L’atmosphère que nous vivons depuis le 13 novembre devient de plus en plus irrespirable. Et pourtant il faut respirer, écrivait François Mauriac à l’époque.
« Ne pas rire, ni pleurer, ni détester ni maudire, mais comprendre ». A l’occasion du décès d’André Glucksmann (A.G.), chacun comprendra sans doute que le mieux pour un philosophe (1) marxiste et communiste, est de s’appliquer la célèbre maxime rationaliste de Spinoza…
Si les échanges se poursuivent entre Français et Russes dans un cadre interétatique ou dans celui d’échanges professionnels, culturels, amicaux… il n’est plus guère possible en revanche de débattre de la relation France-Russie entre Français.
Dès l’annonce de la déprogrammation par Vincent Bolloré de l’enquête sur le Crédit Mutuel, en juin dernier, Jean-Baptiste Rivoire, rédacteur en chef adjoint de l’émission Spécial Investigation avait demandé des explications à la direction de Canal+.
Vous lirez ci-dessous deux informations qui révèlent comment l’armée israélienne ne se contente pas de tuer des femmes et des enfants, mais aussi tente de museler la presse pour que perdure la légende de « l’armée plus morale du monde ».
Avec la complicité active du responsable des Affaires politiques et de la presse à l’ambassade de la République Bolivarienne du Venezuela à Paris, le stand du Venezuela (au Village du Monde) accueillait plusieurs auteurs présentant leur livre, samedi 12 septembre après-midi.
J’ai eu le privilège de commencer et de parler sous le regard et le contrôle de redoutables spécialistes de l’Amérique latine : Maurice Lemoine, Ignacio Ramonet et Bernard Cassen. Par la grâce de l’éclairage qui m’empêchait de voir le public, j’ai subodoré pendant mon intervention qu’ils étaient venus se mettre à l’abri un moment (il pleuvait dru) avant de partir ensemble boire un mojito ou une « Polar Ice », en attendant que je leur donne le micro.
Christophe Ventura, chargé de cours à l’Institut d’études européennes de l’université Paris VIII, avait bien voulu animer le débat et j’y ai vu un honneur et un geste d’amitié.
Voici le texte (à peu près fidèle) de ma causerie.
Le dimanche 30 août 2015 de 9 h à 10h15, un des ateliers du Remue-méninges du Parti de gauche réunissait à l’Université Jean Jaurès de Toulouse, devant un public nombreux, Danielle Simonnet, responsable nationale du PG et ex-candidate à la mairie de Paris, Sara Serrano, représentante de la Tuerka (télé de Podemos) Frédéric Lemaire d’Acrimed et d’Attac et moi-même pour Le Grand Soir.
¡Qué viva Vivas !
A l’abri d’une barbe faussement soixante-huitarde, Maxime Vivas, co-animateur du site « Le Grand Soir », journaliste londresque, a écrit 17 ouvrages, été primé à deux reprises, lui qui sent le souffre dès que l’on s’en approche... Maxime souffre en effet avec les peuples du monde, et plus encore avec ceux qui luttent.
Considérant la critique des médias comme centrale en politique, nous avons essayé d’y atteler ensemble art et pédagogie. Cela donne un article à jouer et à regarder pour solliciter nos imaginaires et exercer nos esprits critiques. Tentative d‘autodéfense intellectuelle face à la fabrique de l’opinion.Bonne lecture !
Comment se fait-il que les gens des médias se mettent soudain à utiliser les mêmes mots, les mêmes tournures, à bon ou à mauvais escient, quand ce n’est pas à contresens. Cela dure quelques mois, quelques années et puis les modes passent, les tics sont fatigués, le pavlovisme émoussé.