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Les organismes latino-américains et caribéens ont des choses à enseigner au Conseil de Sécurité de l’ONU (MPPRE)

Caracas, 06 août 2013 (MPPRE).- « Le Conseil de Sécurité a beaucoup de choses à apprendre de l’expérience de l’Union des Nations Sud-Américaines, l’Unasur ; du Marché Commun du Sud, le Mercosur ; et de la Communauté Latino-Américaine et Caribéenne, Celac ainsi que de l’Alliance Bolivarienne pour les Peuples de Notre Amérique, l’Alba ».

C’est ce qu’a déclaré le Ministre des Affaires Étrangères vénézuélien, Elías Jaua Milano, dans une interview à Telesur, depuis la ville de New York, après son intervention lors de la Session du Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies, durant laquelle un débat a été mené au sujet de la coopération régionale pour le maintien de la paix et la sécurité.

Il a signalé que « les organismes sous-régionaux d’Amérique Latine et de la Caraïbe ont prouvé une majeure efficacité dans la résolution des conflits de façon opportune et sans bureaucratisme ».

Elías Jaua a réaffirmé qu’il n’est pas nécessaire de bombarder, d’armer des groupes, d’intervenir militairement, de bloquer économiquement un pays quand il est possible de construire d’autres mécanismes pour la solution de controverses.

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Source : Ministère des Affaires Étrangères du Venezuela

Traduction : Luis Alberto Reygada pour Le Grand Soir

»» http://www.mppre.gob.ve/index.php?o...
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L’Archipel du génocide
Geoffrey B. Robinson
Les événements atroces survenus en Indonésie à l’automne 1965 restent encore aujourd’hui largement méconnus du grand public et jamais évoqués par les grands médias. En octobre 1965 débute pourtant l’un des pires massacres de masse du XXe siècle, de communistes ou assimilés, avec l’appui des États-Unis, de la Grande- Bretagne, et d’autres puissances comme l’Australie, les Pays-Bas et la Malaisie. Les estimations varient entre 500 000 et trois millions de personnes exterminées, sans compter (…)
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Je ne pense plus que les journalistes devraient bénéficier d’une immunité particulière lorsqu’ils se trompent à ce point, à chaque fois, et que des gens meurent dans le processus. Je préfère les appeler "combattants des médias" et je pense que c’est une description juste et précise du rôle qu’ils jouent dans les guerres aujourd’hui.

Sharmine Narwani

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