Préambule : Communiqué du Comité pour le Respect des Libertés et des Droits de l'Homme en Tunisie (CRLDHT) * -Tunisie : Quand la justice devient une arme de répression - Le procès pour « complot contre la sûreté de l’État », prévu le 7 février et reporté au 4 mars, incarne l’autoritarisme grandissant de Kaïs Saïed. Sous prétexte de protéger l’État, le régime écrase l’opposition et étouffe la contestation. 40 figures visées : Journalistes, avocats, militants, et opposants politiques accusés sans preuves, sur des dossiers vides. Droits piétinés : détentions arbitraires, présomption d’innocence bafouée, restrictions aux droits de défense. Silence imposé : interdiction de médiatiser l’affaire, intimidations des avocats et mépris des recommandations de la Cour africaine des droits de l’homme. Ce procès n’est pas une quête de justice, mais une manœuvre politique pour briser toute résistance dans un contexte de crise économique et sociale étouffante. L’enjeu dépasse les accusés : c’est l’avenir des libertés et de la démocratie en Tunisie qui est en jeu. La mobilisation de la société civile et la pression internationale sont cruciales.
Aller aux racines permet d’arracher tout le problème…Lorsque nous entendons pour la première fois, parler de la grandeur de l’ex-Justice, nous ne l’oublions plus après. Surtout lorsque l’Injustice de classe nous prouve à quel point l’Injustice de classe est indigne du Droit universel, que nous présentons ici. Qui ne la pratiquent pas n’est pas juges universels mais seulement de partis pris, que des incomplets. Irrationnels, partiaux, ne semant qu’iniquités et évitables douleurs. Bref, de dangereux aveuglés par l’idéologie bourgeoise. Qui a assez prouvé qu’elle ne sait pas diriger la société. Oppressions abusives, iniquités financières et illégales violences policières, c’est tout ce qu’ils savent faire. Comprendre la vraie société reste hors de leur portée.
L’histoire retiendra que ce fut le dix décembre dernier, journée internationale des droits de l’homme, qu’un tribunal britannique a jugé recevable et sans doute tout à fait décente, l’extradition de Julian Assange vers les Etats-Unis, jetant ainsi un homme à une meute assoiffée de haine et de vengeance.
Le 14 janvier 2015, près d'Avignon, Mohamed el Makouli est victime d'un crime raciste. Tué de 17 coups de couteau. Un an plus tard la justice se déclare incapable de juger l'assassin "irresponsable au moment des faits" , (sous l'emprise de la drogue). Chaque français, et c'est tant mieux, a été informé du crime raciste dont est morte Sarah Halimi, martyrisée, elle aussi, par un drogué. Ce drame a été à l'origine de multiples protestations et prise de parole, de projets olitiques. Parfait. Ce qui me tracasse, c' est de comprendre pourquoi ceux qui, à juste titre, défendent la mémoire de Sarah Halimi ont oublié de célébrer celle de Mohamed el Makouli ? Les hommes sont étranges.
Pour signer cet appel, vous pouvez écrire à cette adresse suivante : stop-acharnement@protonmail.com
Depuis le 9 juillet dernier, Jean-Marc Rouillan est en détention à domicile. Il accomplit actuellement une peine de huit mois fermes pour « apologie de terrorisme ».
Alors qu’il ne lui reste que quelques semaines avant de terminer sa condamnation, le Parquet anti-terroriste demande son incarcération en milieu fermé.
Abdallah est un otage détenu par la France, afin de complaire à Washington et Netanyahou. Le 29 octobre le combattant libanais passera le cap des 36 années d'emprisonnement, et est libérable depuis 21 années. Mais la punition ne suffit pas à Washington pour laquelle il n'est de bons morts que ceux assassinés par des drones, des chasseurs, des bombes ou des missiles à bannière étoilée.
Avec un préambule du GS et une invitation à lire, en fin d’article, l’étude en 4 volets que nous avons publiée en 2012.
LGS
Les prétendues « forces de l’ordre » créent un désordre bien particulier porteur d’un message factieux bien spécifique.(...) Dans l’ambiance de décomposition de l’État qui prévaut à cette heure ? La guerre des juges est l’autre face de la médaille de l’insurrection policière.
C’est ce qu’affirmait, en tout cas, Philippe de Villiers, le 23 avril, dans l’émission Bourdin Direct.