Sur invitation, Maxime Vivas est au Tibet avec un groupe de journalistes (Le Figaro, Le Monde et deux journalistes free-lance). Il nous livre ici une première approche de la question tibétaine en la replaçant dans le contexte qui la projeta sous les feux de l’actualité lors du passage de la flamme olympique à Paris en avril 2008.
Dans un autre article à venir, il dira ce qu’il a vu et qui rompt avec le discours ambiant.
LGS.
Tandis que les USA battent le record mondial de taux de population carcérale et d’assassinats de journalistes, les gogos manifestaient à Paris contre la Chine au risque de remettre en place au Tibet une théocratie sanguinaire de la pire espèce.
Pour la plus grande joie de Bush et la déconfiture de Descartes.
Un mois après l’assassinat sur le territoire équatorien de la colonne des FARC venue négocier un échange de prisonniers avec une délégation du gouvernement français il est possible de reconstituer assez précisément, à partir de l’enquête menée par l’armée équatorienne, l’opération militaire telle qu’elle s’est déroulée dans la nuit du 29 février au Premier Mars 2008.
Athée, j’ai néanmoins toujours eu beaucoup de respect pour ceux qui croient en une puissance surnaturelle. Je respecte leur besoin de transcendance, de dévouement, qui conduisent certains d’entre eux à sacrifier leur vie. Je ne veux donc pas la moindre ambiguïté : j’ai un profond respect pour les bouddhistes, moines compris et surtout je ne voudrais pour rien au monde que quelqu’un subisse la moindre répression pour un sentiment ou une manière d’être au monde qui relève de l’intime conviction.