C’est un secret de Polichinelle que l’Etat français a payé des rançons à des groupes terroristes au Sahel et ailleurs dans le monde, en contrepartie de la libération d’otages français détenus par eux. Officiellement, les autorités françaises ont toujours et systématiquement nié avoir eu recours à cette pratique, mais personne n’a été dupe de leur dénégation.
Les dix « commandements » sont avant tout une grille d’analyse qui se veut pédagogique et critique. Elle n’a pas pour but de prendre parti, ou de prendre la défense des « dictateurs », mais de constater la régularité de ces principes dans le champ médiatique et social. Au ban des accusés, on retrouve tant les vaincus que les vainqueurs.
En France, la gastronomie, la mode, les parfums et les arts se font remarquer. Toute personne gourmande satisfait ses expectatives en choisissant son plat favori, servi "à la carte" . Cependant la production française va au delà des subtilités et des goûts, perfectionnés par des mains expertes et s’étend à des domaines dangereux.
Dans ce monde que dominent la cupidité, l’égoïsme et la course effréné à l’enrichissement, la science et la technologie ont été détournées pour servir les minorités détentrices du Grand Capital qui inventent des armes funestes leur permettant de menacer, de détruire et de tuer pour mieux assoir leur domination afin d’accaparer les richesses des autres. Ils en sont arrivés même à dénier aux autres peuples le droit d’acquérir ces Sciences et ces Technologies.
De Mère Térésa - élue Prix Nobel de la Paix en 1979 - à l’Union Européenne, il n’y a désormais qu’un pas ! En pleine crise socio-économique, et après une intervention militaire plus que discutable de plusieurs de ses membres en Libye, l’Union Européenne se voit en effet attribuer le Prix Nobel de la Paix à Oslo. Alors que la presse traditionnelle salue à la quasi-unanimité cette décision, insistant notamment sur le rôle unificateur et pacificateur de l’Europe après la seconde guerre mondiale [1], il semble important de rappeler certains faits plus récents et moins glorieux imputables à l’Union Européenne. Cela donnera l’occasion aux citoyens de jeter un regard plus critique - chose que les journalistes mainstream ne semblent plus faire - sur cette récompense contestée par certains, n’en déplaisent à nos médias.
Pendant la Guerre du Vietnam, au-dessus de l’entrée d’une base américaine on pouvait lire : « Killing Is Our Business, and Business Is Good. » (« Tuer c’est notre affaire, et les affaires marchent fort »). Et en effet, les affaires marchaient vraiment très fort au Vietnam (de même qu’au Cambodge, au Laos ou en Corée), où on comptait par millions le nombre de civils tués. D’ailleurs elles se sont plutôt bien maintenues aussi après la Guerre du Vietnam.
Pour les abrutis (comment dire autrement ?) inconscients des dangers qu’il y a à galvauder les mots et, par-là , à édulcorer les concepts, pour ces nuisibles qui voient dans Le Grand Soir un nid de nazis (de « bruns », c’est-à -dire de « chemises brunes », uniformes des SA, persécuteurs des juifs), voici un texte tout simple qu’ils devraient comprendre. Nous l’avons trouvé spécialement pour eux dans un lycée. Avec l’espoir que ça leur donnera envie d’aller voir Internet qui regorge d’articles et vidéos plus élaborés sur l’exposition « Le Juif et la France » qui se tint au Palais Berlitz à Paris du 5 septembre 1941 au 15 janvier 1942.
Et si, parmi nos calomniateurs, se trouvent des gens qui sont simplement ignorants mais pas malhonnêtes, ils feront enfin la différence entre un site qui donne à lire des articles critiques sur la politique guerrière d’Israël et « L’Institut d’étude des questions juives » qui organisa l’exposition.
Enfin, on n’y croit pas trop…
LGS