C’est vrai que le second degré n’est pas à la portée de tout le monde...
Tout de même quand l’auteur prend soin de dire "hé ! c’était du second degré", ça devrait être clair pour tout le monde.
Heureusement que G.Sporri donne la clef, pour ceux qui seraient encore perplexes : la démocrature macronienne teste tout le monde.
Combien faudra-t-il de lois liberticides, de systèmes de reconnaissance faciales couplés aux camera urbaines que des municipalités à courte vue installent un peu partout,d’objets connectés, de procédures de "lawfare", d’éborgnés, de gazés, de matraqués, de mise au dépôt préventives, pour réagir collectivement sans ambiguïté ?