L’idée, quand elle est juste (non pas au sens moral, mais théorique), ne meurt pas : les faits sont sa pierre de touche.
On est ou l’on n’est pas communiste, il faut prendre parti.
C’est comme entre athéisme et croyance en un au-delà, entre matérialisme et idéalisme : les positions irrésolues concèdent au principe adverse.
L’idée ne se réduit pas à la question du militantisme dans tel ou tel parti, dans tel ou tel journal.
Bref, le titre
Pourquoi j’essaie d’être communiste ?
de ce qui se donne pour poème, donc d’un texte jaculatoire, donc d’un texte qui ne se discute pas, est un cri de souffrance qui exprime sans le vouloir que, ici et maintenant, l’idée s’est perdue chez ceux qui en portent encore le nom.