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L’Algérie sera l’Afghanistan de l’OTAN !

Car, de même que la Guerre de Libération nationale - 1954 / 1962 - menée par le peuple algérien contre la France, appuyée par l’Otan, aura sonné pour l’Histoire, la défaite du colonialisme dans le monde, de même, demain, la résistance de ce même peuple algérien, saura montrer aux autres peuples - en particulier les peuples arabo musulmans - les chemins de la plus farouche des résistances contre un impérialisme sioniste Croisé et Etoilé, qui ne fait plus mystère désormais, ni de ses convoitises prédatrices visant l’accaparement à bon compte, de nos richesses naturelles et de nos potentialités énergétiques, ni de ses projets hégémoniques contre les peuples arabo musulman dont le réveil semble susciter en lui, les vieux démons combinés, du Colonialisme et des Croisades.

Wikileaks :

Article d’El Watan du 7 Septembre 2011.

http://www.elwatan.com/evenement/consequence-de-la-guerre-des-clans-bouteflika-aurait-fragilise-l-armee-07-09-2011-138831_115.php

Conséquence de la guerre des clans : Bouteflika aurait fragilisé l’armée.

  Commentaire posté par Abdelkader DEHBI.

L’ALGERIE SERA L’AFGHANISTAN DE L’OTAN !

L’affaiblissement de l’ANP, en tant qu’Institution majeure de la nation, est imputable à trois facteurs essentiels :

1.- le facteur humain d’abord ; car, à , la faveur du long règne sans partage sur les choses de l’armée, de leur « leader » le général Larbi Belkheir, on a assisté à l’arrivée massive à coups de promotions, à la tête de la hiérarchie supérieure de l’Institution militaire, d’une véritable vague d’officiers ex-déserteurs de l’armée française, constituant un clan mafieux, manifestement sous influence de l’ancienne puissance coloniale ;

2.- le facteur socio psychologique, d’ordre à la fois politique et éthique, lié au putsch de Janvier 1992, perpétré par ce même clan mafieux contre l’expression de la volonté souveraine du peuple algérien. Avec la complicité et la bénédiction des pseudos « démocrates », constituant le pendant civil des éradicateurs putschistes. Les conséquences tragiques de ce putsch criminel, se sont étalées sur toute une décennie, la décennie noire de la guerre civile, avec le terrible bilan documenté, à la fois humain et matériel que l’on sait. Bilan, non encore réellement apuré, au jour d’aujourd’hui, ni au plan politique, ni au plan judiciaire. Et qui a porté un coup irrémédiable au crédit moral de l’armée et à son image de « protectrice du peuple ». Une armée aujourd’hui perçue, à travers les différents Services sécuritaires, officiels ou parallèles, comme un appareil répressif au service d’un régime illégitime, corrompu et anti national avec lequel elle se confond, malgré tous les habillages civils et « institutionnels » de pure façade ;

3.- le facteur qu’on pourrait qualifier de « grain de sable », avec la cooptation de M. Bouteflika qui a montré, malgré ses multiples ennuis de santé, sa capacité de résistance et surtout de nuisances. Dans sa quête permanente pour s’affranchir de la tutelle de ses parrains militaires, il n’hésite pas à nouer des alliances, les unes hétéroclites et inattendues comme la résurrection des zaouïas, les autres franchement contre nature, voire compromettantes comme l’incursion de l’OTAN dans notre pays. Encore que cette dernière compromission est entièrement partagée par la hiérarchie militaire. Toujours au nom de la sempiternelle imposture de la lutte internationale contre un terrorisme, la plupart du temps sans visage, et dont beaucoup s’interrogent sur les vrais commanditaires. Et les vrais « bénéficiaires »…

Dans ce triste capharnaüm, dans ce sinistre tableau, un seul espoir demeure : celui d’une quasi-certitude que jamais, au grand jamais, on ne verra des patriotes algériens dignes de ce nom - et Dieu merci, ils constituent l’écrasante majorité du peuple, dans tous les secteurs de notre société - se transformer en mercenaires au service d’un impérialisme sioniste dominateur et d’un néocolonialisme rampant, qui rêvent, avec la complicité des néo harkis, de remettre l’Algérie et ses ressources naturelles en coupe réglée, comme durant la sinistre période coloniale.

Sauf que, l’Algérie des grandes figures comme celles de l’Emir Abdelkader, d’El Mokrani, des Ibn Badis, des Bachir El Ibrahimi, des Larbi Ben M’hidi, des Zighout Youssef, des Amirouche et de tant d’autres symboles de la longue résistance du peuple algérienne contre la France coloniale et ses alliés occidentaux, cette Algérie-là , saura, le moment venu, se rappeler, comme par un effet d’hystérésis historique salutaire, de quels hommes elle a été la patrie.

Car, de même que la Guerre de Libération nationale - 1954 / 1962 - menée par le peuple algérien contre la France, appuyée par l’Otan, aura sonné pour l’Histoire, la défaite du colonialisme dans le monde, de même, demain, la résistance de ce même peuple algérien, saura montrer aux autres peuples - en particulier les peuples arabo musulmans - les chemins de la plus farouche des résistances contre un impérialisme sioniste Croisé et Etoilé, qui ne fait plus mystère désormais, ni de ses convoitises prédatrices visant l’accaparement à bon compte, de nos richesses naturelles et de nos potentialités énergétiques, ni de ses projets hégémoniques contre les peuples arabo musulman dont le réveil semble susciter en lui, les vieux démons combinés, du Colonialisme et des Croisades.

Ne dit-on pas souvent, que l’Histoire bégaye ?

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Donde Estan ? ; Terreurs et disparitions au Pérou (1980-2000)
Daniel Dupuis
La pratique des arrestations illégales, des tortures et des exécutions en dehors de tout procès régulier puis de la dissimulation des dépouilles (d’où le terme de « disparus ») est tristement célèbre en Amérique latine où les dictatures ( l’Argentine de la junte militaire, le Paraguay dirigé par le général Alfredo Stroessner, le Chili tenu par Augusto Pinochet...) y ont eu recours. De 1980 à 2000, sous un régime pourtant démocratique, l’armée du Pérou n’a pas hésité à recourir à la terreur (…)
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"Aucune femme en burka (ou en hijab ou en burkini) ne m’a jamais fait le moindre mal. Mais j’ai été viré (sans explications) par un homme en costume. Un homme en costume m’a vendu abusivement des investissements et une assurance retraite, me faisant perdre des milliers d’euros. Un homme en costume nous a précipités dans une guerre désastreuse et illégale. Des hommes en costume dirigent les banques et ont fait sombrer l’économie mondiale. D’autres hommes en costume en ont profité pour augmenter la misère de millions de personnes par des politiques d’austérité. Si on commence à dire aux gens la façon dont ils doivent s’habiller, alors peut être qu’on devrait commencer par interdire les costumes."

Henry Stewart, Londres

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