialisme). Voici son témoignage sur la répression en Ukraine.
Le journaliste étasuno-chilien, Gonzalo Lira, basé à Kharkov en Ukraine, a été arrêté le 1er mai dernier à 9h30 par le service de sécurité ukrainien SBU, pour la seconde fois. Il est accusé de créer et de diffuser des documents qui justifient l’agression armée de Poutine contre l’Ukraine. Il risque une peine d’emprisonnement de cinq à huit ans.
Après la frappe meurtrière sur un immeuble résidentiel dans la ville de Slaviansk de la région du Donetsk, à Donbass, le 14 avril dernier, la propagande de Kiev diffuse largement la vidéo des restes d’un missile de fabrication russe en affirmant que ce sont les restes d’un missile lancé par les monstres russes, l'un de ceux qui ont touché l’immeuble.