La Fédération nationale de la Libre Pensée a toujours combattu pour le Droit des peuples à disposer d'eux-mêmes et pour le Droit à l'indépendance des nations opprimées et des peuples sous le boisseau du colonialisme. C'est ainsi que le dirigeant historique de la Libre Pensée, André Lorulot, rencontra Messali Hadj à Niort où il était assigné en résidence par un gouvernement partisan de l'Algérie française, pour lui assurer de notre total soutien dans son combat libérateur. C'est dire si l'Algérie résonne toujours dans nos cœurs et nos consciences. C'est pourquoi nous avons diffusé largement "Lettre à Boualem Sansal" d'Ali Farid Belkadi. Ce qui nous a valu l'ire de l'extrême droite le JDD par exemple) et de bien d'autres. Il est des condamnations qui sont des décorations, quand elles sont prononcées par ces gens-là. Nous persistons et nous signons. Pour notre part, nous n'appelons jamais à la répression contre quiconque, et surtout pas contre nos adversaires, contrairement à d'autres qui n’ont que le numéro 17 dans leur annuaire téléphonique. La répression contre des idées est abominable par essence et aussi inefficace par nature. Christian Eyschen, Secrétaire général de la Libre Pensée
Dieu merci ! Mon pays est libre et indépendant mais les griffes du sionisme chrétien tentent de le déstabiliser. Ils ont tenté le siècle dernier et ils ont échoué. Comme simple éducateur et libre penseur qui ne possède que sa plume comme arme de défense, je dénonce et mets à nu tous ceux qui veulent faire du mal à mon cher pays. Tous les jours, nous voyons marcher des animaux à quatre pattes. Des chats et des chiens trottinent continuellement à nos côtés, et nous sommes tous séduits par les mouvements accueillant des chevaux et des biches. Cependant, bien rares sont ceux d'entre nous qui savent que le sionisme chrétien est quadrupède et utilise ses quatre pattes pour nuire à mon cher pays. Ses pattes avant sont françaises. Les deux autres pattes sont franco-algériennes. Ce texte explique comment ces quatre pattes véhiculent la haine, les faux témoignages et ferment les yeux sur les crimes des nostalgiques antisémites du nazisme et de la collaboration, et les partisans de l’Algérie française.
Les médias de masse sont basés sur le principe de diffusion de la réalité et non du mensonge. Un bon journaliste doit respecter l'éthique du métier de journaliste. Il ne peut en aucun cas défendre et reproduire ce qui est faux. Mon pays a beaucoup de Boualem dans son histoire dans De Boualem Titiche à Boualem Sansa, il y a une série d’autres Boualem. Cet article nous fait histoire.
Synthèse de cette tension durant les vingt dernières années
Depuis la naissance de sa renommée sur le dos d'une fake news, celles des "Viols de Cologne", Kamel Daoud vit sa carrière sur le mode de "Thomas l'imposteur". Arabe détestant les Arabes, défenseur des femmes alors qu'il a été condamné pour violences, il vogue d'un avatar l'autre. C'est un homme précieux pour les néo-coloniaux qui ont besoin de sa bouche pour exprimer leur propre dégout d'un monde hâtivement qualifié "d'arabo-musulman".
Ces derniers temps, en plein génocide à Gaza, on a pu remarquer sur les médias français la présence intense de deux écrivains d'origine algérienne, connus pour leur francophilie exacerbée et qui ont pour traits communs l'islamophobie, l'arabophobie et une sympathie affirmée pour Israël.
J’ai voté Tebboune car je crois à la nouvelle Algérie. La nouvelle Algérie est notre espérance parce qu’elle est notre seul abri. Pour préserver cet abri sous l’ordre et la loi et aller vers le chemin recherché, la sagesse doit chasser du théâtre politique les corrompus qui incarnent la démence. Quel que soit le taux de participation et quel que soit le résultat des urnes nous resterons fidèles à l’Algérie républicaine et nous respecterons ses principes
En 2016, Ahmed Bensaada, essayiste Algérien, a publié un livre un livre sur l’idéologie véhiculée par les écrits de Kamel Daoud [1]. En les analysant sous la grille précise d’Albert Memmi [2], il devenait évident que cet écrivain disciple de BHL et confident de Macron, était l’archétype du néocolonisé qui cherche à « ressembler du plus près au Blanc ».