Les médias de masse sont basés sur le principe de diffusion de la réalité et non du mensonge. Un bon journaliste doit respecter l'éthique du métier de journaliste. Il ne peut en aucun cas défendre et reproduire ce qui est faux. Mon pays a beaucoup de Boualem dans son histoire dans De Boualem Titiche à Boualem Sansa, il y a une série d’autres Boualem. Cet article nous fait histoire.
Synthèse de cette tension durant les vingt dernières années
Depuis la naissance de sa renommée sur le dos d'une fake news, celles des "Viols de Cologne", Kamel Daoud vit sa carrière sur le mode de "Thomas l'imposteur". Arabe détestant les Arabes, défenseur des femmes alors qu'il a été condamné pour violences, il vogue d'un avatar l'autre. C'est un homme précieux pour les néo-coloniaux qui ont besoin de sa bouche pour exprimer leur propre dégout d'un monde hâtivement qualifié "d'arabo-musulman".
Ces derniers temps, en plein génocide à Gaza, on a pu remarquer sur les médias français la présence intense de deux écrivains d'origine algérienne, connus pour leur francophilie exacerbée et qui ont pour traits communs l'islamophobie, l'arabophobie et une sympathie affirmée pour Israël.
J’ai voté Tebboune car je crois à la nouvelle Algérie. La nouvelle Algérie est notre espérance parce qu’elle est notre seul abri. Pour préserver cet abri sous l’ordre et la loi et aller vers le chemin recherché, la sagesse doit chasser du théâtre politique les corrompus qui incarnent la démence. Quel que soit le taux de participation et quel que soit le résultat des urnes nous resterons fidèles à l’Algérie républicaine et nous respecterons ses principes
En 2016, Ahmed Bensaada, essayiste Algérien, a publié un livre un livre sur l’idéologie véhiculée par les écrits de Kamel Daoud [1]. En les analysant sous la grille précise d’Albert Memmi [2], il devenait évident que cet écrivain disciple de BHL et confident de Macron, était l’archétype du néocolonisé qui cherche à « ressembler du plus près au Blanc ».
Notre histoire avec le Makhzen est connue. Alexandra Saviana vous êtes comme certains français qui se posent la question : la Chine deviendra-t-elle vraiment la première puissance économique mondiale et oublient leur recule dans un espace français détruit par la philosophie printanière de BHL en Afrique. Nous reconnaissons nos limites mais cela ne nous empêche guère de reconnaitre nos atouts qui nous permettent de devenir une puissance en Afrique et dans le Monde Arabe sans aucune ambition expansionniste.
À l’occasion de ce 60ème anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre le Vietnam et l’Algérie, je voudrais rappeler l’importante similitude du combat de nos deux peuples pour la conquête de leur indépendance respective. Cette similitude est à considérer sur les plans historiques, socio-économiques et militaires.