Auteur Jacques-Marie BOURGET

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Zeribi sur Mélenchon : l’ignominie du traitre.

Jacques-Marie BOURGET
De petit gars des banlieues d'Avignon et de gauche, après avoir parcouru tous les sentiers du pouvoir, c'est un Karim Zéribi maintenant "En Marche" – et mis en examen pour des carambouilles marseillaises – qui, sur "CNews", la télé de Bolloré, est convoqué pour flinguer Mélenchon. Vomissons. Ma zapette est si étroite, et peu claire genre tableau de bord d’un Airbus, qu’hier soir mon doigt a dérapé sur CNEWS. Le matin ce genre de fausse route peut être (…)
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En 1851 à Nantes, les Bretons étaient des migrants sales, coupables de vols et générateurs de maladie.

Jacques-Marie BOURGET
L'histoire n'apprend rien aux crétins. Alors qu'un site d'extrême droite "Breton" passe son temps à décrire ses fantasmes, celui d'une immigration qui nous conduit à la mort, il suffit de quelques clics pour nous rappeler qu'au XXI e siècle et au début du XXe, les Bretons étaient le "nègres blancs" du capitalisme français. C’est agréable d’écrire un article facilement, sans avoir à se creuser plus creux le fond de l’âme, ni à devoir ouvrir (…)

Quand les éditions Stock, amies de BHL, débusquent le Ahmed.

Jacques-Marie BOURGET
Vous me direz que ce n'est pas grand chose que d'écrire ; le "vrai" prénom de Djouhri n'est pas Alexandre mais Ahmed. Personnellement je crois le contraire et tente de la démontrer. Au prétexte que cette offense touche un kabyle du 9-3 plongé dans le trou noir du monde des affaires, il semble que, pour les "investigateurs", tous les coups sont permis, dont celui-ci. Son arabitude et sa fréquentation de Sarkozy ont transformé ce citoyen en stand de tir. Je (…)
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Affaire Epstein, l’humeur reste Mossad et Robert Maxwell a bien été assassiné.

Jacques-Marie BOURGET
Le sex-people autour de l’affaire Epstein, après l’avatar Wenstein, n’a aucun n’intérêt pour qui ne remonte le passé. Celui de Ghislaine Maxwell, décrite aujourd’hui comme rabatteuse d’adolescentes pour le plaisir du millionnaire pédophile et celui de ses amis puissants. Intérêt encore si on remonte aussi dans la vie de son père, Robert Maxwell, tycoon de presse, mort par noyade aux Canaries le 5 novembre 1991. La carrière de Robert Maxwell – un Tchèque de confession juive – commence en (…)
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Dans "Marianne" un article qui pue.

Jacques-Marie BOURGET
Polony, après avoir fait son beurre avec les "Viols de Cologne" qui n'ont jamais existé persiste et lance son employée sur une autre fausse nouvelle, le saccage de la France par les supporters des "Fennecs". Du journalisme de caniveau. C’est étrange, concurrence du Tour de France ou de Bojo l’ébouriffé du dedans et de Londres, personne n’a évoqué l’attentat qui a eu lieu à « Marianne ». Pourtant dans les pages 19 et 20 du numéro du 19 juillet, les mots ont frappé (…)

La presse est sauvée, si l’écraseur de Montpellier n’est pas Algérien, c’est quand même un bougnoule.

Jacques-Marie BOURGET
Nouveau slogan de presse ne rien faire et "Laissez fake". Le crime était pourtant parfait : un soir de match de foot gagné par les "Fennecs", un "Algérien" en joie s'en venait écraser une famille sur un trottoir de Montpellier avec une mère morte et deux enfants blessés. Détail le chauffard n'est ni algérien ni amateur de foot. La merveilleuse presse française qui colloque, ergote et s’indigne au prétexte qu’elle ne serait pas appréciée à sa valeur, (…)
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François de Rugy victime de la vengeance du Mollah Homard.

Jacques-Marie BOURGET
Les commentateurs de l'actualité politique, touS si indépendants, n'ont pas compris que François de Rugy était une victime du djihad. Etonnant ! Non ! Il est surprenant que nos analystes politiques, eux qui font l’honneur de la presse comme le « Cellofrais » plaqué sur la barquette de saucisses de Toulouse, n’aient pas correctement expliqué les désarrois de l’élève Rugy. Alors que l’exemplaire ministre de l’écologie -c’est-à-dire un traître par Nature- est simplement victime de (…)

La juge qui veut livrer Assange aux USA et Djouhri à la France au coeur d’un scandale à Londres.

Jacques-Marie BOURGET
Les experts qui suivent le dossier sans faire tapage avaient un doute sur les avis trop rapides, trop tranchant de la juge Emma Arbuthnot. Un tel comportement d'épée judiciaire, sans débat ou presque, était surprenant.Mais Emma, après avoir eu la peau d'Assange, semble avoir fait le combat de trop en rendant sa licence d'exploitation à Uber. Ah quel malheur pour la dame d'avoir un mari. Un lord ulra-réac, ancien ministre de la guerre qui ne jure que par l'Amérique, (…)

Quand les néo-cons de Vanity Fair veulent flinguer RT France

Jacques-Marie BOURGET
Staline est mort mais la guerre froide continue, le match OTAN contre Russie et Poutine doit endosser le costume du défunt de Iosseb Djougachvili. On trouve de plus en plus de soldats de la liberté pour conduire cette guerre réchauffée. La c'est "Vanity Fair" France, épigone d'un trust américain pour flinguer la télé oeil de Moscou. « Vanity Fair » va mal et c’est trop dommage. Lancé en France en 2013, cet avatar néoconservateur américain, tigre de papier, ne cesse de (…)
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Un reporter qui n’est pas payé par Niel ou Drahi n’est pas un journaliste.

Jacques-Marie BOURGET
Pour "Le Monde", et la presse qui va avec, un journaliste ne peut être qu'un membre du groupe du sérail de la fratrie de la convenance. Dés qu'un mal élevé, inconnu des réseaux de pouvoir, mais profondément JOURNALISTE met son nez sans carte de presse dans un dossier qui bouscule l'ordre établi, il est soulevé avec des pincettes car il sent mauvais, comme tous ces êtres qui ne sont pas du bon monde. Mes derniers amis, avec lesquels je viens de me réunir dans une (…)

Le "Nobel Israélien" récompense Reporters Sans Frontières.

Jacques-Marie BOURGET
Enfin les planètes sont alignées : RSF reçoit un million de dollars d'une organisation israélienne pour sa "défense de la démocratie" (ne rions pas dans ce cimetière). Ce Prix est une justice pour cette ONG qui supporte l'OTAN et toutes les guerres menées par les États-Unis. Le 21 octobre 2000, à Ramallah, tandis qu’une balle de M16 israélien volait avec ardeur vers mon poumon gauche, j’ai eu le temps de me dire : « Bon, je vais au tapis mais, merci le diable et Robert (…)

Bertrand Rothé : un écrivain passé du Rotary au col Mao.

Jacques-Marie BOURGET
Les romans d'aujourd'hui, représentés par la divine Christine Angot, quand ce n'est pas Mazarine Pingeot, m'assomment. La question est la suivante : comment peut-on couper des forêts pour imprimer des trucs pareils. Il y a parfois un sursaut, une bouée qui flotte sur la mer. C'est le sentiment que m'a donné la lecture du roman que Rothé vient de publier au Seuil Avec un autre homme j’aurais eu peur de m’ennuyer. En feuilletant les romans étalés dans les (…)