RSS SyndicationTwitterFacebook
Rechercher

L’Argentine annulera t-elle son contrat avec Pfizer ?

L’Argentine annulera t-elle son contrat avec Pfizer ? La société Pfizer inclut dans le contrat la demande d’accès aux glaciers et à la mer, en plus du coûts payés par l’État pour l’obtention des traitements anti-covid.

Dans cet article, je décrirai les caractéristiques du vaccin fabriqué en Chine, ainsi que les traitements offerts par Moderna et Pfizer. Il est cependant urgent de diffuser le plus rapidement possible la nouvelle suivante :

L’État argentin, dirigé actuellement par le président Alberto Fernández, renégocie l’achat de doses d’un traitements liés au COVID-19. La raison invoquée est des plus stupéfiantes. En effet, le contrat avec ce laboratoire stipulait que l’Argentine devait permettre à l’entreprise Pfizer le contrôle des glaciers de Patagonie que des milliers de touristes visitent chaque année. De plus, on exigeait, pour la livraison des doses, l’accès à la mer du sud argentin corrélé à des quotas élevés de droit de pêche !

Au cours du mandat accordé au président Mauricio Macri, la modification d’une loi permit de faire fi du statut de site protégé des glaciers, afin d’autoriser l’extraction minière. Un décret octroya aux étrangers la possibilité d’acquérir de plus grands territoires que ne le permettaient les lois antérieures. Et il ne s’agissait évidemment pas de lieux stériles, mais de sites regorgeant de ressources forestières, aquifères ou minières. Conscient de ces assouplissements « légaux », Pfizer inclut dans le contrat la demande d’accès aux glaciers et à la mer, en plus du coûts payés par l’État pour l’obtention des traitements anti-covid. [1]

C’est le chirurgien et conseiller gouvernemental Jorge Rachid qui rendit publique cette clause qui retardait inexplicablement l’accord entre Pfizer et l’Argentine. On ne sait pas quelle aurait été la position du Président, car c’est le ministre de la Santé, Ginés González García lui-même qui vient d’opposer un refus catégorique à ces demandes. Déjà, le pays avait accepté de fournir 6000 cobayes humains à l’équipe du scientifique Fernando Polack, pour le compte de Pfizer-BioNTech. Suite à la divulgation de cette clause, englobant une demande de souveraineté sur le territoire, le docteur Rachid rétorqua : « Nous ne voulons pas que l’on nous traite comme une colonie ! ». [2]

Dans des déclarations à la radio AM 830, Rachid, l’un des médecins du comité d’experts qui conseille le gouverneur de Buenos Aires Axel Kicillof, a déclaré que « la société Pfizer a demandé une loi avec des garanties, avec des biens qui ne peuvent pas être saisis, comme les glaciers, et des permis de pêche. Et il a ajouté : « En tant que pays, nous ne pouvons pas leur permettre de nous traiter comme une colonie ». (Rachid : « El dueño de Pfizer es BlackRock, el fondo que trató de impedir la reestructuración de deuda », ambito.com, le 29 décembre 2020)

Lorsqu’on nous assure que la santé publique est le motif principal de ces négoces pharmaceutiques, cet exemple pourra, espérons-le, amener les honnêtes gens à ne pas se prêter aux insultes faciles, proférées envers ceux qui dénoncent les intentions perverses des géants de la finance.

Un vaccin et deux thérapies géniques

Ce que la Chine propose à ses citoyens est un véritable vaccin, d’une technique traditionnelle, qu’Edward Jenner et, plus encore, Louis Pasteur ont impulsée. La version la plus courante de coronavirus est inactivée, injectée à faible dose afin que le système immunitaire en neutralise rapidement la propagation. Ce ne serait pas trop dangereux d’y recourir et la technique est éprouvée depuis plus d’un siècle.

En ce qui concerne la production de Moderna, financé par le magnat Bill Gates, il ne s’agit aucunement d’un vaccin. On utilise un ARN messager qui transportera les instructions codant les spicules du Corona virus (les aspérités de son enveloppe), afin que le système immunitaire puisse le maîtriser suite à l’injection, et à l’avenir, le reconnaître et réagir vite en cas d’infection intense. Cette technique ne peut prévoir s’il y aura une réplication trop ample du Corona virus, plutôt que son contrôle par les globules blancs. De plus, il existe une possibilité de déclenchement d’une transcriptase inverse : un rétrovirus actif peut normalement transformer en ADN son brin d’ARN et ainsi, se reproduire et se propager. [3]

Un second risque

Dans le cas d’un ARN messager, celui-ci reçoit des instructions de l’ADN contenu dans le noyau de nos cellules. L’ARN transite vers des organites appelés ribosomes. Une transcription donnera aux ribosomes le code pour fabriquer les protéines indispensables à notre corps. La chaîne, normalement, se termine à ce stade. Dans certains cas, cependant, l’ARN retourne vers le noyau de la cellule et risque alors d’y altérer les acides nucléiques, c’est-à-dire, modifier notre bagage génétique.

Ce traitement n’est donc pas un vaccin, mais une thérapie génique, trop récente pour être fiable. Noter que ARN, en anglais s’écrit RNA, d’où le jeu de mot interne au nom Moderna...

Source

De Pfizer, certains médecins semblent parler d’un intermédiaire entre le vaccin et la thérapie génique. Ce qui est bien imprécis. Ce laboratoire utilise un rétrovirus de singe, pour transporter un Coronavirus inactivé. C’est aussi de la thérapie génique, puisqu’un rétrovirus n’est rien d’autre qu’un microorganisme composé d’un brin d’ARN recouvert de protéines ! Cette thérapie n’a, elle aussi, pas subi suffisamment de tests pour s’avérer sécuritaire.

La connaissance des risques est impérative

Lorsqu’une personne se présente volontairement dans un laboratoire pour que l’on teste sur elle un nouveau médicament, une crème solaire ou un produit cosmétique quelconque, on explique verbalement en quoi consistera les étapes du test et quels en sont les risques potentiels. Les gens doivent lire un document qui en fait état et qui, une fois signé, dégage les expérimentateurs de toutes responsabilités, si des séquelles apparaissent, suite aux manipulations effectuées, aux substances injectés ou avalées.

Comme rédactrice de cet article, je ne suis pas opposée à la vaccination liée au COVID-19. Je m’oppose au fait qu’on n’explique pas en quoi consiste le traitement, aux gens que l’on contraint à le recevoir. On ne peut certes pas leur exposer quels sont les risques, puisque les producteurs eux-mêmes les ignorent...

Qu’un premier ministre déclare que la vaccination ne sera pas obligatoire mais, en cas de refus, les récalcitrants pourraient se voir interdire l’entrée des bars, des cafés, des restaurants et de voyager en avion, alors nous approchons de la dictature. Qu’une scientifique, participant au Comité décisionnel concernant une vaccination massive, déclare que les premières personnes qui recevront le traitement seront des gens déjà faibles et que l’on peut prendre le risque qu’ils soient victimes de conséquences indésirables, cela vous donne une idée de la perversité de l’entreprise : on se sert des malades et des personnes âgées comme cobayes, pour des thérapies géniques non éprouvées. (4)

Tous les gens susceptibles de recevoir le traitement de Pfizer ou de Moderna devraient savoir que Bill Gates et ses accolytes n’ont pas respecté, en Afrique, l’indispensable mise au froid de ce qu’ils nomment illégalement des vaccins. Les États eux-mêmes acceptent d’immuniser les laboratoires pharmaceutiques de tout dommages et toutes séquelles pouvant advenir, suite à l’administration de leurs traitements. Cela vous donne-t-il un aperçu assez clair du niveau de perversité et de cupidité de ceux qui prétendent nous soigner 

On a augmenté les chiffres de mortalité provoquée réellement par le Covid-19, en y ajoutant les décès dûs à des maladies cardio-respiratoires, au diabète, au SIDA. Et maintenant, va-t-on nous dire que les décès, suite à cette opération de « vaccination » massive seront dûs aux maladies chroniques des victimes, et non au traitement de Moderna et Pfizer ?

En conclusion...

Si, après cette lecture, vous hésitez à recevoir ce traitement, dites que vous n’êtes pas opposés à la vaccination, mais que vous refusez de servir de cobayes pour une thérapie génique.

Maryse Laurence Lewis

Notes :

1. https://ladiaria.com.uy/politica/articulo/2017/2/macri-pretende-flexibilizar-la-ley-de-glaciares-para-favorecer-el-desarrollo-de-la-mineria/

2. https://www.nodal.am/2018/08/via-libre-para-la-extranjerizacion-de-la-tierra-bosques-y-acuiferos-argentinos-por-claudio-della-croce/

3. Déclaration du médecin Jorge Rachid : La demande occultée expliquant le retard de l’accord entre l’Argentine et Pfizer :

https://sinmordaza.com/noticia/163894-el-pedido-oculto-detras-del-retraso-acerca-del-acuerdo-entre-argentina-y-pfizer.html

Références :

https://www.lt8.com.ar/17558/
Entrevue avec le docteur Christian Perronne : Ce ne sont pas des vaccins, c’est de la thérapie génique : https://www.youtube.com/watch?v=2fcFa2xI6sYIl s’agit de Madame Odile Launay, dont l’extrait d’une entrevue à été diffusée à cette émission.
À propos du Premier ministre de l’Ontario, Doug Ford : Radio-canada.ca

Mondialisation.ca, 30 décembre 2020

»» https://www.mondialisation.ca/large...
URL de cet article 36834
   
Les caisses noires du patronat
Gérard FILOCHE
A quoi servent les 600 millions d’euros des caisses noires du patronat, et où vont les 2 millions d’euros distribués chaque année en liquide par l’UIMM et le Medef ? Gérard Filoche dénonce ce scandale du siècle au coeur du patronat français. Il soulève toutes les questions posées par ce trafic d’argent liquide qui circule depuis si longtemps au Medef et montre comment le patronat se servait de cette caisse anti-grève pour briser la fameuse concurrence libre et non faussée. Denis (…)
Agrandir | voir bibliographie

 

« Si je devais naître pauvre en Amérique latine, je prierais le bon Dieu pour qu’il me fasse naître à Cuba »

Manu Chao

© Copy Left Le Grand Soir - Diffusion autorisée et même encouragée. Merci de mentionner les sources.
L'opinion des auteurs que nous publions ne reflète pas nécessairement celle du Grand Soir

Contacts | Qui sommes-nous ? | Administrateurs : Viktor Dedaj | Maxime Vivas | Bernard Gensane
Le saviez-vous ? Le Grand Soir a vu le jour en 2002.